janic a écrit : L'erreur que beaucoup font c'est de croire que si notre consommation française peut diminuer par personne, la question sera améliorée. Or les éleveurs visent l'exportation et donc le maintien, voire l'augmentation de production fourragère.
D'où une vision nécessairement mondiale du problème (l'Afrique va doubler sa population dans les années à venir et les africains seront des demandeurs comme l'est l'Asie actuellement) et donc où va-t-on trouver de quoi produire pour satisfaire ces populations croissantes en nombre comme en pouvoir d'achat?
Oui c'est une bonne remarque,
mais notre mode alimentaire influence directement celui des autres.Nous constatons par exemple le succès des "fast food" chez nous pays de l'art culinaire,pourquoi?
Car les
fast food représente le modèle le plus dissipatif en énergie,il est donc immédiatement copié puis réitéré à grande échelle,il est donc impératif de transformer nos habitudes alimentaires ici pour quelles se répercutent la bas.
L'exportation de viande ou de produit céréalier ne fait qu'augmenter les problèmes écologique par un effet type "reine rouge".
Pour ce qui est de la natalité des pays africains nous sommes face à l'une problématique les plus terrifiante de l'histoire.
En effet le seul moyen d'enrayer la natalité et d'avoir recours à l'éducation afin de transformer les familles d'un mode
r(beaucoup d'enfant avec un faible niveau d'éducation) à un mode
K(peu d'enfant avec un niveau d'éducation élevé).
Problème, ce type de modification ne surviennent que dans des pays industrialisés,hors l’hystérésis des natalités fait qu'il faudrait plusieurs décennies--que nous n'avons plus-- pour limiter le nombre de naissances.
De même l'industrialisation de ses pays ne ferait qu'amplifier l'écocide et accroitre les problématiques alimentaires,favorisant de fait les mouvements migratoire,les conflits et les famines...le constat est accablant.
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.