Autant on peut être sceptique sur la ridicule climatologie dont les modèles ne convergent pas et les prévisions s'avèrent fausses du double au triple en seulement 5 ans d'observation, autant on peut compter sur la physique qui a fait ses preuves et dont les prévisions sont fiables. Or la température de la planète, c'est de la thermodynamique, ce sont des mathématiques statistiques, c'est de la physique.
Alors quand des physiciens disent aux climatologues qu'ils se plantent, ce qui arrive régulièrement, il faut les écouter avec attention.
Celui-là,
le Dr Patrick Frank, sans doute excédé,
a fait une notification au GIEC en conformité avec le propre protocole de rapport d'erreur du GIEC. C'est encore plus consternant que je ne le pensais.
Il nous dit : début septembre 2019, mon étude des modèles climatiques a passé l'examen par les pairs et a été publiée dans la section Sciences atmosphériques de Frontiers in Earth Science.
Elle répond aux questions suivantes : quelle est la fiabilité des modèles climatiques et quel crédit devrions-nous accorder à leurs prédictions d'un avenir chaud alimenté par le CO2 ? Les réponses sont : ils ne sont pas fiables, et aucun crédit."
Détails :
https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 00223/full"
Au cours de mon périple de six ans jusqu'à la publication, à travers neuf soumissions à des revues, 30 réviseurs et leurs 35 révisions, je n'ai pas rencontré un seul modélisateur climatique qui comprenait l'analyse des erreurs physiques, ou la propagation des erreurs, ou la signification de la calibration des modèles ou de l'incertitude, ou de l'impact des erreurs physiques sur la fiabilité prédictive, ou même de la distinction absolument centrale entre exactitude et précision.
Les modélisateurs climatiques sont manifestement incapables d'évaluer la fiabilité de leurs propres modèles. Cette constatation fournit une explication au recours universel à une métrique de précision inutile pour prétendre à la fiabilité des projections dans leurs travaux publiés, plutôt qu'à l'exactitude.
Je mentionne ces difficultés parce que, pour évaluer l'erreur [...], vous devrez consulter des physiciens expérimentaux compétents, qui comprennent l'analyse des erreurs physiques, plutôt que des climatologues, qui ne la comprennent pas.
[...]
Tous les modèles de circulation générale, quels que soient leurs autres usages, sont totalement inadaptés à la réalisation de projections du réchauffement climatique anthropique. Ils ne peuvent absolument rien nous dire sur la façon dont les températures atmosphériques pourraient évoluer à l'avenir, ni expliquer les excursions de température du passé.
Les MCG, en eux-mêmes, ne peuvent ni détecter, ni attribuer, ni projeter l'impact des émissions de CO2 sur les températures moyennes à la surface du globe, ni dans le présent, ni au XXIe siècle.
L'incertitude propagée par les pas de temps de simulation génère une enveloppe d'incertitude bien trop importante pour permettre une projection fiable du réchauffement futur, quelle que soit l'échelle de temps. Les modèles ne peuvent rien dire sur la température atmosphérique.
Il est donc formellement démontré que les projections de réchauffement global des modèles climatiques ne valent pas mieux que des conjectures.
Ces projections, qui justifient toutes les inquiétudes concernant notre influence sur le climat, sont, pour dire les choses crûment, totalement peu fiables.
Elles ne peuvent fournir aucune information fiable sur le réchauffement ou le refroidissement du climat. Pour cela, vous pouvez aussi bien consulter l'Oracle de Delphes que l'un ou l'autre des modèles climatiques de circulation générale."
Il s'avère bien que les climatologues sont des incompétents qui ignorent totalement la façon de gérer les marges d'incertitudes et les erreurs qu'elles propagent. Ils peuvent effectivement consulter l'Oracle de Delphes ou lire dans les entrailles de poulets, et avoir les même résultats, d'ailleurs c'est ce qu'ils font, ce sont les nouveaux Haruspices de la religion carbocentriste.