janic a écrit:
Je ne peux pas considérer la notion de "quantité modérée" ne serait-ce qu’au niveau de la quantification; du genre : un ça va, trois bonjour les dégâts
C'est complétement exagéré!
Tu as l'air de considérer la viande comme un poison, hors et c'est historique, beaucoup d'êtres humains ne doivent leurs survie que grâce à la consommation de celle ci (difficile de trouver autre chose passer une certaine latitude).
C'est pourquoi il faut distinguer une société dans l'obligation de manger des animaux pour survivre et nos sociétés modernes où cette situation a disparu, mais pas l'habitude.
Sinon, la viande n’est pas un poison, pas plus que les champignons sont des poisons, ce sont certains de leurs constituants qui sont des poisons en quantité plus ou moins importantes selon le produit. Certains champignons sont très toxiques, voire mortels, d’autres peu toxiques et d’autres ne provoquent pas de signes manifestes. C’est là qu’intervient la notion de dose et de composition du toxique, un alcaloïde. Donc ce qui est mis en cause c’est l’alcaloïde comme ceux du café (caféine) du thé (théine) et en l’occurrence pour les viandes les ptomaines. http://www.kousmine.com/prod04.htm
Citation:
alors que scientifiquement les dégâts commencent à un.
Source?
Aucune études scientifiques n'indiquent que la viande induit des dégâts à consommation modéré.
Le terme dégat est à utiliser de façon relative, l'individu ne meure pas sur place comme s'il avait avalé un poison violent.
Le problème donc, c’est que pour que des études scientifiques indépendantes soient effectuées, il faut des soutiens financiers importants qu’aucun groupe VG n’a les moyens de soutenir. Donc les quelques études existantes sont soit le fait d’études soutenues par les lobbies de la viande et donc n’iront pas dans le sens contraire à leurs intérêts.
Il existe quelques études américaines très généralistes, malgré tout, qui en soulignent la différence.
La consommation modérée de n’importe quel aliment ne présentera pas de signes cliniques particuliers puisque la nourriture de la majeure partie des gens est diversifiée d’où la difficulté d’en tirer des conclusions. Pour cela il faut pouvoir sérier chaque aliment pour en mesurer les avantages/inconvénients (et c’est interdit de le faire sur des humains). Donc tu ne trouveras quasimment rien sur le sujet. Pour le reste cela se mesure par comparaison sur le vécu de certains groupes ciblés (quand c'est possible car les VG sont éparts et en petite quantité sur le territoire)
Citation:
Pour le "régime VG "(ce n’est pas un régime mais un mode de vie)
Étant végétarien depuis mon plus jeune âge, je considère ça comme un régime et pas comme un mode de vie.
Bien sûr puisque ce n’est pas un choix personnel, pensé, mesuré, comparé, c’est une culture se comparant à une autre culture. (Dans ce cas là on peut dire que tous les modes alimentaires sont des régimes.)
Un mode de vie induit une idéologie,ce qui n'est pas toujours le cas.
Un changement de mode de vie, alimentaire ou pas, est toujours lié à une « idéologie » quoique le mot soit lui-même détourné de son sens la plupart du temps
Origines de l'idéologie[modifier]
Étymologie[modifier]
Du grec ancien ἰδέα (idea), « idée », et de λόγος (logos), « science, discours ». L'idéologie est donc, étymologiquement, un discours sur les idées. En grec ancien, le nom ἰδέα apparenté au verbe ἰδεῖν, « voir », suggèrerait plutôt le sens d'« image ». L'idéologie est communément interprétée comme :
• la logique d'une idée par rapport à son contrainte... (à sa contrainte ou à son contraire?)
• la logique d'une vision.
• la logique d'une image développée pour la pensée de groupe.
Un enfant ou un adulte qui ne fait que suivre le choix de ses parents ou de la société n’est effectivement pas dans une idéologie mais dans une culture.
Mes enfants et petits enfants sont VG mais le sujet ne les intéresse pas plus que cela, c'est devenu une culture pour eux!
Par contre s'ils doivent faire un choix contraire à cette culture peut-être qu'ils s'intéresseront au sujet et leur choix sera ALORS idéologique.
Enfin et c'est aussi un point important si chaque consommateur, même modéré, devait tuer ces animaux pour s'en nourrir: combien le feraient?