Non, c’est la fragilité inflammatoire préalablement établie des personnes infectées qui est le TERRAIN pour qu’elles se développent, il est très connu et testé de différentes façons. Ce ne sont pas des séquelles du covid, mais de problèmes inflammatoires antérieurs, et que l’on déclare symptômes ou effets secondaires du covid, le covid n’étant en réalité que le dégoupillage de la grenade (principalement chez les obèses et personnes au passé inflammatoire notable... depuis des années et plus vraisemblablement des dizaines d’années...) C’est pourquoi la vaccination pose problème, elle peut potentiellement exacerber ou pré-déclencher des syndromes inflammatoires, et n’importe quel virus qui passe ensuite peut être le dégoupillage.
Sans trop me tromper c’est de type vasculite des petits vaisseaux sanguins (ou quelque chose du genre). Cette pathologie peut donc affecter l’ensemble de tout ce qui est drainé par le sang, donc absolument tout dans le corps humain. L’un des tout premiers signes est celui de la peau sèche, de la présence d’allergies, mais on ne peut-être catégorique car certains sujets peuvent développer des faiblesses préalables dans des organes inaccessibles visuellement (les poumons pour les fumeurs, le foie pour les buveurs, le cœur pour les obèses et hypertendus, etc pour la langue, c’est sûrement ceux qui l’ont bien pendue?)
Le nombre de cas moyens à taux aigu de ce type de pathologies (des vaisseaux sanguins) doit donner l’éventail de ces “
cas atypiques grippaux (car oui, sans vouloir être catégorique, le covid léger donne des symptômes grippaux au départ, et peut dégénérer vers une affection principalement respiratoire, comparable à ce qu’il se passe après une mauvaise grippe entraînant des complications voire un décès.)
Donc on nous trompe un peu lorsque l’on dit que ce sont des symptômes covid, ce ne sont que des effets préexistants, encore non (ou peu) exprimés... et amplifiés par le “dégoupillage” covid.