Politique française : quel avenir pour Macron (et la France) et pourquoi ?

[GuyGadeboisLeRetour]

La merde progressive dans les banlieues (s'étant affranchis à la fois des lois religieuses et des lois de la République qui a abandonné ces endroits) elle vient de la pauvreté, du trafic et du pognon de la drogue essentiellement. L'islam radical y est marginal et surtout représenté par quelques machos ignares, consanguins, impuissants et frustrés (qui ne croient pas plus en Allah qu'en Vishnou) voulant soumettre les femmes.

[gildas]

Il faut voir le monde de l'inversion qu'Emmanuel Macron nous laisse apercevoir dans la vidéo ci-dessous.



Par ailleurs, des écrivains ne pouvant être à la hauteur d'un serviteur l'idéalise en sauveur.
Voir la romance arthurienne où c'est une servante qui sauve son roi.

[Obamot]

Il faut voir le monde de l'inversion que XXX nous laisse apercevoir….

Par ailleurs, des écrivains ne pouvant être à la hauteur d'un serviteur l'idéalisent en sauveur.
Voir la romance arthurienne où c'est une servante qui sauve son roi.

— “ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé (dans ce fo-fo…) serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence”

[gildas]

Obamot, si tu pense être un serviteur, le roi ne semble plus aimer tes interventions...

[Obamot]

Mdr. T’as presque tout dit ! un peu comme Macron alors…!

[GuyGadeboisLeRetour]

Guillaume Kasbarian, un rien bourreaucratique

© KIRO


[PORTRAIT] Pour réduire “l’excès de bureaucratie”, le ministre de la Fonction publique s’inspirerait bien de son idole… Elon Musk, arrivé au sein de l’équipe Trump, avec pour mission de dégraisser le mammouth washingtonien.

Soudain, les téléphones se mirent à sonner dans tous les sens, et ce fut la consternation. Des journalistes, des syndicalistes, des députés qui se pincent. C’est bien lui qui a tweeté ça, vous confirmez ? Euh, peut-être. On a une idée du nombre de fonctionnaires concernés par les coupes ? Oups. Le ministre va-t-il rencontrer Musk pour lui demander des conseils ? Rien n’est prévu, mais nous vous rappellerons sans faute.

Les collaborateurs de Guillaume Kasbarian, le ministre de la Fonction publique, ont vécu, le 13 novembre, un grand moment de solitude. Leur patron n’a pu masquer, sur Twitter, son enthousiasme délirant après l’annonce de l’arrivée de Musk au sein de l’équipe Trump, avec pour mission de dégraisser le mammouth washingtonien. Musk pourrait faire subir aux fonctionnaires fédéraux ce qu’il a imposé aux salariés de ses boîtes ? Formidaaable, quelle niaque, il est incroyable, ce mec : « Hâte de partager avec vous les meilleures pratiques pour faire face à l’excès de bureaucratie », s’est pâmé le diplômé de l’Essec, se voyant déjà sur la photo, en Tesla avec Musk. Les « meilleures pratiques », selon Elon, pourraient bien ressembler à cette affiche qu’il avait fait placarder dans ses usines de Californie : « Si tu ne viens pas dimanche, inutile de revenir lundi. » A moins de 80 heures par semaine, c’est direct la porte, faut vous le dire sur quel ton, les feignasses ?

Moustache gracias

De l’avis général, Kasbarian a mis du temps à comprendre la portée de sa bourde, obligeant la porte-parole du gou­vernement à nier toute conversion au trumpisme. Provoc à deux balles à la Macron, tempête dans un verre d’eau ? Ce n’est pas l’avis d’un important industriel, qui a croisé plusieurs fois Kasbarian quand celui-ci était député (Renaissance) d’Eure-et-Loir et président de la commission des Affaires économiques : « Il est sincère, hélas ! C’est un ancien des cabinets de conseil, un ultralibéral sans fond. Il est pour moi la quintessence de l’effondrement de la classe politique française, inculte et égocentrique. »

Il est exact que le ministre de la Fonction publique fait tout pour se faire remarquer, soignant son style IIIe République avec sa moustache à la Casimir-Perier, son béret (made in France) et sa bicyclette, sur laquelle il adore se mettre en scène lors de ses tours de « circo à vélo ». Eh oui, c’est important d’aller ainsi, en toute simplicité, « à la rencontre des gens ». Sa vie ? Une chaumière près de Chartres, avec son compagnon et deux chats noirs.

Le dossier dont il est chargé, politiquement compliqué, méritait un poil plus de finesse. Les absences dans la fonction publique coûtent 15 milliards d’euros par an à l’Etat ? Il omet juste de préciser que les abus concernent essentiellement la fonction publique territoriale. La façon dont il a braqué les syndicats a déjà réduit considérablement sa marge de manœuvre. Désormais, le tweetos fou, dûment recadré par Matignon, a calmé ses ardeurs. « Écouter les agents et leur retour de terrain est un levier essentiel », a-t-il écrit bien sagement en fin de semaine.

Avant de s’occuper des fonctionnaires, Kasbarian a sévi au Logement, dans le gouvernement de Gabriel Attal, dont il est proche. Il s’était fait connaître en donnant son nom, en 2023, à une loi contre les squats : 45 000 euros d’amende et des peines de prison, rien que ça. Les histoires de petits retraités mis sur la paille par des squatteurs s’étaient certes multipliées, mais bon nombre d’élus de gauche, et aussi de droite, avaient trouvé que le balancier repartait trop vigoureusement en sens inverse, le phénomène des squats restant marginal en France.
“Kasba” des briques

Pas de quoi troubler « Kasba », qui avait déjà signé une tribune, en mars 2020, appelant à supprimer… la trêve hivernale ! Ministre du Logement, il a défendu bec et ongles les propriétaires, sans jamais trouver le temps d’une réunion pour protéger les plus de 2 000 enfants à la rue en 2024.

Se définissant comme un fan absolu de Macron – « S’il n’en reste qu’un à la fin, ce sera moi » –, cet idolâtre de tempérament s’était illustré sur Twitter en réaction au discours très antigouvernemental de la réalisatrice d’« Anatomie d’une chute », Justine Triet, en mai 2023. C’est quoi ces gauchos de seconde zone qui osent défier Jupiter ? Il avait moqué rageusement ce « petit microcosme biberonné aux aides publiques », puis refusé obstinément de visionner la Palme d’or et filé revoir son cher « Astérix ».

Anne-Sophie Mercier

https://www.lecanardenchaine.fr/politiq ... -kasbarian

[Christophe]

Va falloir serrer les fesses un moment !!!

MACRON et sa clique ont FAIT UN EXCELLENT BOULOT...mais pas pour VOUS, les Français !

deficit france 2024-2029.jpg (193.09 Kio) Consulté 221 fois

https://www.lesechos.fr/economie-france ... ce-2134016

[Obamot]

On peut seulement être interloqué, qu’avec 3´000 milliards de dette on arriverait si vite à la réduire sans aggraver l’inflation!
Je ne sais pas d’où sortes ces prévisions PSMT, mais ça semble ahurissant…

Selon Chat-GPT, rembourser 100 millions de la dette par an serait déjà ambitieuse politique budgétaire en situation d’inflation.

J’ai donc demandé une simulation tenant compte de 100 millions / an, et plutôt en situation d’inflation …et avec une perspective de remboursement à des taux raisonnables. Et bien y’a rien à faire,il semble bien qu’en l’état, la France ne sera plus jamais en mesure de rembourser sa dette qui enfle plus vite qu’elle ne peut être épongée…

Base 2023, dette souveraine = 110% du PIB

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Envoyé par Copilot :
Pour déterminer si l’estimation de 100 milliards d’euros de remboursement annuel est réaliste, nous devons examiner les tendances historiques et les capacités budgétaires de la France.

Tendances générales de la dette française :
Niveau de la dette : La dette publique française a atteint 3’458 milliards USD en juin 20241.
Ratio dette/PIB : Le ratio de la dette publique par rapport au PIB était de 110.6% en décembre 20232.

Historique des remboursements de la dette
Les données spécifiques sur les remboursements annuels moyens de la dette publique française ne sont pas toujours disponibles en détail. Cependant, nous savons que la France a maintenu un ratio dette/PIB élevé, atteignant 110.6% en décembre 20231. La gestion de la dette inclut généralement des remboursements réguliers, mais les montants exacts peuvent varier en fonction des politiques budgétaires et des conditions économiques.

Capacité de remboursement
La capacité de la France à rembourser 100 milliards d’euros par an dépend de plusieurs facteurs :

— Budget national : La France dispose d’un budget national important, mais une partie significative est déjà allouée aux dépenses courantes et aux services publics.
— Croissance économique : Une croissance économique stable ou en hausse peut augmenter les recettes fiscales, facilitant ainsi les remboursements.
— Taux d’intérêt : Des taux d’intérêt bas peuvent réduire le coût du service de la dette, libérant des ressources pour les remboursements.

Prévisions de remboursement raisonnables et atteignables
Ajustons les projections de la dette en tenant compte des remboursements annuels. Supposons que la France décide finalement de rembourser 100 milliards d’euros par an à partir de 2024. Voici les projections en tenant compte de ces remboursements.

Hypothèses de base :
Dette initiale : 3’100 milliards d’euros
PIB annuel : 2’500 milliards d’euros
Taux d’intérêt annuel sur la dette : 2%
Augmentation annuelle des coûts énergétiques : 3%
Dévaluation de l’euro : 20% sur 5 ans (environ 4% par an)
Remboursement annuel : 100 milliards d’euros
Calculs :
Pourcentage initial de la dette : (\frac{3’100}{2’500} \times 100 = 124%)
Croissance annuelle de la dette : 2% (intérêts) + 3% (coûts énergétiques) + 4% (dévaluation de l’euro) = 9%
Remboursement annuel : 100 milliards d’euros

Conclusion
L’estimation de 100 milliards d’euros de remboursement annuel est ambitieuse mais pourrait être réalisable si la France maintient une croissance économique stable et des taux d’intérêt bas.

j’ai été sėvère avec pareille dévaluation de l’€uro — dans le contexte de l’instabilité politique mondiale et de la Guerre en Ukraine — mais pas tant que ça, car il n’y a pas si longtemps la monnaie européenne était à parité avec le Franc suisse, mais là on y arrive….!

Gare au franc fort, l’euro vaudra bientôt 80 centimes
Le franc suisse joue son rôle de valeur refuge avec les crises politiques en Europe et la guerre en Ukraine.
Mais l’économie suisse va en souffrir.

Nicolas Pinguely
Nicolas https://www.tdg.ch/franc-fort-un-euro-n ... 0854848487

[sicetaitsimple]

Rien compris à ces histoires de "dévaluation de l'€". La dette française est très majoritairement libellée en €, que celui-ci monte ou descende par rapport à d'autres monnaies ne change rien au montant de la dette.

[Ahmed]

Rembourser la dette étatique est un non-sujet puisqu'elle constitue une sorte de solution, pourquoi l'envisager en tant que problème? Ce statut de solution exclut l'idée même d'un quelconque changement de cap.
Lier une hypothétique régression de son montant à un surcroît d'inflation est intrigant: la réduction de la masse monétaire conduit au résultat inverse...