Bonjour, je vais installer une PAC Sol/Eau dans la Drôme, T°base -8 Alt 340 mètres, construction normes RT2005++.
Dans mon terrain, je n'ai que de la Marne, quand il y'a de forte pluie, j'ai une piscine municipale devant chez moi ; et par rapport à ma PAC gèo., j'aimerai savoir quelle est le plus intéressant entre du sable de Marne et du tout venant afin d'éviter que le captage ne gel mon terrain.
Merci
Meilleur terrain possible pour de la géothermie
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J'y connais rien du tout en géologie mais l'eau est un régulateur thermique puissant. Un terrain mouillé gelera donc bien apres un terrain sec...
C'est tout ce que je peux te dire sur la question désolé...
C'est tout ce que je peux te dire sur la question désolé...
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une solution :forer pour avoir un puis en profondeur ,si tu a de l'eau bien-sur!,si tu a une nappe pas trop profonde c'est l'ideal,t° stable
pour le terrain humide si c'est tres momentané ,l'eau peu venir meme si pluie froide,il faut plus de prevision,si le vendeur est serieux il doit avoir un technitient qui connait le job
pour le terrain humide si c'est tres momentané ,l'eau peu venir meme si pluie froide,il faut plus de prevision,si le vendeur est serieux il doit avoir un technitient qui connait le job
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Ben si blond se préocuppe du gel de son terrain c'est qu'il compte faire un captage horizontal et pas vertical donc encore moins dans un puit...me trompe-je?
Oui je pense qu'un terrain humide est plus propice à la géothermie...mais comme je l'ai dis je ne suis pas du tout spécialiste du sujet donc il y a peut être d'autres contraintes qui annulent cet avantage?
Oui je pense qu'un terrain humide est plus propice à la géothermie...mais comme je l'ai dis je ne suis pas du tout spécialiste du sujet donc il y a peut être d'autres contraintes qui annulent cet avantage?
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2 techniques existent en captage sans eau.
La sonde verticale et le captage horizontal.
La sonde verticale signifie un forage donc un budget très élevé. Cette technique permet aux vendeurs de proposer une PAC sol/eau quand le "cligeon" (contraction de client/pigeon) ne dispose pas de la surface de captage de 1.5 fois supérieure à la surface à chauffer.
Cette technique est-elle moins sensible aux mouvements des terrains marneux ?
Le captage horizontal est en effet préoccupant dans des terrains marneux qui travaillent beaucoup en cas de sécheresse et qui de ce fait peuvent déterriorer et faire fuir le capteur.
Chez moi, ces dernières années toutes les canalisations d'eau en polyethylène se mettaient à fuire les unes après les autres entre le collecteur qui passe dans la rue et les compteurs des maisons. La compagnie des eaux, constamment appelée pour des fuites à fini par toutes les remplacer. La faute incombait au terrain marneux et aux sécheresses à répétition.
On peut certes palier à ces inconvénients en faisant de plus larges tranchées pour les capteurs que l'on remplit de sable dans le quel on pose le capteur. Bien entendu, on sépare le sable du sol d'origine par un geotextile. Ainsi le sable absorbe les mouvements du sol marneux.
Bref, il faut vraiement vouloir une PAC...
J'en profite pour rapeller que la PAC n'est pas une énergie renouvelable... quoiqu'en disent les vendeurs à leurs cligeons et bien qu'elles soient éligibles au crédit d'impôt...
Edit par la modération : complément à la derniere remarque,Géothermie, les pompes a chaleur ne sont pas (entièrement) une énergie renouvelable !
La sonde verticale et le captage horizontal.
La sonde verticale signifie un forage donc un budget très élevé. Cette technique permet aux vendeurs de proposer une PAC sol/eau quand le "cligeon" (contraction de client/pigeon) ne dispose pas de la surface de captage de 1.5 fois supérieure à la surface à chauffer.
Cette technique est-elle moins sensible aux mouvements des terrains marneux ?
Le captage horizontal est en effet préoccupant dans des terrains marneux qui travaillent beaucoup en cas de sécheresse et qui de ce fait peuvent déterriorer et faire fuir le capteur.
Chez moi, ces dernières années toutes les canalisations d'eau en polyethylène se mettaient à fuire les unes après les autres entre le collecteur qui passe dans la rue et les compteurs des maisons. La compagnie des eaux, constamment appelée pour des fuites à fini par toutes les remplacer. La faute incombait au terrain marneux et aux sécheresses à répétition.
On peut certes palier à ces inconvénients en faisant de plus larges tranchées pour les capteurs que l'on remplit de sable dans le quel on pose le capteur. Bien entendu, on sépare le sable du sol d'origine par un geotextile. Ainsi le sable absorbe les mouvements du sol marneux.
Bref, il faut vraiement vouloir une PAC...
J'en profite pour rapeller que la PAC n'est pas une énergie renouvelable... quoiqu'en disent les vendeurs à leurs cligeons et bien qu'elles soient éligibles au crédit d'impôt...
Edit par la modération : complément à la derniere remarque,Géothermie, les pompes a chaleur ne sont pas (entièrement) une énergie renouvelable !
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Bonjour
La technique du puit verticale la plus oneruese ,mais obligatoir si on est dans le roc ou parfois glaisseux preferable le puit avec une boucle en plastique special pour cet usage , le trou est remplie de sable fin ,le trou dans un terrain glaiseux necessite un tube ,dans le roc pas necessaire ,suivant la puissance du PAC cela prend plusieurs forages .
Pour le systéme horizontal souvent il est installer en même temps a l'ocassion d'un terrassement ,maison conduit enterre maison loin de la route ect .. les conduits sont placeés bien endessous de la zone du gel, (la ou la terre fait 12c) il est preferable de vider une épaisseur de sable déposer le conduit et de le noyer dans une bonne couche de sable ,si la nape phreatique est pas trop creuse on essaie de poser le conduit dans le haut de la nappe..
La plupart des poseurs preferent forer des puits vertical bien profond , pour des raisons de simplicité cela deforme pas un terrain et c'est proche de la maison
André
La technique du puit verticale la plus oneruese ,mais obligatoir si on est dans le roc ou parfois glaisseux preferable le puit avec une boucle en plastique special pour cet usage , le trou est remplie de sable fin ,le trou dans un terrain glaiseux necessite un tube ,dans le roc pas necessaire ,suivant la puissance du PAC cela prend plusieurs forages .
Pour le systéme horizontal souvent il est installer en même temps a l'ocassion d'un terrassement ,maison conduit enterre maison loin de la route ect .. les conduits sont placeés bien endessous de la zone du gel, (la ou la terre fait 12c) il est preferable de vider une épaisseur de sable déposer le conduit et de le noyer dans une bonne couche de sable ,si la nape phreatique est pas trop creuse on essaie de poser le conduit dans le haut de la nappe..
La plupart des poseurs preferent forer des puits vertical bien profond , pour des raisons de simplicité cela deforme pas un terrain et c'est proche de la maison
André
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- Remundo
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Bonjour Blond'
Pour éviter le gel, pas cinquante solutions, enterrer suffisamment profondément. Par ailleurs, plus ton échangeur extérieur est "chaud", en tout cas peu froid, et moins le compresseur de ta PAC aura besoin de tourner. En gros, tu peux passer d'un COP de 3 avec une installation insuffisamment enterrer à un COP de presque 5 (bon matériel requis, bien sûr) avec une installation bien enfoncée, à 12°C environ. En gros, tu obtiens 500W thermique pour 100W électrique fourni au compresseur.
Il faut compter 1,50 m en moyenne selon les terrains. Renseigne toi auprès des chauffagistes qui installent ce genre de matériel.
Pour la profondeur, rien de tel que le forage vertical, mais c'est plus cher en général. Mais si tu as du remblais "pas cher" qui traîne et que la morphologie de ton terrain s'y prête, tu peux faire une tranchée à 1m de profondeur, reboucher et faire recouvir par 70 cm de remblais.
Bon courage.
Pour éviter le gel, pas cinquante solutions, enterrer suffisamment profondément. Par ailleurs, plus ton échangeur extérieur est "chaud", en tout cas peu froid, et moins le compresseur de ta PAC aura besoin de tourner. En gros, tu peux passer d'un COP de 3 avec une installation insuffisamment enterrer à un COP de presque 5 (bon matériel requis, bien sûr) avec une installation bien enfoncée, à 12°C environ. En gros, tu obtiens 500W thermique pour 100W électrique fourni au compresseur.
Il faut compter 1,50 m en moyenne selon les terrains. Renseigne toi auprès des chauffagistes qui installent ce genre de matériel.
Pour la profondeur, rien de tel que le forage vertical, mais c'est plus cher en général. Mais si tu as du remblais "pas cher" qui traîne et que la morphologie de ton terrain s'y prête, tu peux faire une tranchée à 1m de profondeur, reboucher et faire recouvir par 70 cm de remblais.
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