Bonsoir,
On m'a fait parvenir le document PDF sur la maladie de Lyme.
Il semble bien documenté mais ce n'est pas un document scientifique, donc à prendre avec précaution d'autant plus que certaines affirmations semblent exagérées (cf. 1er §), mêmes si elles sont plus ou moins corroborées par des informations publiées sur le net.
Ceci dit, concernant la maladie de Lyme, sur internet on peut lire énormément d'hypothèses très différentes voire contradictoires, dont certaines sont avancées par des chercheurs et des médecins.
Le film posté par Christophe évoque d'ailleurs les "particularités" de Lyme, qui vont de l'ignorance notoire et répandue d'une grande partie du milieu médical, aux tests non fiables en passant par les lobbys pharmaceutiques et de santé publique (*)...
Pour en revenir au document joint, il est fait mention d'un médicament soi-disant très efficace de médecine douce : la Lumière Argentée
Qui connait ce "médicament miracle" de médecine douce, qui est, semble-t-il, interdit en France !
(*) Plusieurs médecins et chercheurs prétendent que le traitement contre Lyme dépasse les 21 jours de traitement par antibiotique, or le protocole légal limite les traitements antibiotiques à 21 jours et lés médecins ne respectant pas ce protocole peuvent être poursuivis !
Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
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Nano particules d'argent dilué, poison qui tue la vie, les microbes, utilisé autrefois, comme plein de trucs poisons avec mercure, avec du bismuth, le plomb, etc.., qui sont devenus interdits avec les progrès modernes et de nouveaux médicaments en principe plus efficaces, et la prise de conscience de leurs dangers cachés.
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- grelinette
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
Bonjour,
Je réactive ce sujet suite à 2 émissions radiophoniques récentes (avril 2016) sur France-Inter qu'on vient de me signaler et qui font le point sur la maladie de Lyme :
1) http://www.reseauborreliose.fr/day/2016/04/21/L-affaire-Lyme-%3A-sur-France-Inter2
2) http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1274805
J'avais ouvert ce sujet car une personne de mon proche entourage a été, fin 2015, diagnostiquée comme infectée par la bactérie Borrelia à l'origine de cette maladie. Un premier test (Elisa) a confirmé le diagnostic, mais un second test (Western-Blot) n'a pas confirmé complètement la maladie de Lyme. (2 valeurs positives sur 16 testées)
Au final, le spécialiste en infectiologie en charge du dossier médical écarte la maladie de Lyme et passe la main à un de ses confrères spécialiste, très réputé, en médecine interne (un "interniste").
Nous avons été surpris d'entendre ce spécialiste déclarer, à la simple vue des tests Elisa et Western-Blot contenu dans le dossier, comme les résultats d'autres examens et tests : "si vous venez pour cette pseudo maladie, on arrête tout de suite la consultation et vous prenez la porte car je n'ai pas de temps à perdre avec ces bêtises" !...
La situation actuelle est donc la suivante :
- d'un côté, des spécialistes de haut niveau (professeur de médecine) nient l'existence de cette maladie,
- de l'autre, d'autres spécialistes tout aussi qualifiés alertent les pouvoirs publics sur cette épidémie qui semble prendre des proportions inquiétantes (pandémie?).
Que comprendre de cette situation paradoxale ?...
Je réactive ce sujet suite à 2 émissions radiophoniques récentes (avril 2016) sur France-Inter qu'on vient de me signaler et qui font le point sur la maladie de Lyme :
1) http://www.reseauborreliose.fr/day/2016/04/21/L-affaire-Lyme-%3A-sur-France-Inter2
2) http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1274805
J'avais ouvert ce sujet car une personne de mon proche entourage a été, fin 2015, diagnostiquée comme infectée par la bactérie Borrelia à l'origine de cette maladie. Un premier test (Elisa) a confirmé le diagnostic, mais un second test (Western-Blot) n'a pas confirmé complètement la maladie de Lyme. (2 valeurs positives sur 16 testées)
Au final, le spécialiste en infectiologie en charge du dossier médical écarte la maladie de Lyme et passe la main à un de ses confrères spécialiste, très réputé, en médecine interne (un "interniste").
Nous avons été surpris d'entendre ce spécialiste déclarer, à la simple vue des tests Elisa et Western-Blot contenu dans le dossier, comme les résultats d'autres examens et tests : "si vous venez pour cette pseudo maladie, on arrête tout de suite la consultation et vous prenez la porte car je n'ai pas de temps à perdre avec ces bêtises" !...
La situation actuelle est donc la suivante :
- d'un côté, des spécialistes de haut niveau (professeur de médecine) nient l'existence de cette maladie,
- de l'autre, d'autres spécialistes tout aussi qualifiés alertent les pouvoirs publics sur cette épidémie qui semble prendre des proportions inquiétantes (pandémie?).
Que comprendre de cette situation paradoxale ?...
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
Tu fais ce que tu veux, mais vite.
Le frère de ma compagne est quasi paralysé des jambes suite à cette maladie, non diagnostiquée pendant plusieurs années
Le frère de ma compagne est quasi paralysé des jambes suite à cette maladie, non diagnostiquée pendant plusieurs années
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
1) La maladie de Lyme existe. Mon épouse l'a rencontrée.
2) Les symptomes varient énormément. D'où la difficulté du diagnostic. Ils varient aussi selon le stade où le diagnostic est fait.
Chez mon épouse, passée inaperçue, la maladi s'est traduite par.... des accélérations du coeur la nuit, en plein sommeil. S'en est suivi un traitement antibiotique de cheval (je ne me souviens plus, mais du genre 21 jours par perfusion). Qui a supprimé les symptomes. Il reste une fragilité nerveuse, avec des fois, la nuit, des agitations incontrôlées des jambes (et ne penser pas ce à quoi un esprit mal tourné pourrait penser !)
3) Comme d'autres maladies, les réactions aux tests peuvent être furtives. Des fois, la maldie est dormante. Dans d'autres cas, on a encore des anticorps alors qu'on est "guéri" (plutôt, pas accablé par des symptomes). Donc une réaction positive ne veut pas forcément dire traitement... C'est compliqué.
4) Comme toujours, face à des situations compliquées, l'internet est le royaume du "tout ou n'importe quoi". Et n'échappe pas à cela quelques médecins.
- les uns nient ; n'ont jamais étudiés donc ne connaissent pas ; mais nient quand même
- les autres "inventent" les thérapies les plus fumeuses (il y a toujours eu des médecins, avides de notoriété ou de fric ou des deux, qui avaient des solutions miracles contre le cancer ou contre la polyo ou contre le SIDA...)
5) Comme les profs ou les mécaniciens, il y a de bons et de mauvais médecins. Ce sont avant tout des hommes. Et 7 ou 9 ans d'étude ne prémunissent pas de la connerie. Il y a des prix Nobel qui vendaient leur sperme, accréditant par là l'idée que l'intelligence serait héréditaire. D'autres sont des fachos de première. Si l'intelligence pouvait s'acquérir par le niveau de savoir, cela se saurait !
2) Les symptomes varient énormément. D'où la difficulté du diagnostic. Ils varient aussi selon le stade où le diagnostic est fait.
Chez mon épouse, passée inaperçue, la maladi s'est traduite par.... des accélérations du coeur la nuit, en plein sommeil. S'en est suivi un traitement antibiotique de cheval (je ne me souviens plus, mais du genre 21 jours par perfusion). Qui a supprimé les symptomes. Il reste une fragilité nerveuse, avec des fois, la nuit, des agitations incontrôlées des jambes (et ne penser pas ce à quoi un esprit mal tourné pourrait penser !)
3) Comme d'autres maladies, les réactions aux tests peuvent être furtives. Des fois, la maldie est dormante. Dans d'autres cas, on a encore des anticorps alors qu'on est "guéri" (plutôt, pas accablé par des symptomes). Donc une réaction positive ne veut pas forcément dire traitement... C'est compliqué.
4) Comme toujours, face à des situations compliquées, l'internet est le royaume du "tout ou n'importe quoi". Et n'échappe pas à cela quelques médecins.
- les uns nient ; n'ont jamais étudiés donc ne connaissent pas ; mais nient quand même
- les autres "inventent" les thérapies les plus fumeuses (il y a toujours eu des médecins, avides de notoriété ou de fric ou des deux, qui avaient des solutions miracles contre le cancer ou contre la polyo ou contre le SIDA...)
5) Comme les profs ou les mécaniciens, il y a de bons et de mauvais médecins. Ce sont avant tout des hommes. Et 7 ou 9 ans d'étude ne prémunissent pas de la connerie. Il y a des prix Nobel qui vendaient leur sperme, accréditant par là l'idée que l'intelligence serait héréditaire. D'autres sont des fachos de première. Si l'intelligence pouvait s'acquérir par le niveau de savoir, cela se saurait !
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
grelinette a écrit :Nous avons été surpris d'entendre ce spécialiste déclarer, à la simple vue des tests Elisa et Western-Blot contenu dans le dossier, comme les résultats d'autres examens et tests : "si vous venez pour cette pseudo maladie, on arrête tout de suite la consultation et vous prenez la porte car je n'ai pas de temps à perdre avec ces bêtises" !...
Un tel comportement est-il simplement compatible avec le serment d'Hypocrate?
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
grelinette a écrit :
... passe la main à un de ses confrères spécialiste, très réputé, en médecine interne (un "interniste").
Nous avons été surpris d'entendre ce spécialiste déclarer, à la simple vue des tests Elisa et Western-Blot contenu dans le dossier, comme les résultats d'autres examens et tests : "si vous venez pour cette pseudo maladie, on arrête tout de suite la consultation et vous prenez la porte car je n'ai pas de temps à perdre avec ces bêtises" !...
1) Ne négligeons pas la possibilité, a priori, et sauf preuve du contraire, qu'il n'est pas impossible que ce ne soit pas la maladie de Lyme. C'est peut-être simplement ce que ce spécialiste voulait dire ?
2) Comme je l'ai déjà écrit, si les symptomes de la maladie de Lyme sont très hétérogènes, on ne peut à l'inverse exclure le fait que des symptomes qui font penser à la maladie de Lyme ne soit finalement pas de la Lyme.
Pour une maladie aussi simple que le paludisme, j'ai failli y passer pour un "faux négatif". Suite à une suspicion sérieuse, le test de la goutte épaisse (on pique le bout du doigt et on presse une goutte de sang qu'on regarde au microscope) avait été négatif. Conclusion normale, logique mais erronnée : ce n'est pas le palu ! 8 ou 10 jours, je trainais toujours ma "grippe" bizarre et était de plus en plus mal. Finalement, admission à la Pitié-Salpétrière, service des maladies tropicales, prélèvement de sang par prise de sang, et là, on se rend compte qu'il était minuit moins 5... La médecine n'est pas une science absolument exacte ! On a du mal à l'accepter.
3) Quant à la façon dont s'expriment certains médecins et certains spécialistes, parfois agacés et parfois à juste titre par des patients qui suite à de fugaces lectures d'internet et de son grand n'importe quoi, savent mieux que le médecin ce qu'ils ont, on peut le regretter. Mais parfois aussi comprendre.
Si vous saviez le nombre de fois où des gens ont voulu m'apprendre mon métier à partir de bons sentiments désarmants de naïveté et d'ignorance... Fatigué, épuisé même parfois, il m'est aussi arrivé de raccrocher au nez à des personnes avec qui aucun dialogue n'était possible. Ils savaient mieux que moi - tout en ignorant presque tout de la situation réelle... Mais il est certain qu'à leurs amis, ils ont dû raconter qu'ils étaient tombé sur un de ces connards qui n'y connaissait rien !!!
Il faut donc parfois se méfier !
Je dis ça, mais je ne connais pas la situation. C'est donc tout théorique ! Juste pour éviter un emballement trop rapide et des jugements trop vite définitifs.
PS : Essayer de "vivre" un service de médecine public de l'intérieur, et vous verrez dans quelles conditions de pression certains diagnotics sont parfois faits. J'ai la "chance" de connaître au privé des agents du servce public hospitaliers, de l'aide soigante au "PH" (praticien hospitalier = médecin ayant choisi de rester dans le service public) en passant par l'infirmière. Donc dans quelle situation de stress et de fatigue ces gens travaillent aujourd'hui. On rêve tous d'un hôpital "top", serein, où on est accueilli, où on nous explique... Mais il n'y a plus les moyens pour ça aujourd'hui ! [enfin, très exactement, collectivement, politiquement, les arbitarges sont autres ; les moyens sont ailleurs. Au Panama entre autre].
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
grelinette a écrit :Bonjour,
Je réactive ce sujet suite à 2 émissions radiophoniques récentes (avril 2016) sur France-Inter qu'on vient de me signaler et qui font le point sur la maladie de Lyme :
1) http://www.reseauborreliose.fr/day/2016/04/21/L-affaire-Lyme-%3A-sur-France-Inter2
2) http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1274805
J'avais ouvert ce sujet car une personne de mon proche entourage a été, fin 2015, diagnostiquée comme infectée par la bactérie Borrelia à l'origine de cette maladie. Un premier test (Elisa) a confirmé le diagnostic, mais un second test (Western-Blot) n'a pas confirmé complètement la maladie de Lyme. (2 valeurs positives sur 16 testées)
Au final, le spécialiste en infectiologie en charge du dossier médical écarte la maladie de Lyme et passe la main à un de ses confrères spécialiste, très réputé, en médecine interne (un "interniste").
Nous avons été surpris d'entendre ce spécialiste déclarer, à la simple vue des tests Elisa et Western-Blot contenu dans le dossier, comme les résultats d'autres examens et tests : "si vous venez pour cette pseudo maladie, on arrête tout de suite la consultation et vous prenez la porte car je n'ai pas de temps à perdre avec ces bêtises" !...
La situation actuelle est donc la suivante :
- d'un côté, des spécialistes de haut niveau (professeur de médecine) nient l'existence de cette maladie,
- de l'autre, d'autres spécialistes tout aussi qualifiés alertent les pouvoirs publics sur cette épidémie qui semble prendre des proportions inquiétantes (pandémie?).
Que comprendre de cette situation paradoxale ?...
Allez voir d'autres spécialistes et évaluez par vous même la validité de leurs réponses en apprenant les connaissances sur cette maladie.
Le patient malade doit être soigné quelque soit le nom de sa maladie et la réponse du grand spécialiste ultime est inadmissible, même criminelle, et il faut porter plainte pour non secours à malade en danger en essayant d'enregistrer de nouveau la réponse même à son insu, voire la mettre sur youtube en caméra cachée !!!
Les tiques existent, nous tous somme piqués à répétition, les tiques sont bourrées de toutes sortes de bactéries à maladies, et donc la maladie de Lyme existe réellement avec plein de malades sous diagnostiquées qui résistent plus ou moins à ces bactéries qui se promènent dans leurs corps !!!
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
Did67 a écrit :...
Pour une maladie aussi simple que le paludisme, j'ai failli y passer pour un "faux négatif". Suite à une suspicion sérieuse, le test de la goutte épaisse (on pique le bout du doigt et on presse une goutte de sang qu'on regarde au microscope) avait été négatif. Conclusion normale, logique mais erronnée : ce n'est pas le palu ! 8 ou 10 jours, je trainais toujours ma "grippe" bizarre et était de plus en plus mal. Finalement, admission à la Pitié-Salpétrière, service des maladies tropicales, prélèvement de sang par prise de sang, et là, on se rend compte qu'il était minuit moins 5... La médecine n'est pas une science absolument exacte ! On a du mal à l'accepter.
...
Bonjour Did67,
Le paludisme n'est pas une maladie "simple", et ce n'est que lors des poussées de fièvre qu'on peut le détecter dans le sang. Les médecins européens sont peu habitués et ton cas est loin d'être unique. En Afrique au contraire les médecins prescrivent presque toujours des antipaludiques au moindre symptôme de "mauvaise grippe"...
Pour le reste, je suis totalement d'accord avec tes écrits
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Re: Le paradoxe de l'effet des antibiotiques (Lyme)
Le "simple" s'entendait bien entendu par rapport à la compléxité des symptomes de la maladie de Lyme... La symptomatologie du palu est aassez simple. Le développement d'un vaccin horriblement compliqué en effet, en raison de l'absence de stabilité du paraiste (Plasmodium) - donc pas de "signature" fiable...
Là, en l'occurence, le médecin était prévenu : j'y ai été avec la conviction que j'avais un palu (c'était mon deuxième, je savais un peu à quoi cela ressemblait...). Mais c'est le "faux négatif" qui a compliqué la chose.
Je voulais juste dire que, parfois, ce n'est pas simple de poser un diagnostic 100 % sûr ! C'est tout. Après on peut exiger. On peut poursuivre en justice (un des sports favoris en France - enfin, la menace de !). On peut avoir raison (surtout sur internet où mêmes les pires imbéciles ont raison - suivez mon regard vers Mossoul).
Là, en l'occurence, le médecin était prévenu : j'y ai été avec la conviction que j'avais un palu (c'était mon deuxième, je savais un peu à quoi cela ressemblait...). Mais c'est le "faux négatif" qui a compliqué la chose.
Je voulais juste dire que, parfois, ce n'est pas simple de poser un diagnostic 100 % sûr ! C'est tout. Après on peut exiger. On peut poursuivre en justice (un des sports favoris en France - enfin, la menace de !). On peut avoir raison (surtout sur internet où mêmes les pires imbéciles ont raison - suivez mon regard vers Mossoul).
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