Lorsque je faisais allusion aux cons nuisibles que je pourrais tout aussi bien qualifier de pourriture de l’humanité, je pensais a ceux évoquées dans ce documentaire.
Ce sont évidemment des "gros sous" qui sont derrière et ensuite le désir individuel de ne pas être dérangé dans son petit confort ou son idéologie, ne pas être contraint par la réalité, qui relayent tout ça.
la fabrique du doute...
la recherche doute, la science ne doute pas et ils ont amené le doute dans la science pour arriver à leurs fins : noyer le problème dont ils sont a l'origine dans un brouillard de problèmes afin de diminuer le poids du problème dont ils sont a l'origine: tabac, amiante, roundup RCA, abeilles...
Quel véritable débat avoir face a cette mauvaise foi financée et organisée ? Voilà pourquoi ça clash.
https://www.arte.tv/fr/videos/091148-00 ... ignorance/Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information.
Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
Agnotologie
Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein.
Dans la même veine, il y a 3 documentaires sur Murdoch
https://www.arte.tv/fr/videos/098154-00 ... edias-1-3/Après tout ça,on comprend pourquoi il devient difficile d'avoir un débat serein, avec ou contre au moins
2 activistes sur le forum.
peu importe.
On va tenter le 3 posts par jour max