Vrai. Dans le cas du Covid-19, et en admettant l’enchaînement de faits les plus probables, soit que le SARS-CoV-X se soit bien échappé d’un labo, le déroulement des faits sur les recherches sur les GOF, prouve bien que des lois on été violées.GuyGadeboisLeRetour a écrit :Obamot a écrit :— les GOF violent les lois aux USA
Faux.
Le 19 décembre 2017, le NIH a levé le moratoire parce que la recherche sur le gain de fonction était jugée « importante pour nous aider à identifier, comprendre et développer des stratégies et des contre-mesures efficaces contre les agents pathogènes à évolution rapide qui constituent une menace pour la santé ». https://www.nih.gov/about-nih/who-we-ar ... n-research
il ne suffit pas de dire: “youp là boum c’est à nouveau autorisé, fonçons et faisons n’importe quoi”, y’a des règles et des lois.
J’étais dans la prévention (et pas spécialiste mais…) on peut rësumer celles qui violent ou ont été violées et qui sont notamment:
— “Non-Déclaration d’Incident” puisque le NIH et/ou Eco Health Alliance, n’on pas signalé spontanément et immédiatement qu’ils avaient financés le ps GOF en temps opportun aux autorités compétentes. Ce qui aurait permis de prendre des mesure mieux appropriées
— Omission de Précautions : puisqu’ils n’ont pas pris (ou pu prendre) toutes les mesures nécessaires pour prévenir toute fuite ou exposition accidentelle ou effet/s de la fuite.
— Falsification éventuelle de Documents : si des informations ont été délibérément cachées ou falsifiées concernant le dossier et/ou les recherches menées.
— des violations des régulations strictes en matière de biosécurité et de surveillance des recherches sur les GOF.
— négligence grave, violation des protocoles de sécurité des labos P3 / P4, ceux-ci sont censés avoir des mesures ultra strictes pour prévenir les fuites accidentelles.
— il y a et il y a forcément eut “mise en danger de la vie d’autrui”.
Et tant que la fuite de labo n’a pas été un fait scientifiquement admis, cela bloque tout processus d’amélioration de la sécurité.
Si il y a eu malveillance délibérée, c’est encore pire, et hélas on ne peu pas l’exclure les Bisounours.