La mortalité (en France) suit presque la courbe inverse du Soleil…

[Obamot]

C’est surtout les fringales! Je suis passé du “lait de vaches” au “lait d’amandes”, il est pas mal du tout. Mais parfois un bol de cacao avec du “vrai lait” et du pain complet me font céder… alors je ne me prive pas puisque je sais que les privations sont nuisibles.

Et ensuite je reprends sereinement le lait d’amandes…

[janic]

obamot

Et ensuite je reprends sereinement le lait d’amandes…

c'est un phénomène courant et un passage quasi obligatoire d'utiliser des substituts rassurants psychiquement car tout est dans la tête. D'où ces appellations comme steak végétal, lait végétal, yaourt végétal, patés, etc... un peu comme ces substituts de cigarette avec ces nouveaux "narguilés" qui permettront ou pas -(plutôt pas d'ailleurs) d'arrêter et qui ne sont qu'une manière de se raccrocher à une partie de son passé et de ses mécanismes "mécaniques".
Sinon, sur le plan gustatif, ces produits de substituts sont en général gustativement "bons" au goût et qui changent du beefsteak pomme frite et autres tournedos sauce madère.

[Obamot]

Oui absolument, c’est TRĖS psychologique faut PAS le nier — il y a une sorte de sevrage progressif donc en douçeur pour parvenir au bol alimentaire idéal ou son “nouveau normal” — j’ai bu des quantités importantes de thé au gingembre ensuite.

Tant que revenir aux anciennes habitudes reste occasionnel il n’y a guère de conséquences. Faut trouver son propre équilibre et rythme de progression, qui correspond ã ce que le corps attend. Et quand le corps a compris le bénéfice ã en tirer, ça passe un nouveau seuil.

Le danger c’est de ne rien avoir acheté à manger et qui remplit les nouveaux équilibres. Comme bêtement acheter du pain alors que des pommes de terres conviendraient mieux (et j’adore les pommes de terre !)

[janic]

21/01/25, 10:24

Oui absolument, c’est TRĖS psychologique faut PAS le nier — il y a une sorte de sevrage progressif donc en douçeur pour parvenir au bol alimentaire idéal ou son “nouveau normal” — j’ai bu des quantités importantes de thé au gingembre ensuite.

Le sevrage progressif ça ne fonctionne vraiment que dans de rares circonstances. C'est visible et caractéristique pour toutes les addictions qu'elles soient alimentaires et plus généralement toutes les drogues. en général,ce que j'ai vérifié lors des réunions de désaccoutumance tabagique-(comme d'alcool et autres produits du même genre.)
En réalité l'arrêt brutal, plus difficile momentanément, reste le plus efficace dans le temps car c'est lié à la volonté réelle d'arrêter et à la rapidité d'auto nettoyage que cela produit. Mais, évidemment, c'est à chacun de choisir ce qui lui convient psychologiquement et biologiquement le mieux! Il n'en reste pas moins, que le principal intérêt d'un arrêt immédiat, c'est de ne pas se sentir en contradiction entre divers sentiments affectifs ou éthiques comme tu le soulignes.

[Obamot]

Oui c’est compliqué il est impératif de ne pas se voiler la face.

Mon long calcul est de fixer les habitudes dans le temps (le new normal).
Pari risqué mais qui a fonctionné plusieurs fois.

Je ne doute en rien qu’un sevrage rapide produise des effets. Et le paradoxe est que le but poursuivi est le même, réduire la dose drastiquement à la valeur de la “dose journalière réellement requise”!!! (*)

C’est à dire très peu en fait… je crois que les hydrates de carbone “NÉCESSAIRES et circulants dans le sang” c’est une cuillère à café seulement… (15 gr selon Marion Kaplan diététicienne de Kousmine à l’époque…) et moi qui croyait que 50gr c’était très peu..

(*) bien que celle-ci dépende de l’activité physique primordialement, MAIS/ET les 15gr “d’hydrates de carbones circulants” c’est ce qu’il doit rester au minimum en permanence… — donc 90%+ psychologique oui — faut arrêter de se prendre le choux avec l’anxiété du besoin en pizza, risottos, pain, et autres orgies de pâtes, croissanteries, semoule de couscous voire galettes à kebab ou falafel… on n’en a guère besoin à pas besoin du tout, les hydrates de carbone y’en a assez dans TOUTE l’alimentation VG NON céréalière… pas trop de fruits mais surtout des légumes…

L’un des “trucs” je pense, c’est qu’il faut BEAUCOUP varier les apports, mais avec des quantités frugales.
Non plus “manger” mais déguster. Plus facile à dire…

[Obamot]

PS: Évidemment qu’exceptée (très rarement) la mélasse noire, le sucre raffiné même de “canne brut” (fadaises) n’a plus sa place ici, gâteaux sodas toussa, deviennent des aliments d’un autre monde presque oublié, sur les tables d’une rareté de conte de fées… mais ne pas en faire un dogme, qui va à fin contraire, même refoulé de façon adaptée: le “besoin” de sucre (ou hydrates de carbones) est omniprésent! C’est une drogue dure non loin de l’alcool.