Bla bla, voilà
en effet le sujet est :
de quelles ressources disposons nous réellement pour continuer de "croitre", quelle quantité d'humains pouvons nous faire vivre durablement sur notre terre et de quelles énergies alternatives disposerons nous ?
cependant, sur le climat, ces courbes portent le doute, non?
nous sommes dans une phase "optimale" apparemment comparativement sur le dernier millénaire
voir une brillante éude fournie en documentation sur le CO2, le soleil et la température :
http://planet-terre.ens-lyon.fr/planett ... m-temp.xml
quoi qu'il en soit, les énergie fossiles vont se raréfier et leur coût augmenter
CONCLUSION DU DOCUMENT
On peut supposer que le « froid » actuel durera tant que durera l'Himalaya (gigantesque pompe à CO2 ), pour encore pas mal de millions d'années. Quand l'Himalaya sera « aplani », le taux de CO2 augmentera à nouveau, et la température aussi, à moins que d'autres montagnes ne se forment en pays inter tropical.
A l'échelle de l'histoire de la terre :
Ces variations qui durent depuis quelques centaines de millions d'années (voir les 3 diagrammes du haut dans la figure ci-dessous) s'inscrivent dans des « tendances générales » :
le CO2 baisse ; il a été divisé par 100 000 depuis l'origine de la Terre (4e diagramme de la figure ci-dessous).
Ce diagramme (en échelle log) montre une décroissance quasi linéaire de la concentration du CO2 avec le temps : le taux de CO2 est divisé par 10 à 100 tous les milliards d'années.
Figure 15. Evolution des teneurs en CO2 depuis 4,5 milliards d'années.
Quelques données indirectes de mesure de la pression partielle de CO2 ont été publiées qui semblent en assez bon accord avec la courbe modélisée de Berner. Ces évidences proviennent des isotopes stables du carbone dans les paléosols ou bien d'arguments paléontologiques comme la densité de stomates sur les feuilles fossiles. Source : document de Pierre Thomas publié dans Sciences de la Vie et de la Terre, 2nde, collection Eric Périlleux, Nathan, 2000.
Cette diminution est due à l'accroissement lent et progressif de la quantité des calcaires terrestres.
Pendant la même époque, l'énergie rayonnée par le soleil a augmenté de 50 % ( Pour en savoir plus sur la variabilité solaire à long terme, voir la thèse de Anne Vigouroux en ligne sur le site de l'observatoire de Nice.).
Et globalement, aux innombrables oscillations près, la hausse du soleil a été compensée par la baisse du CO2 : La température de la Terre est toujours restée entre 0 et 100°C (sauf une ou 2 fois il y a - 650 millions d'années, époque où la Terre a sans doute été une boule de glace, gelée des pôles à l'équateur).
Pourvu que ça dure !!!!!!