gegyx a écrit :?
Ton champion "zele en skay", grâce à l'existence du suppositoire nouveau Trump, s'est épris de "démocratie" en programmant des élections pour le 25 mai 2025... / Des sous-sous, ne m'oubliez pas...)
Les soldats morts non déclarés pourront toujours voter.
https://www.lecanardenchaine.fr/dossier ... ute-lanneeAvec Poutine, la Saint-Vladimir, c’est toute l’année
Il est fort, sportif, énergique, et sa cote de popularité atteint 80 %. Vladimir Poutine, "l’homme providentiel", est le champion d’une propagande de plus en plus lourde mais qui sait flatter l’orgueil du peuple russe.
«Le culte de la personnalité de Vladimir Poutine est quelque chose que Vladimir Poutine désapprouve catégoriquement. » Ainsi parlait Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, en 2020, au moment même où les Russes plébiscitaient dans les urnes (bourrées, cela va sans dire) une modification de la Constitution permettant à leur chef de rester au pouvoir aussi longtemps qu’il le voudrait.
De l’humour, peut-être ? N’en déplaise à l’indéboulonnable président de la Fédération de Russie, c’est bien un culte du saint patron qu’ont mis en place, nourri et poussé aux extrêmes de l’idolâtrie, il y a bientôt un quart de siècle, ses chargés de communication successifs, aidés d’un chœur de fervents patriotes, de propagandistes cyniques et de fonctionnaires serviles.
Car il a bien fallu, dès le 1er janvier 2000 et l’annonce surprise de la démission de Boris Eltsine au profit de son chef du gouvernement, convaincre le pays de voter, trois mois plus tard, pour ce personnage inconnu du grand public. Du jour au lendemain, journalistes, artistes, politiques et autres personnalités du showbiz se sont mis à vanter l’excellence de celui qui allait succéder au grotesque président sortant. On ne savait rien de ses qualités en matière de gouvernance et pas grand-chose de ses projets politiques, mais on l’aimait déjà. Car il remplacerait l’autre ivrogne. Et parce que toute la machine administrative et oligarchique était derrière lui.
Style James Bond
Lorsque les médias étaient encore libres, les combines mafieuses de Vladimir Vladimirovitch Poutine durant son passage à la mairie de Saint-Pétersbourg avaient été largement documentées. Pourtant, au fil des mois, puis des années, le même est devenu l’homme providentiel venu sauver le pays de la « terrible déroute des années 90 », de la crise sociale et économique, des pénuries, du banditisme et de l’anarchie. Le nouveau héros a aussi maté le sécessionnisme et le terrorisme en Tchétchénie. C’est en tout cas ce que dit la télévision publique, tout à sa botte, qui tient la chronique de la vie et de l’œuvre d’un homme courageux, champion de sport, fervent croyant orthodoxe, proche du peuple, qui aime les enfants et les animaux. Le gendre, le mari et le père idéal.
« J’veux un mec comme Poutine/Comme Poutine, plein d’énergie/Comme Poutine, qui ne picole pas/Comme Poutine, qui n’offense pas/Comme Poutine, qui ne s’enfuira pas », chantent ainsi, sur un rythme électro, deux jeunes femmes affriolantes devant un drapeau tricolore russe, le tout entrecoupé d’images du Président au travail, stylisé en James Bond. Le clip, dont le Kremlin a décidé d’ignorer l’ironie, deviendra un hit sur les ondes publiques et l’hymne des raouts politiques de Poutine durant les années 2000.
Des exploits imprimés sur des tee-shirts
Sous les yeux des téléspectateurs, de jités en films documentaires, l’ex-apparatchik vêtu de costards trop grands pour lui se mue en un centaure majestueux, galopant torse nu dans les montagnes, volant en deltaplane parmi les cigognes, embrassant des tigres, pilotant un bombardier ou ramassant des amphores antiques au fond des océans. Autant d’exploits imprimés sur des tee-shirts et des mugs qui ont inondé les kiosques à souvenirs et les marchés de toute la Russie. En s’inscrivant dans les bonnes vieilles traditions soviétiques, les faiseurs d’images du Kremlin fondent des mouvements de jeunesse, les Idouchié Vmeste (« ceux qui marchent ensemble ») ou les Nachi (les « nôtres »), qui, entre autres activités patriotiques, s’adonnent au culte du chef, en attendant d’être appelés à son service.
Grâce à la propagande – et pas à la bonne santé des marchés énergétiques, par exemple –, le Président est l’unique artisan de l’amélioration du niveau de vie, surtout dans les grandes villes. On n’a jamais aussi bien vécu sous Eltsine ! Dans les campagnes et les régions reculées, où la rente pétrolière ne ruisselle pas, on adresse ses doléances au bon tsar à l’occasion de « Lignes directes », des grand-messes télévisées hyper-orchestrées. Ce qui permet au bienfaiteur d’accomplir en direct sa magie, en ordonnant la réparation d’une route défoncée depuis des années ou le versement d’une pension injustement refusée par la bureaucratie.
Danse avec le tsar
Vladimir Poutine est aussi présenté comme celui qui a rendu à la Russie, et donc à chaque Russe, sa dignité aux yeux du monde, perdue dans la guerre froide, après la chute de l’URSS. Laquelle avait tout de même envoyé le premier homme dans l’espace et gagné la Seconde Guerre mondiale contre Hitler… Mais qui s’en souvient, en Occident ? Le nouveau tsar va lui apprendre le respect, à l’Occident, et tant pis si c’est par la guerre et au mépris des lois internationales.
« Poutine n’est responsable que d’une seule chose aux yeux des Russes, mais c’est la chose la plus importante, estime Alexeï Levinson, sociologue du centre Levada, pour la Radio Free Europe. Il est responsable de la gloire de la Russie dans le monde. C’est pourquoi, malgré les problèmes internes, économiques et autres, les échecs, les lacunes cachées, la corruption et les catastrophes, rien de tout cela ne s’est jamais reflété sur sa cote de popularité. »
L’annexion de la Crimée, en 2014, dans la foulée des spectaculaires Jeux olympiques de Sotchi, marque le point culminant de l’amour populaire pour Vladimir Poutine, le « rassembleur des terres russes ». La mainmise illégale sur le territoire d’un pays souverain, au nez des Occidentaux, est perçue par une partie des Russes – la propagande aidant, mais pas seulement – comme la réparation audacieuse d’une injustice historique.
L’offensive contre l’Ukraine, en février 2022, a relancé la popularité de Poutine, sans que celle-ci crève le plafond non plus. Les experts ont toujours appelé à prendre les sondages avec des pincettes : 80 % de soutien exprimé dans les enquêtes d’opinion, ce ne sont pas huit citoyens sur dix qui aiment, respectent ou font confiance à leur leader.
Mais qui pour diriger le pays, sinon lui ? s’interrogent avec résignation les Russes, dont le paysage politique a été nettoyé à haute pression, et débarrassé de toute opposition. Dans le pays, le patriotisme est un culte monothéiste. Pour le plus grand malheur d’une majorité silencieuse, qui, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, semble accepter sans broncher l’adage formulé en 2014 par l’actuel président de la Douma, Viatcheslav Volodine : « Il y a Poutine, il y a la Russie. Pas de Poutine, pas de Russie. »
Amen.
https://www.lecanardenchaine.fr/dossier ... res-richesLes oligarques, de pauvres riches soumis à Poutine
Géants de la finance, du pétrole ou de l’acier, les puissants de la Russie possèdent des milliards qui font rêver mais pas les moyens d’acheter leur destin. Eliminés, mis au pas ou complètement soumis, ils sont dans la main du maître du Kremlin.
Les perdants : enrichis sous Eltsine, ils n’ont pas fait allégeance à Poutine et l’ont payé cher
Boris Berezovski
A la tête d’un empire commercial et médiatique dans les années 90, influent conseiller du président Eltsine, il favorise la mise sur orbite de Vladimir Poutine en croyant pouvoir conserver la même emprise sur lui. Fatale erreur : il devra vite se défaire de ses médias et s’exiler à Londres. En 2013, on le retrouve pendu chez lui…
Sergueï Pougatchev
Ce banquier et industriel, également proche d’Eltsine et partisan de Poutine comme successeur, est resté en cour dans les années 2000, avant de tomber en disgrâce et d’être exproprié dans les années 2010. Devenu citoyen et résident français, il dit craindre pour sa vie.
Mikhaïl Khodorkovski
Cet oligarque majeur de l’ère Eltsine, star des médias occidentaux, se croyait assez puissant pour devenir un opposant à Poutine. Cela ne l’a pas empêché de se voir dépossédé de son groupe Ioukos. Après une décennie passée en prison, il vit exilé en Allemagne.
Les adaptés : enrichis sous Eltsine, ils ont su se plier aux désirs de Poutine
Roman Abramovitch
Une souplesse de gymnaste roumaine, l’incarnation russe du « en même temps ». Cet ancien disciple de Berezovski a su rendre de grands services à Vladimir, tout en cultivant à l’Ouest une image de libéral, mécène des arts et du sport. Toujours prêt à aider, en bons termes avec le président ukrainien Zelensky, il a même tenté de jouer les intermédiaires entre Kiev et le Kremlin.
Vladimir Potanine
Deuxième fortune de Russie, ce magnat du nickel a été vice-Premier ministre sous Eltsine, avant de s’adapter à la nouvelle donne. Il répond toujours présent aux appels à contribution, qu’il s’agisse de mécénat artistique ou de soutenir la grandeur russe par des voies plus discrètes. Il a repris à vil prix la filiale russe de la Société générale et a échappé aux sanctions européennes.
Les gagnants : “amis de Vladimir”, ils doivent tout à leur parrain
Guennadi Timtchenko
Ce très proche de Poutine (ils ont fait l’école du KGB ensemble) a fondé le géant du trading pétrolier Gunvor, qui a prospéré à Saint-Pétersbourg avec le soutien du maire-adjoint Poutine, puis a bénéficié du démantèlement de Ioukos. Bienfaiteur des enfants cachés de Vladimir, il est décrit comme l’un des hommes les plus influents de Russie.
Alexeï Miller
Il dirige depuis bientôt vingt-cinq ans le géant de l’énergie Gazprom, société publique essentielle pour la puissance de la Russie et grande dispensatrice de pots-de-vin.
Youri Kovaltchouk
Cet ex-KGB, ancien de Saint-Pétersbourg, a pris en charge, en qualité de banquier, la gestion des affaires de l’amicale poutinienne au sein de la banque Rossiya. Propriétaire de Sogaz, il est également le patron de l’institut de recherche qui emploie Maria, la fille aînée de Vladimir.
Igor Setchine
Aujourd’hui en perte d’influence, cet ex-KGB a été le fidèle second de Poutine à Saint-Pétersbourg, puis au Kremlin. Il dirige toujours le conseil d’administration du groupe pétrolier Rosneft. Les autorités françaises ont saisi son yacht, d’une valeur de 123 millions d’euros.
Alexei Mordashov
Patron du géant de l’acier Severstal, considéré comme l’un des « portefeuilles de Poutine », il gère pour lui une soixantaine de sociétés-écrans.
Il est clairement établi que des militaires français SONT en Ukraine et que d’autres SONT DÉCÉDÉS en Ukraine, malgré les affirmations contraires du gouvernement français. Nos services de renseignement ont avant hier déclassifié un document que nous vous avons présenté ici. Ce document a été diffusé dans les rapports quotidiens transmis au Président Poutine et son contenu ne peut être mis en doute.
Plusieurs lecteurs nous ont dit, depuis plusieurs mois, être tout de même étonnés que les familles des militaires décédés en Ukraine ne se manifestent pas publiquement. Nous avons donc décidé de tenter d’obtenir des témoignages. Notre correspondant en France a contacté plusieurs de ses relations, la plupart officiers supérieurs pour certains en activité, et est arrivée à obtenir, très difficilement, plusieurs noms.
L’armée française est surnommée “la grande muette” et quasiment toutes les personnes contactées ont refusé de répondre à notre correspondant sauf deux, dont une a accepté de témoigner, face à face. Nous vous présentons donc l’entretien de notre correspondant avec la veuve d’un de ces officiers français retournés en France dans une caisse en bois. Il a été mené sous stricte condition d’anonymat pour des raisons que vous comprendrez vite, en bord de mer, à quelques encablures seulement de la résidence de ce président français que cette Dame qualifie désormais de traître.
Q. Votre époux était officier dans l’armée française. Quand a t’il été envoyé en Ukraine ?
R. Comprenez que je ne peux vous donner aucune information précise puisque les autorités militaires m’ont fait signer une clause de confidentialité en échange d’un « dédommagement » substantiel. Si je n’avais pas accepté je n’aurais eu droit à rien sinon à ce que la loi prévoit dans ce cas et cela ne m’aurait pas permis de m’en sortir. J’ai des enfants et c’était difficile pour moi de les assumer toute seule financièrement. Du fait de la carrière de mon mari, j’ai mis la mienne de côté et mon diplôme d’architecte a fini au fond d’un tiroir. Nous avons beaucoup voyagé. Il recevait régulièrement des affectations pour plusieurs années à l’étranger et tous les trois ou cinq ans nous déménagions. Je n’ai donc eu que des emplois précaires en fonction des différents pays. Je tairai donc les dates, les lieux, les circonstances. Disons donc que mon époux a été envoyé en Ukraine en 2023.
Q. Comment avez-vous été informée que sa destination était l’Ukraine ?
R. Sous le sceau du secret par mon mari lui-même qui refusait de me laisser dans l’expectative avec toute l’inquiétude que ça aurait généré pour moi et les enfants. Je ne savais pas à quel endroit exactement mais je savais que c’était en Ukraine.
Q. Avez-vous eu des contacts réguliers avec lui ?
R. Oui, par vidéo à travers une messagerie électronique. Il disait que tout allait bien, qu’il était à l’arrière et qu’il ne fallait pas s’inquiéter. A l’entendre ce n’était que pour quelques semaines, quelques mois tout au plus.
Q. Et donc, vous avez ensuite appris que….
R. Un matin un officier et une femme du rang que je connaissais ont sonné à ma porte. À leur visage j’ai tout de suite compris. En quelques secondes toute ma vie et celle de mes enfants venait de tourner au cauchemar. J’ai eu l’impression que les enfers s’ouvraient sous mes pieds. Je refusais d’y croire. Quand on épouse un officier de « terrain », qui préfère s’investir avec ses hommes plutôt que de faire de la lèche dans les bureaux, on sait que ça peut arriver. Qu’il peut être blessé. Mais entre le supposer et le vivre… Ils m’ont dit qu’ils ne connaissaient pas eux-mêmes les circonstances exactes, que j’aurais plus d’informations “rapidement” et m’ont demandé de me mettre en contact “d’urgence” avec un officier supérieur de la base où mon mari était affecté.
Q. Vous l’avez fait ?
R. Bien sûr. J’ai été reçue par un officier supérieur que j’avais déjà rencontré lors de différentes cérémonies. Il m’a dit que mon mari était mort en Ukraine mais que tout était couvert par le secret-défense du fait de circonstances « délicates ». Il m’a dit que je ne devais en parler à personne, mais dire que son décès était survenu lors d’un entrainement en France. J’étais choquée, mais il m’a dit qu’en récompense de ma compréhension (donc de mon silence j’ai bien compris) j’aurais droit à des compensations pour mes enfants, en plus des indemnités légales.
Q. Quelle a été votre réaction ?
R. J’étais effondrée, écoeurée. Pour eux le seul intérêt était que je me taise. La mémoire de mon mari, son courage sur le champ des opérations, tout ce dont il était si fier… tout ça n’existait plus.
J’étais en colère. Mais je savais que je ne pourrais pas élever mes [X] enfants seule. A mon âge, retrouver un emploi dans une profession que je n’ai jamais exercée allait être très compliquée. J’ai donc demandé “quelles indemnités” ? J’ai vu immédiatement le soulagement dans son regard de voir que j’acceptais tacitement de me taire.
Q. Et donc que vous a-t-il répondu ?
R. Il y a une indemnité de décès équivalente à un an de solde de mon mari durant 3 ans. Les 3 premiers mois j’allais recevoir la solde complète, puis chaque mois durant 3 ans, la moitié de la solde. À ceci s’ajoutait la prise en charge des études de mes [x] enfants, il m’a dit que les conditions étaient à voir au cas par cas en fonction des études suivies et m’a donné un contact avec le service compétent. Et la prise en charge des funérailles. Avec en plus m’a-t-il expliqué un « bonus » si je respectais les conditions de taire le fait que mon mari était décédé en Ukraine. Un silence nécessaire à l’entendre « pour le bien de tous ».
Il avait un accord de confidentialité déjà prêt et, si je violais cette condition tous les versements cesseraient immédiatement et je serais poursuivie pour divulgation de secret militaire en plus du risque de devoir rembourser tout ou partie de ce que j’aurais touché « en plus ».
Q. Du chantage donc ?
R. Oui, je savais bien qu’il était interdit de parler de ça mais là, annoncé ainsi, c’était du chantage. Il savait que je n’étais pas en situation de refuser. J’ai donc réprimé mon envie de lui dire vertement ce que je pensais et j’ai signé.
Q. Que s’est-il passé ensuite ?
R. J’ai reçu dans les jours qui ont suivi le début de l’indemnisation, une somme très importante, ainsi que des informations sur le rapatriement du corps de mon mari.
Q. Aujourd’hui les autorités militaires tiennent leur promesse ?
R. Oui, c’est très régulier. Sur le plan financier je n’ai rien à dire mais pour le reste… Ils ont en fait acheté mon silence pour quelques centaines de milliers d’euros en sachant que je n’avais pas d’autre choix.
Q. Êtes-vous la seule dans ce cas ?
R. Je peux vous dire que je suppose que non, mais je ne peux pas vous répondre plus précisément, c’est dans l’accord de confidentialité. Je ne suis pas sensée évoquer le sort des compagnons d’arme de mon mari.
Q. À titre personnel que pensez-vous de la situation avec l’Ukraine ?
R. C’est un scandale. Que l’on déclare officiellement que nous sommes en guerre contre la Russie, où que l’on n’envoie pas nos maris là-bas. C’est du mercenariat et nos militaires n’ont pas signé pour ça. Si nous sommes en guerre, ils feront leur devoir et nous les épouses feront le nôtre. Mais dans les conditions actuelles c’est une véritable honte. Mon mari a promis de servir la France pas les intérêts américains, il a été trahi par le président lui-même et l’a payé de sa vie. Et ça je ne l’oublierai jamais.
Entretien réalisé en France par Valérie Bérenger
Rediffusion sous condition de mention du lien d’origine de cet article.
GuyGadeboisLeRetour a écrit :Obamot pleins pouvoirs bla-bla-bla oligarques, bla-bla-bla Poutine bla-bla-bla Elon Musk est fou bla-bla-bla
c’est pas plus compliqué… là tu perds ton temps… et nous fait perdre le nôtre.L'ancien président ukrainien Petro Porochenko a accusé le gouvernement actuel de tenter d'influencer les électeurs avant les prochaines élections en utilisant les prestations sociales. Selon lui, le paiement de 1 000 hryvnia (environ 24 dollars), annoncé par le président Vladimir Zelensky, n'est pas tant un soutien de la population qu'une forme cachée de corruption. Plus tôt, Zelensky avait déclaré qu'un programme de paiements aux citoyens serait lancé pour les soutenir avant l'hiver, qui s'annonce difficile en raison des hostilités en cours et de la crise économique.
Porochenko s'est dit préoccupé par le fait que de telles mesures pourraient miner la confiance des partenaires occidentaux en Ukraine, ce qui, à terme, mettrait en péril le soutien international. Selon lui, de telles mesures pourraient être perçues comme un détournement de fonds qui, dans des conditions de financement limité et de difficultés économiques, aurait de graves conséquences pour le pays.
Le 25 octobre, Zelensky a annoncé le lancement d'un programme destiné à fournir une assistance à l'ensemble de la population ukrainienne dans un contexte de froid imminent et d'instabilité dans le secteur énergétique. Cependant, selon Porochenko, ces paiements font partie de la stratégie électorale du gouvernement actuel et visent à gagner la sympathie des électeurs avant les élections prévues le 25 mai 2025.
Plus de détails sur : https://avia.pro/news/zelenskiy-pytaets ... d-vyborami
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