Ok, donc à dose non létale, un insecticide bio passe au statut répulsif ... c'est pratique.GuyGadebois a écrit :izentrop a écrit :Blablabla...
J'ai pas dit que c'était pas toxique, j'ai dit qu'entre autres propriétés, ces plantes étaient des répulsifs. Le journaliste avait donc raison.
Seulement c'est juste une convention, car l'extrait de plante peut être plus ou moins concentré en principe actif
Finalement, on se retrouve avec une situation similaire à mon article sur l’huile de Neem. On a, face à face, des produits dont les effets secondaires négatifs sont les mêmes sur la faune aquatique ou sur les insectes utiles.
On peut même dire que certains produits de synthèse sont nettement meilleurs que les produits naturels, puisque le tau-fluvalinate est bien meilleur que les pyréthrines naturelles pour lutter contre le dépérissement des ruches.
Cette molécule de synthèse a longtemps été la seule disponible, et on peut dire qu’elle a sauvé d’une mort certaine des millions de ruches durant les années 80 à 2000. Depuis, d’autres solutions, dont certaines biologiques ont été trouvées, avec un niveau d’efficacité équivalent ou supérieur.
D’autre part, tout en ayant les mêmes effets négatifs, les pyréthroïdes de synthèse permettent une forte réduction des doses et du nombre d’applications. Dans ces conditions, les mêmes effets négatifs s’expriment moins souvent. Autrement dit, une protection à base de pyréthrines naturels, aura des effets secondaires négatifs plus graves car les interventions seront répétées plus fréquemment.
Pourtant, encore une fois pour des raisons d’idéologie, de dogme, l’agriculture biologique préfèrera l’utilisation des pyréthrines naturelles.
Il parait donc préférable de provoquer des dégâts plus graves à l’environnement, plutôt que de changer quoi que ce soit à une idéologie dénuée de tout fondement scientifique. http://culturagriculture.blogspot.com/2 ... que-3.html
En l’occurrence, c’est en Tanzanie (60% de la production mondiale), en Papouasie Nouvelle-Guinée et au Kenya. On apprend dans ce document kenyan qu’il faut 52.000 plants pour obtenir 25kg de poudre. Ici, on découvre que le pyrèthre, sans surprise, est attaqué par des ravageurs et des champignons. http://culturagriculture.blogspot.com/2 ... de-la.html