Hors il ne fait qu'analyser des faits et études scientifiques et leurs BIAIS !! Il est intolérable de traiter l'analyse de la vérité scientifique de complotisme !!
Apparemment la campagne de vaccination a été lancée sans AMM (Autorisation de Mise sur le Marché)...Chose complètement impensable en temps normal et qui est pénalement lourdement condamnable !!
Je vous copie colle donc les conclusions de cette page (j'ai pas tout compris les détails biologiques...): https://www.vidal.fr/actualites/26446-v ... cinal.html
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Les risques potentiels de ces usages hors AMM
Au-delà des incertitudes, en termes d'efficacité, liées à ces usages hors AMM, certains scientifiques alertent sur les risques individuels et collectifs que cette « créativité vaccinale » pourrait entraîner.
Au niveau individuel, retarder l'injection de rappel peut interférer avec la maturation d'affinité des anticorps neutralisants. Or cette maturation, qui a habituellement lieu entre la 2e et la 3e semaine de la réponse immunitaire, permet de sélectionner parmi les plasmocytes (lymphocytes B) ceux qui produisent les anticorps ayant la plus grande affinité avec l'antigène (et d'inhiber les plasmocytes produisant des anticorps de plus faible affinité). Une maturation altérée expose à une immunité insuffisamment spécifique et pourrait jouer un rôle dans le déclenchement d'une maladie aggravée par la vaccination (voir notre article sur le sujet), voire de maladie auto-immune. Les avis des experts divergent sur ce sujet, certains tirant le signal d'alarme (par exemple, Florian Krammer, immunologiste à la Mount Sinai School of Medicine, New York), d'autres estimant que le risque est faible sur 12 semaines (par exemple, Akiko Iwasaki, immunologiste à l'université de Yale).
Au niveau collectif, l'existence d'une population mal immunisée contre la COVID-19, sur un fond d'immunosuppression liée à l'âge, dans un contexte épidémique explosif comme celui qui prévaut actuellement au Royaume-Uni, représente un risque important de sélection de variants de SARS-CoV-2 résistant aux anticorps neutralisants issus de la vaccination. Pour rappel, l'exposition de virus à des taux suboptimaux d'anticorps neutralisants est, in vitro, la technique de choix pour la sélection de mutants résistants à ces anticorps. Toujours au niveau collectif, certains se sont inquiétés de l'effet de ces usages hors AMM sur l'acquisition de l'immunité mucosale (dans le rhinopharynx) et sur la possible transmission de SARS-CoV-2 par les personnes ainsi vaccinées : ces usages hors AMM pourraient-ils augmenter le pourcentage de personnes vaccinées capables de transmettre le virus ?
Sur un plan sociologique, divers experts craignent que le « bidouillage » avec le calendrier vaccinal n'accroisse le niveau de méfiance général vis-à-vis de ces vaccins. Par ailleurs, certains mettent l'accent sur le fait qu'une immunité insuffisante associée à un faux sentiment de protection puisse aboutir à une diminution de l'adoption systématique des gestes barrières et une augmentation de la prise de risque. De plus, quel effet l'espacement des injections aura-t-il sur l'observance ? Laisser croire indirectement que la 1re injection protège suffisamment risque d'augmenter le nombre de personnes négligeant leur 2e injection.
Enfin, comme l'ont fait remarquer divers observateurs, au vu des difficultés logistiques actuellement rencontrées dans la plupart des pays, doubler le nombre de doses disponibles ne garantit pas de doubler le nombre de personnes vaccinées chaque semaine !
En conclusion, si les usages hors AMM proposés aujourd'hui pour les vaccins à ARNm (délai de la 2e injection pour les deux vaccins, injection de demi-doses pour le vaccin Moderna) s'appuient sur des données collectées dans les essais cliniques, l'interprétation de ces données est fragilisée par leur analyse post-hoc (et par l'absence de randomisation pour les demi-doses Moderna). Cette fragilité est à la base des réactions réservées des agences sanitaires et des industriels.
De plus, ces usages hors AMM soulèvent de nombreuses questions en termes de risque, dont certaines pourraient avoir de graves conséquences collectives (sélection de mutants résistants, méfiance aggravée, faux sentiment de protection) ou individuelles (immunité insuffisante, voire effets indésirables à long terme d'origine immunitaire).
Depuis un an, cette pandémie a régulièrement porté des coups de boutoir aux bases de la méthode scientifique et de la médecine fondée sur les preuves : remise en question de l'importance des essais randomisés (hydroxychloroquine), AMM accordée sans prendre en compte l'ensemble des données disponibles (remdésivir), extension d'indication au-delà des données issues des essais cliniques (vaccination des plus de 75 ans) et, désormais, non respect des aspects posologiques de l'AMM et ce dès la commercialisation.
O tempora ! O mores !
Donc pedro tu disais quoi ? Vaccination sans problème ?
Je sauvegarde sous forme d'une capture d'écran également...car c'est fondamental !