Pour Obamot et Dede, je me répète :
Christophe a écrit :Ecoutez bien les dernières secondes...
Ca ressemble à de la preuve législative par précaution
Christophe a écrit :Ecoutez bien les dernières secondes...
dedeleco a écrit :Une étude expérimentale des effets de l'aluminium fondu avec différent produits et des effets sur les poutres d'acier ;
http://www.youtube.com/watch?v=5d5iIoCiI8g
il semble difficile de croire que l'aluminium des avions pourrait avoir fait spontanément sur les deux tours à répétition, ce qu'ils ont pas mal de peine à réaliser dans ces expériences ??,
Le WTC7 n'a pas eu beaucoup d'aluminium fondu des avions.
Il est certain qu'il faut faire des expériences réelles, comme sur cette vidéo, en ajoutant de l'aluminium fondu avec de l'eau pour voir les effets spontanés???
L'aluminium des avions a été certainement fortement dispersé ???
grelinette a écrit :dedeleco a écrit :Une étude expérimentale des effets de l'aluminium fondu avec différent produits et des effets sur les poutres d'acier ;
http://www.youtube.com/watch?v=5d5iIoCiI8g
il semble difficile de croire que l'aluminium des avions pourrait avoir fait spontanément sur les deux tours à répétition, ce qu'ils ont pas mal de peine à réaliser dans ces expériences ??,
Le WTC7 n'a pas eu beaucoup d'aluminium fondu des avions.
Il est certain qu'il faut faire des expériences réelles, comme sur cette vidéo, en ajoutant de l'aluminium fondu avec de l'eau pour voir les effets spontanés???
L'aluminium des avions a été certainement fortement dispersé ???
Cette théorie d'explosions des tours dues à l'aluminium en fusion est expliquée ici :
http://www.maxisciences.com/11-septembre/une-reaction-chimique-serait-a-l-039-origine-de-la-chute-des-twin-towers_art17187.html
Le doute scientifique, une attitude exemplaire
C'est une belle leçon de morale que viennent d'administrer les chercheurs du CNRS et du CERN, l'organisation européenne pour la recherche nucléaire, qui est aussi le plus grand laboratoire de physique du monde. Après avoir découvert, dans le cadre d'une expérience baptisée "Opera", que des particules pouvaient voyager plus vite que la lumière, l'équipe de physiciens a passé six mois à tenter de trouver une faille à cette découverte. L'enjeu est de taille : si les résultats de ces travaux sont confirmés, ils mettront à bas la théorie classique de la relativité restreinte d'Albert Einstein, loi centrale de la physique depuis 1905.
Confrontés à des résultats qui bousculent la confortable routine des certitudes, les physiciens associés à cette expérience auraient pu garder leurs travaux pour eux. Ils ont choisi la démarche inverse. Vendredi 23 septembre, ils ont publié les résultats de leurs recherches, exposant de la manière la plus ouverte les détails de leur expérience et ses données brutes.
Amenés à mettre en doute la validité d'un principe cardinal de la physique, ils offrent ainsi à la communauté scientifique tous les moyens de mettre à son tour en doute, méthodiquement, le fruit de leurs travaux. Ils s'exposent, volontairement, à la critique de leurs pairs. Au cours de ce processus, qui pourra être orageux, les arguments des uns et des autres seront entendus ; de nouvelles expériences seront sans doute menées ou imaginées, pour trancher la question. Peu à peu se dégagera un consensus, et la science en sortira plus forte, ouvrant ou non la voie à de nouvelles théories capables de mieux décrire les lois de la nature. Les "neutrinos supraluminiques" - nom de ces particules fondamentales furtives - du laboratoire souterrain de Gran Sasso, en Italie, où ont eu lieu les mesures de la vitesse de leur propagation, seront peut-être à l'origine d'une nouvelle aventure pour la science. Dans l'immédiat, ils sont surtout le symbole de la soif de savoir des communautés scientifiques, et de leur volonté de se libérer des convenances sociales, idéologiques ou économiques. Du scepticisme comme antidote à l'arrogance.
Scandales sanitaires, expertises défaillantes, corruption et conflits d'intérêts ont, depuis plusieurs années, terni l'image des scientifiques auprès du grand public. Ce qui se produit actuellement dans la communauté des physiciens est, au contraire, une remarquable manifestation de l'intégrité de la démarche scientifique.
Cette démarche a parfois été détournée par les conflits d'intérêts. Elle a pu être instrumentalisée pour créer délibérément le doute, à des fins industrielles ou commerciales - sur la nocivité du tabac, de l'amiante, du Mediator, ou sur la réalité du changement climatique. Les faits eux-mêmes finissent le plus souvent par s'imposer. Il ne reste rien, aujourd'hui, de la fusion froide ou de la mémoire de l'eau. En ces temps de double crise mondiale, économique et écologique, on ne peut que souhaiter aux économistes de s'inspirer, de l'extraordinaire liberté d'esprit des physiciens.
Article paru dans l'édition du 25.09.11
Cet édito est en fait consacré à la remise en question de la théorie de la relativité d'Einstein, due à la découverte récente d'un fait scientifique nouveau, en l'occurrence la mesure du déplacement d'une particule élémentaire qui s'est fait "flasher" en train de dépasser la vitesse de la lumière considérée jusqu'à ce jour comme infranchissable selon les fondements de la physique contemporaine. L'édito du Monde accueille avec enthousiasme la remise en cause d'un "dogme" scientifique, universellement admis et reconnu par la communauté internationale des chercheurs.
En opérant quelques modifications substantielles par rapport au texte original, la rédaction de ReOpen911 prend l'initiative de détourner cet édito du Monde afin de mettre en valeur la différence de traitement journalistique selon les sujets pris en compte. Les découvertes majeures de faits scientifiques nouveaux à propos des événements du 11-Septembre, ne reçoivent pas l'accueil enthousiaste qu'on constate ici. Ces découvertes sont, en fait, totalement ignorées par les médias dominants. Il est pourtant légitime de considérer que l'approche scientifique des faits est un processus qui se doit d'être universel.
Seuls les passages en italique ont été modifiés dans le texte ci-dessus, par rapport à l'édito original.
Le doute scientifique, une attitude exemplaire
Edito détourné du Monde | Original publié le 24.09.11 | 14h02 • Mis à jour le 24.09.11 | 15h44
C'est une belle leçon de morale que viennent d'administrer les chercheurs indépendants du 9/11 Truth Movement. Après avoir découvert, dans le cadre de leurs recherches (relayées en France par le site ReOpen911.info), que les événements survenus en 2001 méritaient une nouvelle enquête indépendante et impartiale, les équipes de chercheurs qui œuvrent aux États-Unis et partout à travers le monde, ont passé plusieurs années à tenter de trouver une faille afin que soit “ré-ouverte” une investigation portant sur les événements du 11-Septembre. L'enjeu est de taille : si les résultats de ces travaux sont confirmés, ils mettront à bas la théorie officielle de la conspiration islamiste, loi fondamentale de la géopolitique occidentale depuis 2001.
Confrontés à des résultats qui bousculent la confortable routine des certitudes, les chercheurs indépendants associés à cette expérience auraient pu garder leurs travaux pour eux. Ils ont choisi la démarche inverse. Depuis 2006, ils ont publié les résultats de leurs recherches, exposant de la manière la plus ouverte les détails de leur expérience et ses données brutes.
Amenés à mettre en doute la validité de l'explication officielle sur un événement fondateur de l'histoire contemporaine, ils offrent ainsi à la communauté scientifique tous les moyens de mettre à son tour en doute, méthodiquement, le fruit de leurs travaux. Ils s'exposent, volontairement, à la critique de leurs pairs. Au cours de ce processus, qui pourra être orageux, les arguments des uns et des autres seront entendus ; de nouvelles expériences seront sans doute menées ou imaginées, pour trancher la question. Peu à peu se dégagera un consensus, et la science en sortira plus forte, ouvrant ou non la voie à de nouvelles théories capables de mieux décrire les lois de la géopolitique. La vitesse d’effondrement des trois tours du World Trade Center, les traces de nano-thérmite retrouvées dans la poussière des décombres ou encore les analyses de la trajectoire du vol AA77, seront peut-être à l'origine d'une nouvelle aventure pour la diplomatie internationale. Dans l'immédiat, ils sont surtout le symbole de la soif de savoir des communautés scientifiques, et de leur volonté de se libérer des convenances sociales, idéologiques ou économiques. Du scepticisme comme antidote à l'arrogance.
Scandales sanitaires, expertises défaillantes, corruption et conflits d'intérêts ont, depuis plusieurs années, terni l'image des scientifiques auprès du grand public. Ce qui se produit actuellement dans la communauté des chercheurs indépendants est, au contraire, une remarquable manifestation de l'intégrité de la démarche scientifique.
Cette démarche a parfois été détournée par les conflits d'intérêts. Elle a pu être instrumentalisée pour créer délibérément le doute, à des fins industrielles ou commerciales - sur la nocivité du tabac, de l'amiante, du Mediator, ou sur la réalité du changement climatique. Les faits eux-mêmes finissent le plus souvent par s'imposer. Il ne reste rien, aujourd'hui, de la fusion froide ou de la mémoire de l'eau. En ces temps de double crise mondiale, économique et écologique, on ne peut que souhaiter aux économistes de s'inspirer, de l'extraordinaire liberté d'esprit des chercheurs indépendants sur le 11-Septembre.
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