+ 1leplo a écrit :Les verts vont-ils avoir la sagesse de se remettre en question et capitaliser sur la vague écologiste ?
On leur souhaite, mais personnellement j'ai de gros doutes.
Tant qu'ils n'arriveront pas à avoir une ligne claire et une certaine stabilité dans leurs instances dirigeantes, il n'auront pas la crédibilité nécessaire.
+1 aussi.leplo a écrit :Sur l'engagement des candidats aussi, d'ailleurs.
Comme je l'ai déjà dit sur un autre post, je paris que maintenant qu'ils ont fait semblant de s'intéresser au sujet en signant le pacte et que N.H. s'est retiré, on ne va plus entendre parler d'écologie de toute la campagne (ni après d'ailleurs).
Tu as encore une fois raison. Malheureusement, l'écologie ne trouvant aucune place dans le programme des grands partis depuis des années, elle a du se fédérer en créant des partis autour d'idées "oubliées" par les autres.leplo a écrit :Pour moi, l'écologie n'a pas de couleur politique, ça aurait dû toujours être ainsi.
Le problème, c'est que l'écologie à elle seule ne fait pas un programme. Il faut lui rajouter des notions sociales, économiques, fiscales, ... Et c'est là que le bât blesse (notamment chez les verts) : Ils sont en globalité d'accord sur la partie purement écologique, c'est sur le reste que les différentes sensibilités (du rose au rouge très foncé) n'arrivent pas à s'entendre.
Le jour où l'écologie sera partie intégrante du programme (et de la politique - un programme n'étant pas forcement suivi une fois élu) des partis, des candidatures écologistes (Voynet, Lepage, ...) ne seront plus utiles.