Lettre ouverte aux membres d'Econologie-Pantone
Bon jour André, la température elle est commune, ce la température vapeur, échappement, sortie du réacteur, voir le post du 02/03/06 «excuses/schéma » la flèche thermocouple l’indique.
L’isolation de tout l’ensemble, réacteur, échappement, pipe avec le tube d’alimentation que je l’ai soudé contre l’échappement, (tube en fer), sauf l’injecteur doseur, ce ça qui donne la stabilité de l’ensemble, ce magique, vous ne vous affolez plus pour courir après les températures.
André, votre température de sortie bouilleur ce bien, mais donne-moi la température quand ça rentre dans le bouilleur, cette température gaz, fait augmenter, diminuer la température réacteur, est ce bénéfique, ou non, ce l’ensemble de ces questions qui mon fait douter de ce que j’avais réalisé.
L’unification des trois températures en soi ce un grand pas en avance dans la compréhension du Pantone, ce la porte d’entré, il me semble.
Ce un point d’appui pour faire levier ver d’autres solutions et évolutions, par exemple passer en Haute Pression, pardon Haute vitesse, le multi réacteur, affiner la dimension, faire une modélisation ou charte du réacteur.
Pour les vitesses que tu as mis en doute, je n’ai pas consulté aucun papier pour pouvoir rester le plus accessible pour tous, si je retrouve ça ou personne me contredit pour quoi pas, dans le cas que j’ai fait un bug des excuses, mais ce bien ça.
L’isolation de tout l’ensemble, réacteur, échappement, pipe avec le tube d’alimentation que je l’ai soudé contre l’échappement, (tube en fer), sauf l’injecteur doseur, ce ça qui donne la stabilité de l’ensemble, ce magique, vous ne vous affolez plus pour courir après les températures.
André, votre température de sortie bouilleur ce bien, mais donne-moi la température quand ça rentre dans le bouilleur, cette température gaz, fait augmenter, diminuer la température réacteur, est ce bénéfique, ou non, ce l’ensemble de ces questions qui mon fait douter de ce que j’avais réalisé.
L’unification des trois températures en soi ce un grand pas en avance dans la compréhension du Pantone, ce la porte d’entré, il me semble.
Ce un point d’appui pour faire levier ver d’autres solutions et évolutions, par exemple passer en Haute Pression, pardon Haute vitesse, le multi réacteur, affiner la dimension, faire une modélisation ou charte du réacteur.
Pour les vitesses que tu as mis en doute, je n’ai pas consulté aucun papier pour pouvoir rester le plus accessible pour tous, si je retrouve ça ou personne me contredit pour quoi pas, dans le cas que j’ai fait un bug des excuses, mais ce bien ça.
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Bonjour MMM
Pour ce qui est des températures ce n'est pas un but a atteindre
c'est simplement un repaire, si a tel temperature est tel dépression je constat une ammélioration je me guide a certaine valeur
qui aprés experience ne sont pas coulé dans le ciment , cela prend des repaires pour avancer.
La principale mesure que je surveille c'est la sortie de vapeur au milieu du tube de cuivre sortie réacteur sur une partie isolé du tube. bien que cela ne soit pas toujours pareille si je me fie seulemnt a la sensation de couple , parfois a des températures plus basses cela tire bien.
Les gaz échappement je ne les mesurent plus, bien que les deux thermocouples sont encore connecter, mais comme c'est toujours les mêmes valeurs, qui suivent la puissance du moteur, cela me renseigne pas sur grand chose, ce que recherche c'est quoi qui change quand cela s'améliore ou que cela ne marche pas.
Pour la vitesse du front de flamme je me suis basé sur mes connaisances militaires en comparant avec des explosifs.
Je pense que il doit y avoir une erreure sur les unités c'est plutot des cm au lieu des metres, quand on parle de km seconde on entre dans les expolsifs simples a basses vitesses, ( coton poudre a projectile) pas les explosifs déflagrants la c'est nettement plus rapide. En ce qui nous concerne ce n'est pas grave, juste un ordre de grandeur pour savoir que cela brule trés vite.
j'ai vu que tu mesure aussi la sortie du réacteur un peu comme tout les gars sur le forum
mes valeurs vont de minimum a 80c au maximum plus 210c ,mais en conduite stabilsé 100kmh cela se tient a 120c ,mais la encore si je resreint le passage de vapeur dans le réacteur les valeurs changent a la hausse.
André
Pour ce qui est des températures ce n'est pas un but a atteindre
c'est simplement un repaire, si a tel temperature est tel dépression je constat une ammélioration je me guide a certaine valeur
qui aprés experience ne sont pas coulé dans le ciment , cela prend des repaires pour avancer.
La principale mesure que je surveille c'est la sortie de vapeur au milieu du tube de cuivre sortie réacteur sur une partie isolé du tube. bien que cela ne soit pas toujours pareille si je me fie seulemnt a la sensation de couple , parfois a des températures plus basses cela tire bien.
Les gaz échappement je ne les mesurent plus, bien que les deux thermocouples sont encore connecter, mais comme c'est toujours les mêmes valeurs, qui suivent la puissance du moteur, cela me renseigne pas sur grand chose, ce que recherche c'est quoi qui change quand cela s'améliore ou que cela ne marche pas.
Pour la vitesse du front de flamme je me suis basé sur mes connaisances militaires en comparant avec des explosifs.
Je pense que il doit y avoir une erreure sur les unités c'est plutot des cm au lieu des metres, quand on parle de km seconde on entre dans les expolsifs simples a basses vitesses, ( coton poudre a projectile) pas les explosifs déflagrants la c'est nettement plus rapide. En ce qui nous concerne ce n'est pas grave, juste un ordre de grandeur pour savoir que cela brule trés vite.
j'ai vu que tu mesure aussi la sortie du réacteur un peu comme tout les gars sur le forum
mes valeurs vont de minimum a 80c au maximum plus 210c ,mais en conduite stabilsé 100kmh cela se tient a 120c ,mais la encore si je resreint le passage de vapeur dans le réacteur les valeurs changent a la hausse.
André
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Si je comprends bien ce que mmm veut dire c'est que le fonctionnement du reacteur est bon si l'on trace un diagramme de température triangulaire avec trois point de mesures different et que les températures que l'on mesure entre dans ce diagramme.
Ca rejoind ce que je pensais faire avec un diagramme entalpique de l'eau avec les températures à different point du reacteur. Comme sur une machine frigorifique. Ainsi avec le diagramme de fonctionnement on voit d'un seul coup d'oeil ce qui cloche. Comme pour tout système thermodynamique.
Ca rejoind ce que je pensais faire avec un diagramme entalpique de l'eau avec les températures à different point du reacteur. Comme sur une machine frigorifique. Ainsi avec le diagramme de fonctionnement on voit d'un seul coup d'oeil ce qui cloche. Comme pour tout système thermodynamique.
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- Bucheron
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Re: TEMPERATURE MOTEUR
Euh....mmm a écrit :[..]Je reviens sur la TAd en balance sur TEch sur les Audi A Quatro groupe A des années 70, moteur 3L 600 ch, turbo compound, pression 2.8 bar, obligé de pulvériser de l’eau à l’admission pour refroidir sur la température air d’admission,[...]
Désolé, mais je ne peux pas laisser passer ça !
Les Quattro de compétition ont débuté en 1981, le modèle de base ayant été présenté au salon de Genève en mars 1980.
La cylindrée du moteur était de 2,1 l (2144 cm3 exactement au début, puis 2133 sur l'évolution "Sport Quattro").
Ces voitures n'ont jamais été équipées d'un turbo-compound, cette technologie n'a même jamais été installée sur des automobiles en série. On commence à la voir apparaitre sur des poids-lourds SCANIA.
Il est fort peu probable que la puissance ai réellement atteint 600 ch sur les versions rallyes. Par contre, cette puissance fut atteinte et certainement dépassé (au niveau de la mer) pour les version "Pikes-Peak".
Enfin l'injection d'eau était une technique utilisée par toutes les marques engagées en groupe B dans le milieu des annés 80.
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UNIFICATION DE LA TEMPERATURE
Revenons sur la mesure de température à cet endroit précis du montage, il s’agit de vérifier, trois choses.
La température du réacteur, fonctionne ou devient opérationnel. OUI.
La température des gaz d’échappement est suffisante pour assurer le fonctionnement de l'ensemble. OUI. A condition de faire un isolement pour palier aux aléas de charge et vitesse moteur d’un véhicule particulier.
La température est suffisante pour convertir l’eau en vapeur. OUI. La il y a un problème. 85° C à pression atmosphérique l’eau il ne buis pas, donc peut être qu’ici il se rejoint les observations de André et outres, a l’apparition des fines gouttelettes il y a que chose qui commence. Moi je l’appelle nébulisation, je ne sais pas si se du français. Et ce a cette température qui commence a apparaître les bulles de gaz au fond de une casserole chauffé.
Ce a partir de cette température et au maximum que j’ai atteint que je n’ai rien remarque de quantifiable.
Il me semble que ce point du levier que j’ai explique est très intéressant, on peut explorer un système de chauffage rapide, pour de véhicules qui auront des problèmes de mise en température, ou s’il y a de courageux, je me lance.
Supprimer, VENTURI RENIFLARD est possible, il est envisageable, ce facile a essayer, mais S.V.P. ne me pose pas de questions. Je ne pas essayé.
La température du réacteur, fonctionne ou devient opérationnel. OUI.
La température des gaz d’échappement est suffisante pour assurer le fonctionnement de l'ensemble. OUI. A condition de faire un isolement pour palier aux aléas de charge et vitesse moteur d’un véhicule particulier.
La température est suffisante pour convertir l’eau en vapeur. OUI. La il y a un problème. 85° C à pression atmosphérique l’eau il ne buis pas, donc peut être qu’ici il se rejoint les observations de André et outres, a l’apparition des fines gouttelettes il y a que chose qui commence. Moi je l’appelle nébulisation, je ne sais pas si se du français. Et ce a cette température qui commence a apparaître les bulles de gaz au fond de une casserole chauffé.
Ce a partir de cette température et au maximum que j’ai atteint que je n’ai rien remarque de quantifiable.
Il me semble que ce point du levier que j’ai explique est très intéressant, on peut explorer un système de chauffage rapide, pour de véhicules qui auront des problèmes de mise en température, ou s’il y a de courageux, je me lance.
Supprimer, VENTURI RENIFLARD est possible, il est envisageable, ce facile a essayer, mais S.V.P. ne me pose pas de questions. Je ne pas essayé.
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Re: UNIFICATION DE LA TEMPERATURE
mmm a écrit : Moi je l’appelle nébulisation, je ne sais pas si se du français.
Merci mmm, nébulisation (ou brumisation), c'est du bon français, c'est le mot que je cherchais pour distinguer la vapeur visible (vapeur, brume, brouillard, nuage) qui sont des goutelettes de liquide en suspension dans l'air, et la vapeur d'eau invisible (humidité) qui est un vrai gaz. Dommage que je ne connaisse pas d'autre mot en français pour distinguer vapeur visible (liquide) et vapeur en phase gazeuse. La brume tout comme le gaz vapeur d'eau existent aussi à moins de 100°, cela dépend de la pression atmophérique et du pourcentage d'humidité de l'air. Plus l'air est chaud et plus il peut se charger en vapeur d'eau. Quand l'air saturé d'humidité se refroidit, la vapeur gazeuse se condense en fines gouttelettes de liquide en suspension dans l'air (brume ou brouillard), puis se dépose sous forme de rosée. Un air très froid contient très peu d'humidité. Je ne sais toujours pas s'il faut envoyer dans le réacteur Pantone de la brume (hypohèse d'André) ou de la vapeur d'eau (gaz invisible).
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Re: UNIFICATION DE LA TEMPERATURE
On appelle ça un aérosol, c'est une suspension de goutelettes d'eau dans un milieu gazeux (dans l'air en ce qui nous concerne), "La taille des particules varie entre 0,001 et 100 µm[...]" te dirait mon dictionnaire favori...Cuicui a écrit :[...]Dommage que je ne connaisse pas d'autre mot en français pour distinguer vapeur visible (liquide) et vapeur en phase gazeuse. [...]
La vapeur est un gaz invisible.
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En Rallycross, ou en course de côte pour la version "Pikes Peak" en ce qui concerne la Quattro S1, oui.PITMIX a écrit :Ah bon pourtant un ancien pilote disait que les 205 Turbo 16 et autre Audi Quatro faisaient dans les 600, 700Cv je ne sais plus de quel groupe il s'agissait.
Mais pas en rallye...
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Re: UNIFICATION DE LA TEMPERATURE
Bucheron a écrit :On appelle ça un aérosol, c'est une suspension de goutelettes d'eau dans un milieu gazeux (dans l'air en ce qui nous concerne), "La taille des particules varie entre 0,001 et 100 µm[...]" te dirait mon dictionnaire favori...Cuicui a écrit :[...]Dommage que je ne connaisse pas d'autre mot en français pour distinguer vapeur visible (liquide) et vapeur en phase gazeuse. [...]
La vapeur est un gaz invisible.
Merci Bucheron, c'est bien noté.
Si j'ai bien compris :
- brume, brouillard = aérosol
- vapeur d'eau = gaz invisible
Etant donné qu'il est d'usage courant d'appeler improprement "vapeur" ce qui souffle d'une bouilloire, quel autre nom lui donner pour éviter les confusions ? "aérosol brûlant" ? "vapeur blanche" ?
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