Macro a écrit :qu'est ce qui empeche de couvrir ce trou ? Je ne comprends pas trop... Suis-je sans doute trop bete ...
Non, pas du tout, je suis aussi d’accord avec l´idée qu’ils devraient mieux explorer des pistes techniques pour stocker ce méthane et le vendre. La raison avancée pour laquelle ils ne l’exploitent pas, serait que sur ce site, le sol serait très instable et empêcherait de contrôler le méthane qui s'échappe. Mais y’a la donnée environnementale… je répond pour tout le monde car la remarque est bonne. c’est un gaz à effet de serre 25x plus puissant que le CO2. Brûler est loin d'être idéal, pourtant des pistes existent, certes chères, mais elles sont connues.
Dans les solutions techniques, ils pourraient Injecter du ciment dans le sol sous pression pour stabiliser le sol, et mettre un mélange visant à étanchéifier et créer ainsi des poches pour stocker à même le sol et multiplier les puits d’extraction, par exemple :
1) Capturer le méthane via ces puits annexes…
2) Brûler dans un premier temps pour réduire la pression.
3) Ensuite, purifier et vendre comme énergie rentable.
Une autre raison avancée est qu’ils disposent d’autres gisements bien plus faciles à exploiter (ça a été dit...) mais je trouve que c’est pas une “bonne” raison, il pourraitent justement financer les travaux pour ce site géologique difficile grâce a leurs gisements beaucoup plus faciles d’exploitation et de se fait, ce site difficile finirait par être rentable puisqu’il semble inépuisable.
Pourquoi ce serait rentable ? Avec la demande croissante d’énergie et le coût qui grimpe, récupérer ce gaz sur 50-100 ans pourrait amortir les coûts élevés des infrastructures de départ.
Pour l’mpact : tarir le gisement sauvage, réduire puis éteindre progressivement les flammes sur les puits annexes pour ėteindre et colmater l’incendie “sauvage” principal qui n’en finit pas, serait réduire le réchauffement climatique via des demandes ponctuelles. C’est nnécessaire pour notre planète, s’il fallait nécessairement brûler ce gaz, autant qu’il serve à quelque chose! (Même si je crois que la part anthropique des émissions de CO2 est faible, mais ça ne veut pas dire qu’il faille se tourner les pouces)