et je trouve qu'il y a trop d'absurdité ... il ne faut pas tourner autour du pot : le principal probleme de cette histoire de depakine est le manque de prise en compte des effet secondaire pourtant connu depuis longtemps ... prescrire de la depakine avant une grossesse est une erreur medicale ! pas une raison de critiquer la depakine si elle est utile
Ton raisonnement est, malheureusement, très répandu car il présuppose qu’il n’y a pas d’autres voies possibles que ce produit. (pourrais-tu citer un produit de substitution que ne soit pas chimie de synthèse?) De ce fait, plutôt que rien, un produit aussi insatisfaisant soit-il peut sembler nécessaire. Le même problème s’est posé lors de la panique mondiale avec le SIDA, où il n’existait pas de médicament connu pour rassurer les foules paniquées et le premier venu était supposé faire l’affaire, d’où l’affaire AZT et tous les dégâts humains que ce produit a causé, mais cela a rassuré les foules…. qui n’en prenaient pas.
critiquer les fabricant de medicament qui gagne trop d'argent est une autre histoire ...
Les deux sont liés !
Que coûte à la société, au travers de nos cotisations, l’utilisation de l’eau en hydrothérapie : rien. Une nutrition non toxique : rien. Quelques plantes à tisane : rien ! etc… et c’est la fin des médicaments brevetés pour faire des prix exorbitants et les énormes profits pharmaceutiques
gagnent il vraiment trop !
Ce ne serait pas un véritable problème si ces profits étaient réinvestis dans la recherche des causes, par exemple.
Mais ces profits, énormes, sont distribués à des gros actionnaires comme Total ou l’Oréal qui ne sont pas des philanthropes et encaissent sans problèmes moraux ces plantureuses galettes.
n'y a il pas d'autre probleme dans le financement de la recherche ?
Pourquoi financer la recherche sur des bénéfices alors que la population est généreuse lors des téléthons en tous genres, ces actionnaires doivent s’en taper sur le ventre de rigolade et de satisfaction devant pareille situation.
Pour l’anecdote l’institut Pasteur, lors qu’il n’était pas encore passé au privé, était en permanence en déficit quoique faisant à peu près les mêmes recherches et produits que son concurrent Mérieux qui lui faisait des bénéfices confortables et c’est l’Etat, donc nous, qui mettait la main à la poche pour combler ces pseudo déficits. Ah oui ! En plus les statuts de Pasteur étaient, parait-il, ainsi fait qu’ils n’avaient pas à rendre de compte.
Et si tu écoutes les pub, Pasteur fait pleurer de misère dans les chaumières sur son sort auprès des téléspectateurs avec la co-découvreuse du pseudo VIH. snif!