C'est pourtant fondamental, le B.A. BA en nutrition!Je ne parlais pas de la difficulté ou non à digérer du "cru",
le domaine végétal est extrêmement varié et ne se limite pas à salade carotte.qui peut effectivement être très variable selon les individus, mais plus simplement de la consommation de nourritures suffisamment /variées
cette notion d'équilibré, largement utilisé à ce jour, est aussi peu valable qu'était utilisé la notion de calories, qui ne sont que des parties à prendre en compte si on veut faire de la diététique conventionnelle (pas la vraie!)pour que globalement les apports en différents éléments soient relativement équilibrés.
Désolé mais on est, là encore, dans un lieu commun correspondant au mode alimentaire
adopté par nos contemporains humains.
De nombreux animaux sont frugivores tels la plupart des singes, les plus proches anatomiquement et physiologiquement et que constatons nous.? Qu’ils ne manquent de rien malgré qu’ils ne fassent pas de la diététique façon humaine.
L’anotomo-physiologie humaine est aussi de type frugivore qu'eux et, dans des conditions non artificialisés par nos cultures alimentaires, nous pouvons (après réadaptation de l’organisme) revenir à ce mode que, malheureusement, notre type de société artificialisé ne permet plus guère ou plus difficilement d'adopter, en tant qu’adulte qu’ enfant.
je n'ai pas lu ce qu'elle consommait et c'est sans importance réelle car 1 cas ne peut être représentatif d'un groupe plus ou moins important.Ce qui ne peut pas être le cas si on ne se nourrit que de fruits crus, comme semblait le faire cette femme.
Sinon c'est toujours une réaction de type lieu commun. La vie d’un individu ne consiste pas seulement en un mode alimentaire différent de celui de la société qui nous environne, mais de la totalité des paramètres favorisant ou non cette vie. Le problème que pose ces vidéos internet et leur interprétation c’est justement ce manque d’informations globales précieuses et nécessaires pour estimer si tel ou tel facteur de vie manque ou est en excès
Au contraire, un enfant n’a pas à rectifier tardivement des erreurs de choix initiaux, ce qui est bien plus difficile et long au fur et à mesure que l’individu les cumule et surtout les plus âgés. Ces erreurs étant désignées sous le terme de pathologies diverses qui augmentent de plus en plus dans une société qui se moque des conséquences de ses mauvais choix jusqu’à ce que le couperet tombe brutalement, sans crier gare cette fois ci : Cancers, maladies cardiaques , maladies auto immunes,etc… ayant remplacé les maladies chaudes à fièvre, et donc bien plus graves et longues à réduire ou éliminer et rendu encore plus difficile avec les traitements chimiques et vaccins pathogènes.Et là je ne parle que d'un adulte dont les besoins sont en gros stabilisés, pour un enfant ou un ado c'est bien entendu différent.