Comprendre le monde dans lequel nous vivons ?

[GuyGadeboisLeRetour]

Cette règle n'est donc pas valable pour ceux de ton Klan et ne s'applique qu'aux "autres" ?

[gfgh64]

non,non,valable pour tout le monde,Remundo a meme liké

bon dans certaine circonstance ici on peut liké meme si pas d'accord mais c'est pas pareil,un peu comme dans le Broucounois

[gegyx]

non,non,valable pour tout le monde

Merci quand même, tu n'as même pas fait la remarque de "nuls et non advenus"
/ Le problème lorsqu'on a fait du Latin...

[GuyGadeboisLeRetour]

Vu des États-Unis. Comment Joe Biden se fait mener en bateau depuis un an par Benyamin Nétanyahou

Au bout d’un an de guerre entre Israël et le Hamas, l’échec du président des États-Unis à faire valoir ses vues est patent, selon les commentateurs d’outre-Atlantique. Un allié relativement petit et dépendant dicte sa stratégie à Washington et pourrait même chambouler la politique intérieure du pays.

“Nétanyahou joue plus habilement des rouages de Washington que la plupart des politiciens aux États-Unis. Et il a n’a cessé de damer le pion à Biden”, a déclaré au Financial Times le chroniqueur israélien de Ha’Aretz Alon Pinkas, un an après les attaques du 7 octobre 2023 en Israël.

En 1996 déjà, le président des États-Unis Bill Clinton demandait à l’issue d’une rencontre avec Benyamin Nétanyahou, déjà Premier ministre d’Israël : “Quelle est la putain de superpuissance ici ?”

Près de trois décennies plus tard, la superpuissance semble se laisser dicter les décisions stratégiques par son protégé, déplore un commentateur de The Atlantic. Et la Maison-Blanche “se comporte comme un chien qui aurait décidé de courir derrière sa queue”.

“Biden s’est mis hors-jeu”

Le constat, sévère, est partagé par le chroniqueur de centre gauche Nicholas Kristof, du New York Times, alors que celui-ci voit plutôt d’un bon œil le président et sa politique étrangère. “Biden voulait la paix, il a pourtant permis la guerre”, résume-t-il.

“Biden plaide la retenue depuis un an mais il s’est mis hors-jeu en continuant de fournir les armes qui étaient employées au mépris de ses injonctions. Il en a appelé à la conscience de Nétanyahou, qui en est de toute évidence dépourvu”, estime le chroniqueur. Pourtant, “avant Biden, d’autres présidents des États-Unis ont été plus disposés à user du levier que constituent les livraisons d’armes à Israël”. Non sans effet.

“Il m’est douloureux d’écrire cette chronique. Le fait est cependant qu’un an après les attentats du 7 octobre, la politique de Biden au Moyen-Orient apparaît comme un échec sur les plans pratique et moral.”

Comme l’a encore montré l’invasion du Liban par Tsahal en dépit des mises en garde de Washington, le président américain “ne cesse de se faire filouter par le Premier ministre israélien”.

Cet échec “entache son bilan”, et le pire est peut-être encore à venir, ajoute le journaliste du New York Times : “Je crains que Nétanyahou ne conduise Israël vers une guerre contre l’Iran et qu’il ne cherche à attirer les États-Unis dans la bataille”.

Et le chroniqueur d’écouter avec inquiétude certains “faucons” à Washington rêvant tout haut de “refaçonner le Moyen-Orient”. “Cela me rappelle les prévisions exaltées sur l’invasion de l’Irak, il y a vingt et un ans, qui devait ouvrir la voie à une nouvelle ère démocratique et paisible une fois Saddam Hussein chassé du pouvoir.” Entre autres exemples d’hubris aboutissant à un bourbier.

Nétanyahou tire les ficelles

Les tensions avec l’Iran laissent même envisager un scénario digne de la série House of Cards, écrit le chroniqueur du Financial Times Edward Luce. “À tout juste un mois de la présidentielle aux États-Unis, les événements du Moyen-Orient pourraient changer le résultat du 5 novembre.”

Après l’abondante salve de missiles lancée par Téhéran sur Israël, “une escalade entre les deux pays pourrait faire grimper en flèche les prix du pétrole, ce qui plomberait immédiatement le moral des consommateurs aux États-Unis, pile au moment où les électeurs se rendent aux urnes”.

De quoi mettre en péril les chances de Kamala Harris et, par conséquent, tout l’héritage de Joe Biden. Le président a déconseillé de frapper les sites pétroliers iraniens. Mais voilà : “c’est bien Nétanyahou, et non Biden, qui décide de la suite”.

Gabriel Hassan

https://www.courrierinternational.com/a ... hou_223074

[Obamot]

Ah ouais c’est un scoop pour toi au point d’en pondre un post ?
Vas-y l’enfonceur de portes ouvertes qui n’a même pas regardé les vidéos privées de Nétanyahou où il le dit ouvertement. Mdr.

Et après ça, au lieu d’y contribuer, tu vas encore venir nous gratifier de ta morve dans le fil:
— “Coup d’état (supranational) mondial en cours?”

En nous taxant de:
— “Complotistes stremdroate”

Pov pitre de mauvaise foi…

[GuyGadeboisLeRetour]

Groupe Ramsay au Havre - Quand les urgences refusent les “patients sans devenir”

Publié le 8 octobre 2024 à 21:00
Par Fanny Ruz-Guindos

Un document interne à l'hôpital privé de l’Estuaire, que "Le Canard" a récupéré, fait une liste des malades non recevables car les pathologies dont ils souffrent ne sont pas rentables. En résumé, halte aux vieux, aux déments et aux junkies !


© Aurel - Urgence : le traitement des patients sans devenir

Tout le monde n’est pas le bienvenu aux urgences de l’hôpital privé de l’Estuaire du Havre. L’établissement tient bel et bien à choisir ses clients. Pas question pour lui de prendre « en charge » des patients qui présentent « des troubles cognitifs sévères », « des troubles psychiatriques », dont « le maintien à domicile est difficile », dont « la situation sociale est difficile », ou, pire, « un patient sans devenir ». Qu’est-ce qu’un patient sans devenir ? Un malade qui va crever sans avoir de quoi payer la douloureuse ?

C’est ce que révèle un document interne de l’établissement, récupéré par « Le Canard ». L’hôpital privé du Havre y précise qu’il ne prend pas en charge la gériatrie, la psychiatrie et l’addictologie. En gros, halte aux vieux, aux déments et aux junkies ! Jugés complexes, ces patients se révèlent peu rentables à l’usage. L’Estuaire préfère les malades dont l’hospitalisation est programmée. Les urgences, avec leur lot d’aléatoire, ce n’est pas trop son truc. L’été dernier, il les a d’ailleurs fermées les nuits des vendredis, samedis et dimanches, attendant le 1er septembre pour les rouvrir.
RAS à l’ARS

L’hôpital est pourtant mandaté par l’agence régionale de santé (ARS) de Normandie pour assurer une mission de service public aux urgences, et, en théorie, il « doit y accueillir tout patient qui s’y présente ».

« Si les patients et leurs familles ressentent une discrimination à l’entrée des établissements privés, ils ne peuvent pas le prouver et, donc, ne se plaignent jamais »

Marie-Jeanne Richard, ex-présidente de l’Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques

L’ARS assure qu’aucun « signalement ou événement indésirable grave récent » le visant ne l’a, pour l’heure, conduit à mener une inspection. RAS ? « C’est normal. Si les patients et leurs familles ressentent une discrimination à l’entrée des établissements privés, ils ne peuvent pas le prouver et, donc, ne se plaignent jamais », réagit Marie-Jeanne Richard, ex-présidente de l’Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques.

La politique discriminatoire de l’hôpital de l’Estuaire vaut-elle pour le reste du groupe Ramsay, auquel il appartient ? Leader de l’hospitalisation privée en France depuis 2014 et en Europe depuis 2018, Ramsay Santé tient la forme. Le mastodonte australien, perfusé aux fonds d’investissement privés, ne veut peut-être pas gâcher sa belle santé financière avec des « patients sans devenir ».

Au sujet de ces derniers, Ramsay se veut rassurant : « Les médecins de l’établissement du Havre assurent une continuité des soins sur l’ensemble des spécialités pratiquées. » Ouf ! pour un peu, on craignait que l’hosto n’accepte plus aux urgences que les patients en bonne santé…

https://www.lecanardenchaine.fr/sante/4 ... ns-devenir

Capture d'écran du .pdf de l'hôpital:

Screenshot 2024-10-11 at 16-35-42 HPE (2).pdf - 9b9c7470-ramsay-sante.pdf.png (177.12 Kio) Consulté 602 fois

Document interne de l'hôpital:

9b9c7470-ramsay-sante.pdf

(1.32 Mio) Téléchargé 61 fois

[gildas]

Le président a déconseillé de frapper les sites pétroliers iraniens. Mais voilà : “c’est bien Nétanyahou, et non Biden, qui décide de la suite”.

Gabriel Hassan

https://www.courrierinternational.com/a ... hou_223074

Inutile de frapper les sites pétroliers Mr Biden, il y a aussi de l'eau de mer en Iran pour alimenter des réacteurs Pantone

[GuyGadeboisLeRetour]

Merci Gildaz.

[GuyGadeboisLeRetour]

Trump, de plus en plus fou (tout court):

Screenshot 2024-10-11 at 18-35-28 Le Canard enchaîné N°5422 09 Octobre 2024.png (93.68 Kio) Consulté 576 fois

[gegyx]

Elon est fou, trump est fou...
quand tu auras finis le tour, tu constateras que c'est toi qui n'est plus à sa place dans notre société.
C'est normal, cela m'arrive de temps en temps.