Disons que les mots de Christophe sont mal choisis
Dans le lot des plaignantes, certaines sont peut-être de bonne foi, d'autres moins.
Les hommes de pouvoir ont toujours été attirants pour les femmes, dont certaines font partager le meilleur de leur être, pas toujours pour des raisons romantiques.
Et parmi celles-ci, si elles n'obtiennent pas ce qu'elles veulent par la douceur, renversent la vapeur et accusent de viol l'homme de pouvoir, ce qui n'est qu'une autre façon d'en extraire de l'argent.
Les hommes qui cèdent à leur faiblesse n'ont pas plus de vertu. C'est humain, voilà tout.
Il y a aussi certains hommes de pouvoir un peu trop conquérants... comprendre qu'ils peuvent contraindre la femme à des choses qu'elle ne souhaite pas. Mais cette dernière parfois ne réagit pas plus que cela, soit qu'elle est sous emprise psychologique, soit qu'elle n'ose pas s'opposer pour maintenir des avantages, ou dans l'espoir d'en obtenir plus. Apparaît alors durant l'acte un consentement physique, mais un rejet psychologique, ce dernier pouvant alors être précurseur d'accusations de viol ultérieurement.
Il va sans dire que l'abbé Pierre au sein de son organisation avait du charisme et du pouvoir ; bien qu'il ne fût probablement pas riche financièrement, son réseau de relations et de récupération d'objets pouvait sans peine améliorer le quotidien de bien des personnes, dont des femmes.
C'est pourquoi il est particulièrement difficile de se prononcer dans ce genre d'affaires... Les caricatures d'hommes violeurs sans scrupules ou de femmes "salopes putes" sont rarement le reflet exact de la réalité.
Ce qui me choque personnellement, au-delà des affaires sexuelles et de leur bienfondé, c'est le moment où elles sont dévoilées, 17 ans après la mort de l'accusé(2007), 74 ans après les premiers dérapages allégués (1950-2024...), et puis surtout porté par
Caroline de Haas, vous pourrez lire son cursus wiki et à quel point cette femme est un bâton merdeux...
