janic a écrit :
T'es un intégriste, il n'y a qu'à lire tes déblatérations sur l'alcool également.
Ah, j'ai touché le point sensible!<<<
Ridicule, c'est ton raisonnement que j'attaque
ces déblatrérations sont celles de scientifiques et de médecins spécialisés en ce domaine, pas celles des marchands de picrate ou de marchands de poisons chimiques, évidemment!Non tu ne fais que répéter jusqu'à la transe que l'alcool est un poison, sans aller plus loin.
Le meilleur moyen de le savoir,
sans tenir compte de mes propos, c’est de te renseigner directement à la source des scientifiques qui en sont spécialisés, je ne vais tout de même pas devoir te tenir par la main pour le faire.
Prenons le stress qui est ravageur pour la santé physique et mentale (il peut tuer).
Evidemment, il peut tuer
aussi !
Que vaut-il mieux faire pour déstresser si et quand on n'est pas adepte de la relaxation, du yoga ou de la méditation? Prendre un remède allopathique chimique ou boire un verre de vin?
Ni l’un ni l’autre ! Si je suis stressé, comme nous ceux qui ne boivent pas d'alcool, je n'ai pas recours pour autant ni au yoga et semblables et encore moins à un médicament chimique (déjà il faudrait que j'en possède ce qui est exclu par non nécessité.)
mais ta question, c’est comme demander s’il vaut mieux se faire couper la main droite plutôt que la gauche quand on a un petit bobo sur chacune.
Pour moi, ce serait un verre de vin. Dès lors, le bénéfice (dans le cas où cela fonctionne sur le sujet, bien sûr) ne pourrait-il pas être pas supérieur au préjudice? Les bienfaits de la chute du stress ne seraient-ils pas plus importants que les méfaits de la dose d'alcool ingérée?
le pour toi, te concerne évidemment, cela n'en fait pas une règle universelle!
Or Il ne s’agit pas D’UN verre de vin, pas plus que d’UNE contrariété passagère, mais d’un état régulier.
Répéter en boucle que l'alcool est un poison (ce qui est vrai) est "un peu" réducteur.
Pas plus réducteur que de répéter en boucle que certains champignons, et d’autres plantes d’ailleurs, sont toxiques et donc dangereux et, même sans en mourir sur le coup, ceux-ci ne sont pas des produits à consommer, ni occasionnellement, ni régulièrement.et notre rôle, e, tant que parent et éducateur, c'est justement de répéter, répéter encore, ce qui va être favorable à sa santé et donc sa vie (après ce qu'il en fera sera sous sa responsabilité en tant qu'adulte
Quand tu évoques le délirium, tu parles du dernier stade de l'alcoolisme, quand tu parles violence, tu parles connerie humaine, idem pour l'accidentologie due à l'irresponsabilité du buveur et non pas à l'alcool (un flingue ne tire pas tout seul).
Il y a du vrai, mais lorsque
personne n’a de flingue, il ne peut y avoir d’accident lié à son usage.
Quand je te parle consommation de bière ou d'alcool de manière raisonné/raisonnable, je parle de PLAISIR, pas d'ADDICTION.
Alors, fait ce que je t’ai suggéré ! Va dans les réunions des AA (voire un médecin addictologue) et tu y entendras les cas les plus divers qui ont TOUS commencé par une consommation raisonnable.
Si l'addiction arrive c'est que la consommation est irraisonnée/irraisonnable et la notion de plaisir n'existe plus,
Entièrement faux ! (Voir l’anecdote ci-dessous) [*]
seuls les effets de la "drogue alcool" soulagent la personne. Pareil pour toutes les drogues, tous les poisons.*
effectivement, mais il ne faut pas confondre la consommation initiale par laquelle tous commencent, avec ce qui se passe ensuite selon les individus.
Dans nos sociétés occidentales régies par cette drogue officielle depuis la nuit des temps, ne crois-tu pas qu'après des générations le corps ne c'est pas un minimum adapté?
Scientifiquement ? Jamais !
Ton histoire personnelle t'a rendu méprisant,totalitaire et psychorigide. Bref, tu es en croisade comme à une époque où existaient les ligues de vertu!
Mon histoire personnelle que tu ne connais pas, donc ne pouvant en juger. Ce qui te rends
méprisant, totalitaire et psychorigide.
Ne considérer l'alcool que du point de vue toxicologique est une malhonnêteté intellectuelle. Mais j'ai l'impression que ça ne te dérange pas vraiment.
A moins que la malhonnêteté intellectuelle vienne de sa non reconnaissance et du même coup c'est soupçonner les addictologues qui ne sont pas des ligues de vertu, de malhonnêteté intellectuelle, ça ne devrait pas leur plaire!
Ps: s'agissant de "picrate" et de "poisons chimiques", vu que je bois que du bio...
En biochimie, ce qui est appelé poison c’est uniquement ce qui a une
action destructrice sur la matière vivante, pas son ampleur seulement, qu’elle vienne d’un produit « naturel » bio ou pas, d’un pesticide ou conservateur.
Poison - Définition
Le poison contient des substances pouvant altérer les fonctions vitales d'un individu les ingérant, voire sa mort. Sa toxicité dépend de la dose qui a été absorbée, de son mode d'administration ainsi que de l'état général physique du sujet. Lorsque l'on parle de poison, on pense souvent à l'opium ou à l'arsenic. En général, le poison concerne toutes les drogues, breuvages et même nourritures, qui, ingérées en grande quantité ou fréquemment, provoquent des lésions irréversibles et sont susceptibles d'entraîner la mort.[*]Donc pour l’anecdote : un de mes amis a vécu la dure époque de la guerre et avait dû aller dans un de ces camps de travail (de l’esclavagisme à peine déguisé) allemands et il nous racontait le mépris qu’il avait pour les « boches » et par orgueil de la jeunesse, il bravait cette autorité refusant de courber l’échine.
Or, il était fumeur et ce produit ne leur était pas donné par leurs tortionnaires évidemment. Pourtant, nous racontait-il, lorsque les « boches » avaient le dos tourné, il se précipitait pour ramasser les mégots que ces allemands avaient jeté au sol. Ce n’est que des années plus tard, ne fumant plus d’ailleurs, qu’il s’est rendu compte de la distorsion de l’esprit entre le dire et le faire.
NB:Une drogue, c’est une drogue, qu’il ne faut pas confondre avec le drogué qui n’est qu’une victime de celle-ci.
Toujours sur le tabac (je n’ai jamais participé à la désaccoutumance de l’alcool) il est remarquable d’entendre les points de vue avant et après avoir abandonné cette drogue, ce qui montre que
ce plaisir n’en était finalement pas un, mais se refusant de le reconnaitre sous l’effet de cette drogue qui faussait leur jugement. Ne dit-on pas une bonne cigarette, un bon cigare, un bon vin, un bon sniff, une bonne piquouse, une bonne bouffe et même une bonne biture ? avant d’en payer le prix !
Désolé d'être sorti du sujet sur le permafrost. le sujet peut être poursuivi sur d'autres topic!
Aux infos, l'humanité à dépassé une fois de plus sa possibilité de consommation annuelle dès juillet.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré