Bonjour,
C'est le stand by total côté expérimentation, mais je continue à me documenter tranquillement.
Je vous invite à consulter ce document sur
"L'univers électrique".
C'est très dense et assez rebutant, je l'avoue. Je n'en ai d'ailleurs encore lu qu'une petite partie. Manifestement il s'agit de la traduction d'un article en anglais, dont je n'ai pas trouvé la source.
Je vous livre mon interprétation subjective, pas un résumé :
- 95% de l'univers est constitué de plasma, donc de gaz ionisés et d'électrons "libres" en interaction permanente. Or la physique du plasma est une science très récente, et comporte encore des "zones d'ombres" susceptible de nous apporter quelques "surprises" dans notre façon de concevoir les choses.
- Les forces électriques dépendent comme les forces gravitationnelles du carré de la distance entre les objets (f=K/d²), à ceci près que le coefficient K affecté à la force de Coulomb est 10^43 fois supérieur à celui utilisé par Newton. Négligeable quoi
...à tel point que les physiciens en ont arbitrairement conclu qu'il n'existe pas de charges électrostatiques isolées dans l'espace, celles-ci devant inévitablement se rejoindre et se neutraliser mutuellement.
- La "mécanique céleste" (Galilée, Newton...) ignorant à ses débuts les forces électrodynamiques, a du recourir à de nombreux "artifices" tels que les trous noirs, le big bang ou la relativité, pour conserver valide le "modèle mécanique" de l'univers au fil des observations astronomiques.
- Le refus délibéré de considérer ces faits essentiels, conduit les astronomes à employer de poétiques termes "mécanistes" comme "vent ionique", "pluie d'ions","nuées gazeuses", plutôt que de les assimiler à leur équivalent de "courant électrique". A la manière d'un horloger s'obstinant à décrire une montre à quartz en parlant uniquement de ressorts et de balanciers
Un déplacement massif d'ions à grande vitesse produit pourtant des champs électromagnétiques intenses, des efforts électrodynamiques inconcevables, ou encore de gigantesques arcs électriques de milliers de kilomètres, capable de vaporiser des tonnes de roches en un instant. Vue sous cet angle la queue des comètes pourrait être d'origine électrique, et non comme le veut la "tradition" de la vapeur d'eau : si elle était constituée seulement de glace la comète de Halley aurait fondu en totalité depuis belle lurette...
- La modélisation "électromécanique" du cosmos explique la forme ds galaxies, les interactions puissantes entre les astres, la nature électromagnétique des comètes, etc...
Evidemment, si on s'intéresse à cette évidence, il faudra renoncer à plus d'un siècle de publications scientifiques erronées. Autant demander au docteur Diafoirus de renoncer à la saignée.
Dormez tranquilles braves gens, la science veille sur vous !
Je relève avec satisfaction le parallèle entre mon hypothèse et celles exposées dans ce document :
Mais il semble que dans les manifestations les plus puissantes de vortex d’enveloppe de charge, la séparation de charges dans le mur du vortex lui-même puisse manifester la foudre. Et s’il en est ainsi, les météorologistes seraient bien inspirés d'augmenter leurs recherches sur la foudre, sur les ouragans, et sur les tornades dans le royaume de la physique des plasmas.