Récupérer les eaux usées, comment faire?
c'est exactement ça Jonule, remplacer la lessive classique par la noix de lavage, il y a un mois j'avais vu une publicité sur la noix de lavage, en plus ils disent que pour 1 kilo de noix de lavage vous en avez pour 1 an de lavage, l'autre fois dans le magasin j'ai été voir les noix de lavage, j'ai pas été trop tenté j'ai senti l'interieur du sac ça m'a pas fait une bonne impression.
Mais bon si ca permet de récupérer son eau de machine à laver, par contre si cette eau est destinée pour les toilettes pas de problème, mais pour le potager, il y aura un petit souci, l'eau qui sort est bouillante.
tu parles de 150 à 200 litres par lessive, jonule même une vieille machine à laver ça prendra que 60 litres pas lessive.
Moi j'ai une machine qui prend 48 litres par lessive et je fais quasiment 1 lessive par jour, ça me fait donc 1440 litres par mois, je suppose que cela peut m'approvisionner un potager?
Flytox, moi j'ai le tout à l'égout, donc il y a pas de problème de faire passer des eaux savonneuses dans la chasse d'eau, le seul problème viendra du réservoir de la chasse d'eau, il y a le caoutchouc de la chasse d'eau + le mécanisme robinet flotteur etc... qui eux s'ils sont corrodés avec de l'eau savonneuse ou graisseuse risque de se casser.
Ahmed, c'est un système de double évacuation qu'il faut que je trouve, pour la machine à laver c'est le plus simple, par contre pour l'évier, le lavabo ( la baignoire je laisse tomber c'est trop sale) c'est là que ça va être plus compliquer, à première vue je dirais je mettrais un système de double évacuation avec vannes directrices, oui parce que dehors je vais mettre un conteneur pour récuperer, et si le conteneur est plein, le temps que j'utilise, l'eau en surplus devra s'évacuer dans la voie classique.
j'ai pas compris "obligation légale"
Oui la solution c'est avant de réutiliser l'eau, mettre des filtres, et là est ce que c'est jouable?
Parce que quand on jette toutes nos eaux usées, aprés la lyonnaise des eaux récupère l'eau la filtre etc etc.., mais eux c'est plus compliqué car les eaux grises sont mélangées aux eaux vannes.
tandis que dans mon cas est ce que la filtration va me couter cher?
Mais bon si ca permet de récupérer son eau de machine à laver, par contre si cette eau est destinée pour les toilettes pas de problème, mais pour le potager, il y aura un petit souci, l'eau qui sort est bouillante.
tu parles de 150 à 200 litres par lessive, jonule même une vieille machine à laver ça prendra que 60 litres pas lessive.
Moi j'ai une machine qui prend 48 litres par lessive et je fais quasiment 1 lessive par jour, ça me fait donc 1440 litres par mois, je suppose que cela peut m'approvisionner un potager?
Flytox, moi j'ai le tout à l'égout, donc il y a pas de problème de faire passer des eaux savonneuses dans la chasse d'eau, le seul problème viendra du réservoir de la chasse d'eau, il y a le caoutchouc de la chasse d'eau + le mécanisme robinet flotteur etc... qui eux s'ils sont corrodés avec de l'eau savonneuse ou graisseuse risque de se casser.
Ahmed, c'est un système de double évacuation qu'il faut que je trouve, pour la machine à laver c'est le plus simple, par contre pour l'évier, le lavabo ( la baignoire je laisse tomber c'est trop sale) c'est là que ça va être plus compliquer, à première vue je dirais je mettrais un système de double évacuation avec vannes directrices, oui parce que dehors je vais mettre un conteneur pour récuperer, et si le conteneur est plein, le temps que j'utilise, l'eau en surplus devra s'évacuer dans la voie classique.
j'ai pas compris "obligation légale"
Oui la solution c'est avant de réutiliser l'eau, mettre des filtres, et là est ce que c'est jouable?
Parce que quand on jette toutes nos eaux usées, aprés la lyonnaise des eaux récupère l'eau la filtre etc etc.., mais eux c'est plus compliqué car les eaux grises sont mélangées aux eaux vannes.
tandis que dans mon cas est ce que la filtration va me couter cher?
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les noix de lavage contiennent une substance savonneuse, c'est elle que tu sens : il suffit de les passer sous l'eau et de les agiter pour voir que ça mousse ;-)
par contre pour une utilisation satisfaisante, il faut utiliser du sel détachant de lavage (l'oxygène actif des pubs) que tu trouve aussi en magasin bio.
enfin il existe d'autres lessives "bio-compatibles", moi j'utilise une "boule magique", 40€ pour 1000 lavages, ça marche bien pour le linge de tous les jours.
pur l'eau bouillonnante, il suffit de la laisser se reposer un peu, et ça permet la décantation, elle sera encore + propre ;-)
je te jure qu'elle récupère autant je lui avait posé la question, elle doit utiliser prélavage lavage rinçage etc etc ? ... je lui ai demandé c'est une classe D elle a 6 ou 7 ans, essore à 400tr/min, consomme beaucoup d'électricité etc ... c'est vrai une neuve c'est plutot 50L maintenant ...
par contre pour une utilisation satisfaisante, il faut utiliser du sel détachant de lavage (l'oxygène actif des pubs) que tu trouve aussi en magasin bio.
enfin il existe d'autres lessives "bio-compatibles", moi j'utilise une "boule magique", 40€ pour 1000 lavages, ça marche bien pour le linge de tous les jours.
pur l'eau bouillonnante, il suffit de la laisser se reposer un peu, et ça permet la décantation, elle sera encore + propre ;-)
je te jure qu'elle récupère autant je lui avait posé la question, elle doit utiliser prélavage lavage rinçage etc etc ? ... je lui ai demandé c'est une classe D elle a 6 ou 7 ans, essore à 400tr/min, consomme beaucoup d'électricité etc ... c'est vrai une neuve c'est plutot 50L maintenant ...
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@ Kangourou:
Il est nécessaire de te repiquer sur l'évacuation de façon à orienter les effluents vers ton réservoir: il te suffit d'une seule vanne pour fermer ton piquage et contraindre l'eau à emprunter l'ancien cheminement.
"obligation légale": la société qui te fournit l'eau est responsable de la qualité de ce qui circule sur son réseau, elle veille donc scrupuleusement à ce qu'aucune eau non contrôlée par elle puisse le contaminer.
Les deux circuits doivent donc être séparés.
Il est possible de satisfaire à cette obligation en ayant une double robinetterie, ou bien, ce qui est plus simple, en intercalant un clapet anti-retour sur la canalisation de l'eau de la ville.
La filtration est une nécessité technique, car sinon les robinets ne fonctionneront pas longtemps.
Le système de filtration peut être bricolé assez simplement: il faut un séparateur de graisse par gravité (c'est un bac avec une paroi médiane laissant passer l'eau par le dessous et bloquant les corps gras flottant à la surface), plus un filtre à sable pour retenir les particules en suspension.
Ca reste assez rustique, étant donné qu'il n'y a pas de pression à ce niveau. Si cela te rebute, il reste l'option de l'eau de pluie…
Pour la filtration de mon eau de puits j'utilise un filtre à cartouche textile placée après la cuve de pression.
Il est nécessaire de te repiquer sur l'évacuation de façon à orienter les effluents vers ton réservoir: il te suffit d'une seule vanne pour fermer ton piquage et contraindre l'eau à emprunter l'ancien cheminement.
"obligation légale": la société qui te fournit l'eau est responsable de la qualité de ce qui circule sur son réseau, elle veille donc scrupuleusement à ce qu'aucune eau non contrôlée par elle puisse le contaminer.
Les deux circuits doivent donc être séparés.
Il est possible de satisfaire à cette obligation en ayant une double robinetterie, ou bien, ce qui est plus simple, en intercalant un clapet anti-retour sur la canalisation de l'eau de la ville.
La filtration est une nécessité technique, car sinon les robinets ne fonctionneront pas longtemps.
Le système de filtration peut être bricolé assez simplement: il faut un séparateur de graisse par gravité (c'est un bac avec une paroi médiane laissant passer l'eau par le dessous et bloquant les corps gras flottant à la surface), plus un filtre à sable pour retenir les particules en suspension.
Ca reste assez rustique, étant donné qu'il n'y a pas de pression à ce niveau. Si cela te rebute, il reste l'option de l'eau de pluie…
Pour la filtration de mon eau de puits j'utilise un filtre à cartouche textile placée après la cuve de pression.
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Ahmed, à tout hasard tu n'aurais pas des photos de filtre.
sinon je crois que si je me lance ça va être avec la machine à laver, parce que l'évacuation c'est presque un jeu d'enfant.
là faudra que je filtre un peu le savon, un filtre ça dure combien de temps?
et puis les vannes j'en ai vu sur la robinetterie, mais sur des tuyaux d'évacuation pvc j'en ai jamais vu
pour l'eau de pluie ça me tente pas trop, déjà j'ai pas de puit, j'ai des petites gouttières, et puis c'est pas régulier, là pour juillet et aout on a eu de la sécheresse, tandis que la machine à laver c'est tout les jours.
Par contre l'eau que je récupérerai sera tout de même sale, et elle va stagner dans un conteneur, au niveau microbes et batterie, pour enlever tout risque de maladies ou prolifération de microbe, faut il que je rajoute du chore?
Jonule, pour ta machine à 400tours d'essorage et 200 litres par lessive, jette là de suite c'est une fortune, en plus avec un essorage de 400 tours, le linge sèche en 1 semaine!
sinon je crois que si je me lance ça va être avec la machine à laver, parce que l'évacuation c'est presque un jeu d'enfant.
là faudra que je filtre un peu le savon, un filtre ça dure combien de temps?
et puis les vannes j'en ai vu sur la robinetterie, mais sur des tuyaux d'évacuation pvc j'en ai jamais vu
pour l'eau de pluie ça me tente pas trop, déjà j'ai pas de puit, j'ai des petites gouttières, et puis c'est pas régulier, là pour juillet et aout on a eu de la sécheresse, tandis que la machine à laver c'est tout les jours.
Par contre l'eau que je récupérerai sera tout de même sale, et elle va stagner dans un conteneur, au niveau microbes et batterie, pour enlever tout risque de maladies ou prolifération de microbe, faut il que je rajoute du chore?
Jonule, pour ta machine à 400tours d'essorage et 200 litres par lessive, jette là de suite c'est une fortune, en plus avec un essorage de 400 tours, le linge sèche en 1 semaine!
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bah c'est bien ce que je lui ai dit mais elle m'a dit qu'une neuve c'est 400€ et que pour l'instant ça lui permet d'arroser son jardin à pas cher, parceque l'eau de sa ville l'est !
sinon l'eau du linge ne comporte normalment pas de bactéries, et contient encore de la lessive ... donc pas de chlore. tu peux déjà observer avant de prendre une décision, mais une fois dans le sol, cela se dégrade et nourrit ton sol.
sinon l'eau du linge ne comporte normalment pas de bactéries, et contient encore de la lessive ... donc pas de chlore. tu peux déjà observer avant de prendre une décision, mais une fois dans le sol, cela se dégrade et nourrit ton sol.
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Désolé, pas de photos disponibles, mais ça doit se trouver sur le net…
La durée des filtres est grande, c'est leur nettoyage qui varie en fréquence selon la turbidité de l'eau et les quantités filtrées.
Exact, mais ça doit être possible d'utiliser des vannes qui vont sur des canalisations en cuivre, quitte à recourir à des raccords vissés PVC/cuivre.
Je ne comprends pas trop l'argument du manque de puits?
Pour le reste, je suis d'accord, l'alimentation en eau de pluie est, par nature, irrégulière, c'est pourquoi cette solution nécessite un volume de stockage assez considérable. Cependant, même avec une surface de toiture modeste, on est surpris des quantités d'eau que chaque pluie est capable de générer.
Eléphant explique que la lessive contient des éléments chimiques fertilisants, c'est vrai mais il y a aussi des éléments indésirables et je suis d'accord avec Jonule pour limiter ces produits, préférentiellement à l'usage, sinon par décantation-filtrage.
La durée des filtres est grande, c'est leur nettoyage qui varie en fréquence selon la turbidité de l'eau et les quantités filtrées.
"…les vannes j'en ai vu sur la robinetterie, mais sur des tuyaux d'évacuation pvc j'en ai jamais vu."
Exact, mais ça doit être possible d'utiliser des vannes qui vont sur des canalisations en cuivre, quitte à recourir à des raccords vissés PVC/cuivre.
"… pour l'eau de pluie ça me tente pas trop, déjà j'ai pas de puits, j'ai des petites gouttières, et puis c'est pas régulier, là pour juillet et aout on a eu de la sécheresse."
Je ne comprends pas trop l'argument du manque de puits?
Pour le reste, je suis d'accord, l'alimentation en eau de pluie est, par nature, irrégulière, c'est pourquoi cette solution nécessite un volume de stockage assez considérable. Cependant, même avec une surface de toiture modeste, on est surpris des quantités d'eau que chaque pluie est capable de générer.
Eléphant explique que la lessive contient des éléments chimiques fertilisants, c'est vrai mais il y a aussi des éléments indésirables et je suis d'accord avec Jonule pour limiter ces produits, préférentiellement à l'usage, sinon par décantation-filtrage.
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
si je peux me permettre concernant les noix de lavage !
trouvé sur un autre site (désolée christophe!)
« Noix de lavage »
Ne pas répéter les erreurs du passé !
On a vu arriver sur les marchés européens, depuis quelques années,
un nouveau « produit miracle » : les noix de lavage venues des Indes
qu’on utilise aussi bien en lessive qu’en savon ou shampoing…
De quoi s’agit-il ?
De noix produites par des « arbres à savon » (Sapindus Mukorossi), actuellement sauvages, dans certains états des Indes (l’Imachal Pradesh par exemple).
Une entreprise sérieuse et bien connue du commerce équitable, nous précise qu’un « collecteur » achète les noix aux paysans, après cueillette manuelle, pour les revendre à un grossiste qui va permettre de fournir la demande locale (en incorporant ces noix à des lessives chimiques).
Que les Indiens de ces états disposent ainsi d’un produit de lavage accessible, relativement écologique, fort bien.
Qu’on développe cette activité économique pour fournir un marché européen (qui n’en demande pas tant !) pose certains problèmes éthiques, économiques et sociaux autant qu’écologiques. En effet, les conséquences économiques, sociales, humanitaires locales, à très court terme sont parfaitement prévisibles :
développement pour l’exportation d’une ressource vivrière sauvage
mise en culture, sans nécessité locale ni régionale
tendance à la monoculture d’exportation (type quinoa, café, thé, sucre…) et déséquilibre régional
déperdition des ressources similaires dans les pays importateurs (la saponaire en Europe, par exemple).
effet pervers d’une « mode », d’une « tendance » : d’autant plus que ces noix de lavage ont un résultat sensiblement éloigné de nos lessives européennes produites localement et sans danger pour l’environnement… Quand les bobo en auront assez des noix de lavage que restera-t-il aux Indiens de l’Himalaya… ? L’immigration vers le 9-3 ?
L’importation en Europe de ces noix de lavage (avec l’aberration écologique que constitue son transport) relève très exactement de la fausse « bonne » idée qu’on peut assimiler à du néo-colonialisme.
Dans cette optique de cohérence écologique, le Salon Asphodèle a été le premier à demander à ses exposants de ne pas y présenter ce produit…
NB1. Vous allez nous dire : pourquoi les noix de lavage et pas le thé ou le café ou… les capteurs solaires fabriqués en Chine. Nous répondrons : il faut bien commencer la réflexion par un bout… et tant qu’à faire ne pas reproduire les erreurs d’antan !
NB2. Nous avons appris également que la France avait, jadis, planté des arbres à noix de lavage dans ses colonies (Asie et Afrique)… Mais seul le climat des Indes donne à ces noix un relatif pouvoir lavant. Aussi lorsqu’un revendeur français tente de se justifier en précisant que ses noix à lui viennent… d’Afrique, on mesure encore plus l’effet mode du produit !
Marie Fougère et Jean-Marc Carité
La Maison de l'Ecologie partageant, l'analyse faite par Marie Fougère et Jean-Marc Carité (des Edition UTOVIE et du salon Salon Asphodèle), se joint à cet appel et déréférence les noix de lavage de son catalogue et de sa vente en ligne
Marianna & jean Jacques Tournon
trouvé sur un autre site (désolée christophe!)
« Noix de lavage »
Ne pas répéter les erreurs du passé !
On a vu arriver sur les marchés européens, depuis quelques années,
un nouveau « produit miracle » : les noix de lavage venues des Indes
qu’on utilise aussi bien en lessive qu’en savon ou shampoing…
De quoi s’agit-il ?
De noix produites par des « arbres à savon » (Sapindus Mukorossi), actuellement sauvages, dans certains états des Indes (l’Imachal Pradesh par exemple).
Une entreprise sérieuse et bien connue du commerce équitable, nous précise qu’un « collecteur » achète les noix aux paysans, après cueillette manuelle, pour les revendre à un grossiste qui va permettre de fournir la demande locale (en incorporant ces noix à des lessives chimiques).
Que les Indiens de ces états disposent ainsi d’un produit de lavage accessible, relativement écologique, fort bien.
Qu’on développe cette activité économique pour fournir un marché européen (qui n’en demande pas tant !) pose certains problèmes éthiques, économiques et sociaux autant qu’écologiques. En effet, les conséquences économiques, sociales, humanitaires locales, à très court terme sont parfaitement prévisibles :
développement pour l’exportation d’une ressource vivrière sauvage
mise en culture, sans nécessité locale ni régionale
tendance à la monoculture d’exportation (type quinoa, café, thé, sucre…) et déséquilibre régional
déperdition des ressources similaires dans les pays importateurs (la saponaire en Europe, par exemple).
effet pervers d’une « mode », d’une « tendance » : d’autant plus que ces noix de lavage ont un résultat sensiblement éloigné de nos lessives européennes produites localement et sans danger pour l’environnement… Quand les bobo en auront assez des noix de lavage que restera-t-il aux Indiens de l’Himalaya… ? L’immigration vers le 9-3 ?
L’importation en Europe de ces noix de lavage (avec l’aberration écologique que constitue son transport) relève très exactement de la fausse « bonne » idée qu’on peut assimiler à du néo-colonialisme.
Dans cette optique de cohérence écologique, le Salon Asphodèle a été le premier à demander à ses exposants de ne pas y présenter ce produit…
NB1. Vous allez nous dire : pourquoi les noix de lavage et pas le thé ou le café ou… les capteurs solaires fabriqués en Chine. Nous répondrons : il faut bien commencer la réflexion par un bout… et tant qu’à faire ne pas reproduire les erreurs d’antan !
NB2. Nous avons appris également que la France avait, jadis, planté des arbres à noix de lavage dans ses colonies (Asie et Afrique)… Mais seul le climat des Indes donne à ces noix un relatif pouvoir lavant. Aussi lorsqu’un revendeur français tente de se justifier en précisant que ses noix à lui viennent… d’Afrique, on mesure encore plus l’effet mode du produit !
Marie Fougère et Jean-Marc Carité
La Maison de l'Ecologie partageant, l'analyse faite par Marie Fougère et Jean-Marc Carité (des Edition UTOVIE et du salon Salon Asphodèle), se joint à cet appel et déréférence les noix de lavage de son catalogue et de sa vente en ligne
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