https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Hom%C3%A9opathie
Tout prouve qu'elle n'a aucune efficacité propre, que c'est une pseudo science, que les adeptes sont des croyants.
tout prouve que les méthodes utilisées ne sont pas adaptées aux mesures sur l'H; car toutes sont basées sur le modèle A, ce qui ne peut qu'aboutir à un échec exactement comme les méthodes de mesure de la physique classique sont inadaptées aux mesures de la physique quantique et pourtant les deux sont de la physique tout comme la médecine A et la médecine H sont des médecines.
Donc l'article de Wikipédia qui n'est que l'expression des choix de ses auteurs , doit être comparé à la littérature H et non aux essais inadaptés de l'A. car, comme par hasard, on n'y trouve pas celles de l'H, comme un autre exemple vrai, expérimenté ci dessus et ci dessous.
Un cas de Mononucléose infectieuse
Dr François Gamby
Mylène, 19 ans, est amenée par sa mère un dimanche en garde, pour une fièvre qui persiste. Elle se plaint de mal aux jambes, mal à la tête, diarrhée, chaud à la tête, et un ganglion douloureux au cou. C’est le quatrième jour qu’elle est malade. Elle a d’abord eu mal à la tête, puis la fièvre est montée à 39°. Elle est amorphe, ne bouge pas beaucoup. Son médecin, vu deux jours avant, a fait un diagnostic de pharyngite et a prescrit Advil + Doliprane. Mylène tousse un peu, elle a un peu mal à la gorge.
Je vais faire préciser les différentes plaintes.
La fièvre est dominée par la fatigue. Les nuits sont mauvaises : Mylène est trempée de sueur, partout, surtout la tête, les cheveux. Pas d’odeur particulière.
Soif augmentée, elle boit du thé ou de l’eau.
Pendant l’entretien, j’observe ma patiente. Mylène a les yeux mi-clos, pas bien ouverts, à demi-fermés, à cause du mal de tête me précise-t-elle. Elle est très pâle, et surtout, elle a l’air très fatiguée, épuisée, sans énergie.
Quelque chose me frappe dans son comportement, sans savoir quoi exactement. Jusqu’à ce que je réalise qu’elle est figée, pour ne pas dire coincée sur sa chaise, et qu’elle me répond très brièvement : « non » ; « oui » ; « un peu » ; « je sais pas » ; « bof ». Comme si elle n’avait pas l’envie, ou alors pas l’énergie de répondre. Le ton est presque sec, sans être cassant.
A l’examen : Il y a effectivement une pharyngite, on ne peut pas parler d’angine vraie. Mylène insiste sur ce ganglion cervical très douloureux. Je demande une sérologie EBV qui reviendra positive, confirmant le diagnostic de mononucléose infectieuse.
Ne connaissant pas Mylène, je questionne sa maman. Mylène est d’habitude très dynamique, toujours à fond, pleine d’enthousiasme. Elle adore la danse, le fitness, les sorties avec les copains. Elle ne fait pas de sport car elle n’aime pas ça.
« Alors, pourquoi tu es tombée malade ? Tu as une idée ? Les examens (IUT gestion) ? Est-ce qu’il s’est passé quelque chose ? » Et là Mylène ne répond pas, mais son regard se voile, elle essuie une larme.
Je lui tends la perche : « un souci avec un copain ? » Elle fait non de la tête et dit très doucement : « une copine ». « Tu as du chagrin ? » « Oui ». « Je ne t’embêterai pas plus, ça me suffit pour te soigner ».
Le médicament X donné en 9 CH a entraîné une rapide guérison locale, générale et psychique.
Un cas de Mononucléose infectieuse – Mylène
Après avoir fait préciser les symptômes, procédé à l’examen et recherché les éléments pour poser un diagnostic médical (qui me sera confirmé par le résultat de la sérologie EBV), je recherche les symptômes homéopathiques caractéristiques de la maladie.
J’utilise le Répertoire Synthesis qui m’indique, pour chaque symptôme, la liste des médicaments homéopathiques possibles.
Le symptôme qui m’a paru à la fois le plus original, singulier, particulier, et le plus sûr, indiscutable, je l’ai observé pendant la consultation : les yeux mi-clos.
•ŒIL, Ouvertes, paupières, mi-closes : 60 médicaments.
Ensuite un symptôme de comportement frappant, et nouveau : sa façon de répondre :
•PSYCHISME, Répondre, monosyllabes, par : 23 médicaments.
Enfin les sueurs profuses nocturnes :
•TRANSPIRATION, Abondante, profuse, la nuit : 95 médicaments.
Ces trois rubriques combinées mènent à 5 médicaments : Mercurius., Phosphoric acid, Veratrum album, Thuja et Plumbum.
L’attitude figée de Mylène, la perte de liquides vitaux (transpiration profuse), l’absence de toute exubérance ou fantaisie désignent Phosphoric acid.
Le médicament est confirmé par la réponse à ma question sur une cause ou un événement déclencheurs : elle a du chagrin, une histoire avec une copine.
•PSYCHISME, Troubles suite de, Chagrin.
•PSYCHISME, Troubles suite de, Amitié déçue.
Autres rubriques possibles :
•TETE, Transpiration, la nuit
•PSYCHISME, Réponse, Abrupte, sèche.
•GENERALITES, Mononucléose.
•PSYCHISME, Chagrin silencieux, d’amour déçu.
PRESCRIPTION : PHOSPHORIC ACID 9 CH, 3 granules 3 fois par jour pendant 3 jours.
La guérison a été rapide, la fièvre et les symptômes de gorge ont vite régressé.
Quelques idées sur PHOSPHORIC ACID
Extraits de la Matière Médicale « PRISMA » de Franz VERMEULEN
Pas envie de parler ; réponses courtes ; répète toujours les mêmes phrases à tonalité dépressive : La vie est inutile ; je ne veux pas vivre plus longtemps ; tout est sombre.
Indifférent aux choses qui l’intéressaient le plus (Kent).
Karl-Joseph Müller écrit en substance : quand on a l’inverse de tout ce qui fait Phosphorus : l’enthousiasme, l’expansion, l’intérêt et l’élan vers les êtres et les choses, alors on a besoin de Phosphoricum acidum : perte d’intérêt, indifférence, arrêt de la croissance ou destruction, lenteur d’idéation et introversion.
Encyclopédie de Hering :
– Suites de soucis, chagrin, peine, contrariété, mal du pays, nostalgie, amour déçu.
– Gorge – sensation d´excoriation avec brûlure du voile du palais.
– Gorge – angine, endolorissement, douleur raclante, piquante, pire en avalant des aliments.
Les très nombreux symptômes de ce médicament correspondaient bien à ma patiente.
Mais évidemment, ça ne peut être que du placebo!
Sors un peu de tes sites anti et passe
par une expérience personnelle. Essaie sur toi même au lieu de te réfugier dans une simple supposition que....
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré