Bonjour à TOUS,
Expo solaire et températures, moyens efficaces de lutter contre le covid-19?
Je déroge à mon silence depuis 2016, parce que le sujet m'intéresse et parce que j'avais déjà fait un papier y'a longtemps à propos de la Grippe Espagnole (qui avait prouvé qu'un sanatorium et un capitaine d'armée avaient sauvés des vies par une exposition solaire) et au vu de la gravité (relative) de la situation. Et je ne sais d'ailleurs pas si les infos qui suivent ont déjà été publiées ici:
Infos sur les U.V. (allez au Soleil, zou....)
Source: USA
“National Biodefense Analysis and Countermeasures Center”Durées permettant de réduire à une demi-vie la force du virus (pour réduire de moitié sa puissance)
— 18 heures avec une température comprise entre 21 et 24 degrés Celsius, avec 20% d'humidité sur une surface non-poreuse.
=> 6 heures quand le tx d'humidité monte à 80%, (Cela inclut des surfaces telles que des poignées de portes).
=> =>
et seulement deux minutes lorsque la lumière du soleil est ajoutée à l'équation.
— 1 heure dans l'air avec une température de 21 à 24 degrés Celsius et 20% d'humidité.
=> =>
avec l'ajout de la lumière du soleil, cette durée tombe à une minute et demie.
Plus on augmente l'expo, plus on réduit le risque... Mais cela ne signifie pas que l'agent pathogène soit éliminé entièrement.
“Des études précédentes avaient montré que le virus survivait mieux dans des conditions météorologiques froides et sèches plutôt que chaudes et humides. Le taux de propagation moindre de la maladie dans les pays de l'hémisphère sud où c'est le début de l'automne, avec un temps encore chaud, semble aussi soutenir cette théorie.”Source:
https://www.bluewin.ch/fr/lifestyle/la- ... 84152.htmlInhalationsEt donc, si on peut agir sur les températures pour “déranger” voir même “détruire le virus”, voici un moyen
“sans danger“ qui permet d'aller traiter le virus là où il fait le plus de ravage: dans les poumons et par inhalation.
En effet, si au-delà de 24°C, le virus commence à décliner, à la température du corps, il n'est pas dans des conditions de maintient de son intégrité idéales, ce qui prouve bien que les personnes développant des symptômes ont des déficits.
L'idée est du Dr Pierre-Jacques Raybaud (Médecine, généraliste, diplômé d'Immunologie générale de recherche en biologie humaine)
Sources et liens pour l’inhalation:
https://blogs.mediapart.fr/pierre-jacqu ... inhalation vidéos:
Vidéo pratique:
Retour d'expérience, j'ai testé cela:
85°C, comme dit dans la vidéo (même si c'est la température de certains saunas), c'est un peu élevé quand même (et pas si nécessaire).
C'est je crois le seul moyen réellement efficace car prophylactique qui a émergé, avec pour l’aspect curatif — en prévention ou suspicion de contact avec le virus — les inhalations de vapeur que je recommande entre 75°C/77°C (inhalateur vendus en pharmacie, utilisés habituellement avec du Perubare) qui permettent d’aider à combattre le virus dans les poumons AVANT d’avoir des symptômes et qui dégage les voies respiratoires (pour les personnes ayant potentiellement été exposées) ou en cas de suspicion d’exposition, ce qui permet très probablement à tous les coups de diminuer l’impact de la charge virale.
En réalité, le virus est très sensible à la chaleur et ici les chiffres seraient pour environ 10 minutes de “traitement”:
— 25% à 40°C
— 50% à 50°C (demi-vie)
— 99% à 56°C
Donc l'intérêt de monter en température est clair, cela permet de traiter les poumons plus en profondeur et diminuer la durée des inhalations.
Respirer de la vapeur à faible densité n'est pas destiné à détruire les virus (qui sont des accidents biologiques) mais à réduire la charge virale, à l'affaiblir pour détruire sa membrane constituée de lipides en la dénaturant, et de ce fait faire “gagner la compétition” aux cellules vivantes et encore saines, face au virus.... mais aussi à fluidifier le mucus pour encourager le mouvement d'expectoration qui transporte les toxines virales hors des poumons (par la bouche) et élimine les obstructions. Et ce dernier point est mécanique et donc réellement efficace.
Et bien sûr, agissant ainsi, cela permet également de réduire une réponse immunitaire exessive de l'organisme, car le virus ne s'attaquerait pas aux poumons mais au vaisseaux sanguins, selon certaines sources.
De plus, la vapeur à des températures jusqu'à 77°C n'endommage pas les tissus pulmonaires si elles ne sont pas denses, car leur chaleur sera dissipée au contact des tissus humains jusqu'aux poumons, tout en étant efficace pour tuer les virus au contact de petites gouttelettes virales. Il faut également faire ressortir l'air par la cavité nasale, qui bénéficie alors elle-aussi du traitement.
On peut aussi utiliser une bouilloire (plus efficace que l'inhalateur, à condition dans les deux cas d'avoir un thermomètre pour le faire en toute sécurité: impératif) et mettre un cône par en dessus, mais en tous les cas, il faut bien respirer très lentement par la bouche à la bonne température (qu’il ne faut pas dépasser, pour ne pas créer des lésions buccales ou gingivales). Lorsque l'on pratique cela, après c'est fou ce que les voies respiratoires sont dégagées! Incroyable.
A part ça, toute personne ayant une maladie chronique (ou non), devrait faire un biocheck complet (analyse sanguine poussée qui révèle des d’efficiences en vitamines et autres éléments nutritifs) et compenser soit par l’alimentation, soit par compléments alimentaires.
Après chacun sait ce qu'il veut/peut faire...
Sans biocheck, les compléments de vitamines C (affections pulmonaires) et “D”, sont reconnus efficaces, et toujours sans danger et permet également de faire quelque chose “AVANT d’être mal”.
Preuve en est les dernières études qui ciblent de nouvelles molécules (28 médicaments potentiels et déjà testés) et qui pointent le fait que le virus s'en prend au point faible du métabolisme du calcium.
Revue NATURE:
https://www.nature.com/articles/s41586-020-2286-9Après de multiples tests viraux, les chercheurs ont identifié deux ensembles d'agents pharmacologiques qui ont montré une activité antivirale: des inhibiteurs de la traduction de l'ARNm
et des régulateurs prédits des récepteurs Sigma1 et Sigma2. D'autres études sur ces agents ciblant le facteur hôte, y compris leur combinaison avec des médicaments qui ciblent directement les enzymes virales, pourraient conduire à un régime thérapeutique pour traiter COVID-19.
Les récepteurs Sigma1 et Sigma2 sont les suivants (pour ceux que ça intéresse):
https://fr.qwe.wiki/wiki/Sigma-1_receptorhttps://fr.qwe.wiki/wiki/Sigma-2_receptorJ'avais également parlé de ces questions de “récepteurs” il y a quelques années, donc rien de très nouveau, ce virus semble se comporter comme tous les virus. Ce qui est le problème c'est la vitesse de propagation et le fait qu'il soit env. 6 fois plus létal que la grippe saisonnière en moyenne (et qu'il n'est pas encore clair si il est de source naturelle ou non). Et le fait qu'avec le temps, et la malbouffe, l'immunité des populations est en déclin, et éventuellement beaucoup plus sensible aux virus.
Bonne salutations à tous les “héros” de ce forum, toujours là après des années, ils se reconnaitront!
Obamot.