Grande question : en quoi la vaccinomanie n’est pas et n’a jamais été une science ?
N’en déplaise aux conservateurs , pour comprendre un phénomène dans son ensemble, il faut remonter à sa source et voir ensuite comment celui-ci s’est développé.
Depuis des millénaires des plaies s’abattent sur les sociétés humaines, comme animales, sans que l’on sache vraiment pourquoi, et ces sociétés vivaient dans l’angoisse permanente de l’instant où la suivante va leur tomber sur le nez.
Les religions ne pouvant empêcher celles-ci, sinon en invoquant la colère du ou des dieux, et leurs miséricordes, les individus se devaient donc d’accepter, à contre cœur, le courroux divin ; ou bien de trouver une solution par eux-mêmes avec l’aide de gourous plus ou moins bien intentionnés.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Edward_Jenner Sans reprendre toute l’histoire de Jenner celui-ci utilise la vaccine des vaches pour « immuniser, (puis le virus lui même) » UN enfant contre la variole ou petite vérole (comme le fera Pasteur quelques années plus tard) et, APPAREMMENT ça marche.
Ici apparaît une différence majeure entre la contamination et immunisation des vachères par contact uniquement, et l’injection de pus directement dans l’organisme d’un individu, par Jenner, supprimant ainsi la première barrière immunitaire de la peau comme pour les vachères. Première erreur fatale pour le futur !
On peut remarquer aisément qu’il n’est pas question, à ce moment là, de placebo, de double aveugle, de confirmation par les pairs, de randomisation, ni de 4 phases successives pour obtenir une AMM, comme actuellement, etc… Toute autre approche étant considérée comme du charlatanisme de nos jours!
En clair, Jenner comme Pasteur seraient des charlatans de ce fait et c’est important, fondamental même, car c’est sur ces deux « charlatanismes « que se développera le mythe vaccinal et sa vaccinomanie.
Je reste étonné que des esprits, qui peuvent être brillants par ailleurs, puissent tomber dans le piège de la pensée unique, (dont moi dès l’enfance). Malheureusement le nazisme a montré avec quelle facilité il pouvait en être ainsi en éliminant tous les opposants à celle-ci.
Quelques exemples donc de cette non pensée unique sur les vaxx depuis leur origine.
Ainsi le gouvernement royal de Hollande déclarait, il y a quelques années, après l’ONU : «
même en supposant que la vaccination soit un préservatif contre la petite vérole, le gouvernement n’aurait pas le pouvoir de la prescrire, car le gouvernement ne doit pas disposer du corps des citoyens même s’il est convaincu que cette mesure est favorable » » faisant suite à la déclaration des droits de l’homme par l’ONU
Le 10 décembre 1948 art 3 : «
tout individu à droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » que l’on retrouvera dans le code de Nuremberg et plus tard celle d’Oviedo signée enfin par le président Sarkosy., puis par la loi française. Donc comment a débuté cette vaccinomanie obligatoire ou incitative et ses effets délétères.
En 1949 le Parisien Libéré demande à ses lecteurs leur avis sur les vaccinations et 85% d’entre eux se sont déclaré être formellement opposés à toute vaccination obligatoire.
De même, au parlement, le 18 décembre 1938, Philippe Henriot et Plard dénoncent les méfaits de la vaccination antidiphtérique où ils recueillirent l’approbation UNANIME de leurs collègues, SANS DISTINCTION DE PARTIS, ni d’opposition.
Et pourtant le public, convaincu par les autorités sanitaires, croit que les maladies peuvent être vaincues par des vaccins, mais ce public n’a pas accès à la réalité sur le terrain. En effet, les épidémies sont cycliques et apparaissent, disparaissent sans que l’on sache à l’époque, pourquoi ? Ainsi, sans vaccins la peste diminue, puis disparait dans nos régions, la grippe « espagnole » qui à fait des millions de morts apparait, puis disparait au bout de 2 ans sans vaccins non plus. La variole, plus persévérante puisqu’on la retrouve en Egypte au temps de Pharaon, arrive jusqu’à nous et disparait récemment indépendamment des campagnes de vaccinations. (Rapport de l’OMS)
L’exemple caractéristique concernant cette variole fut celle de l’épidemie aux Phillipines où 95% de la population avait été vaccinée il y eut 64.434 décès, malgré ça.
Ailleurs à Manille , fortement vaccinée, 65,4 % de varioleux sont morts contre 11.4 % à Mindanao ayant refusé ces vaccins pour raisons religieuses. Ainsi le célèbre naturaliste anglais Wallace,proche de Darwin, observe dans son ouvrage que : «
la vaccination est une illusion et son obligation légale un crime » Or après l’obligation de 1853, Wallace constate que le seul effet de l’obligation a fait passer le nombre de mort de 12.244 à 44.840. Constat qui se répétera à chaque vaccin obligatoire ou fortement conseillé.
Pasteur n’y échappe pas avec son vaccin à vitesse variable selon ses humeurs. Ainsi si cette « maladie » est impressionnante (comme le tétanos) une très faible minorité de mordus par un chien enragé réellement, est exposé à la contracter. De 5 à 15% seulement, selon les auteurs, sont susceptibles de devenir enragés eux-mêmes après ces morsures « infectantes ». Ainsi l’histoire du petit berger joseph Meister âgé de 9 ans a servi de modèle unique pour valider la découverte et thérapie sur la rage. Mais on oublie, on zappe, que cet enfant avait été mordu par le chien de Max Vone, lui-même mordu le même jour ainsi que cinq autres personnes dont aucun n’a manifesté de signes d’enragement, pas plus que le jeune berger d’ailleurs. Or quel était le nombre de victimes en France en 1885, juste antérieure au vaccin, soit 19 décès pour 36 millions d’habitants.
L’année suivante,1886, avec vaccins, cela donne 33 morts traités contre 17 non traités.
En 1887 ; 71 morts vaccinés dont 40 étrangers et 31 français. Ce qui faisait dire au Pr Peter, qui suivait la révolution pasteurienne, devant l’académie de Médecine que «
Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne »
Comble de tout, les victimes mouraient de la rage paralytique du lapin et non de la rage des animaux carnivores comme le chien montrant ainsi que c’était bien le vaccin prélevé sur les lapins qui en était la cause.
D’autres cas comme celui de Rascol et son compagnon de route où lui fut mordu par un chien mais avec seulement ses vêtements lacérés et son compagnon, contraint par l’administration de se faire vacciner, meurt de la rage…paralytique du lapin.
Et c’est à chaque fois la même chose, si ce n’est pas le vaccin seul qui tue, ce sont aussi ses adjuvants
Comme l’anatoxine de Ramon, son inventeur pour la diphtérie consistant à un mélange de toxine et de…FORMOL ! Dont on reconnaît maintenant la toxicité. Ainsi à Paris le nombre de mort en 1939 était de 27 avant vaccin pour passer à 149 en 1945 lors de l’imposition de ce vaccin
En Suisse, dans le canton de Genève ou le vaccin est devenu obligatoire, le nombre de cas à doublé de 1941 à 1943.
Ou encore en Allemagne où le nombre de cas est passé de 40.000 à 250.000, malgré le vaccin ou à cause de celui-ci. Etc…
Même chose pour la typhoïde ayant fait de nombreuses victimes en 1914-1918 due au manque d’hygiène et d’eau potable (comme le choléra) et disparaissant avec une bonne hygiène de vie
A suivre!
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré