La presse en parle avec éloges et pas que la presse spécialisée :
http://news.google.fr/news/search?aq=f& ... eaking+bad
Alors ceux qui sont chez eux ce soir à 22h30...vous savez ce qu'il vous reste à faire...
Pourquoi il ne faut pas rater Breaking Bad, ce soir sur Arte
Breaking Bad, c'est l'histoire d'un prof de chimie devenu dealer par nécessité. Saluée par la critique, la série arrive ce samedi soir sur Arte.
Attention, chef d'oeuvre ! Toute la rédaction de Tele-Loisirs.fr vous en conjure : ne ratez pas Breaking Bad, une série américaine qu'Arte propose à partir de ce samedi à 22h25. Diffusée outre-Atlantique sur une petite chaîne cablée (AMC, la même que Mad Men), Breaking Bad (déjà diffusée sur Orange) n'a jamais eu le rayonnement qu'elle mérite. Car quelle série ! Scénario délirant mais crédible, interprétation magistrale, réalisation, musique, tout y est.
Le pitch ? Walter White, prof de chimie dans un lycée américain, tire le diable par la queue. Dur dur, de faire vivre son fils handicapé et sa femme qui attend un bébé, même avec un deuxième boulot. Tout bascule le jour où son médecin lui diagnostique un cancer du poumon très avancé, et inopérable. L'idée de laisser sa famille sans le sou lui étant purement insupportable, Walter pète les plombs et s'associe à l'un de ses anciens élèves un peu débile. Il se lance alors, en secret, dans un trafic de métamphétamines, une drogue de synthèse, en association avec l'un de ses anciens élèves. Il fabriquera, Pinkman se chargera de la vente.
Breaking Bad, sommet de noirceur, offre le rôle de sa vie à Bryan Cranston (découvrez son interview en vidéo, réalisée en 2009), incroyable acteur cantonné jusque-là à des guests dans des séries et à l'interprétation durant 6 ans de Hal, le père dans Malcolm. Sa prestation lui a permis de rafler trois Emmy Awards du meilleur comédien dans une série dramatique pour les trois premières saisons du show.
Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire samedi soir.
http://www.programme-tv.net/news/series ... soir-arte/C’est l’amphète à la maison
Crystal meth . Arte diffuse à partir de samedi les saisons 1 et 2 de la série «Breaking Bad».
Alexandre Hervaud
Breaking Bad série de Vince Gilligan Saison 1, épisodes 1 et 2/7. Arte, samedi, 22 h 25.
Après une discrète diffusion l’an dernier sur les chaînes Orange, Breaking Bad débarque enfin sur Arte, et c’est de la bonne. Créée par Vince Gilligan, transfuge de X Files, cette série atypique diffusée par AMC, une chaîne américaine que d’aucuns surnomment «la nouvelle HBO» eu égard à sa grille plus que correcte (Mad Men et, bientôt, The Walking Dead).
Breaking Bad raconte les déboires de Walter White, prof de chimie surdoué, un temps lauréat potentiel du prix Nobel, mais cantonné à enseigner dans un lycée craignos d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique. L’intrigue débute quand ce père d’un ado handicapé et mari d’une femme enceinte se découvre condamné par un cancer au poumon. Endetté, Walter décide d’amasser le plus d’argent possible avant d’y passer, histoire que sa petite famille ne finisse pas à la rue après sa mort.
Branleur. Son deuxième job (nettoyer des voitures) ayant du mal à faire gonfler son compte en banque, il se décide à mettre à profit ses talents de chimiste en produisant de la drogue à grande échelle. Pour écouler sa crystal meth, plus pure et efficace que toute la concurrence, il fait appel à Jesse Pinkman, un ancien élève, branleur et dealer à ses heures. Leur petite entreprise se heurte vite aux trafiquants déjà implantés et pas très réjouis de voir leur marché menacé, ainsi qu’à la brigade des stupéfiants dirigée par un certain Hank Schrader, accessoirement beau-frère de Walter…
De par son pitch, Breaking Bad pourra peut-être rappeler à certains deux séries pas déplaisantes de la chaîne Showtime : Weeds, pour le côté «parent responsable devenu dealer pour nourrir sa famille», et Dexter pour l’aspect «double vie avec activités criminelles nocturnes». Sauf que Breaking Bad ne verse guère dans la légèreté de la première, ni dans la facilité formelle (voix off, mentor fantôme) de la seconde. Tendue, sombre, stressante, mais aussi bourrée d’humour noir,la série brasse plusieurs genres, virant du drame au polar en passant par la comédie absurde. Au-delà du talent des scénaristes qui arrivent à fourrer les personnages dans des situations originales mais crédibles, c’est surtout grâce à son casting que Breaking Bad s’est fait remarquer.
Récompense. Dans le rôle de Walter White, l’énorme Bryan Cranston s’éloigne de son rôle le plus connu, celui du père déjanté dans la série Malcolm. Il livre une performance sidérante qui lui a valu trois années de suite l’Emmy Award du meilleur acteur dans une série dramatique. A noter que, cette année, Aaron Paul, l’interprète de l’acolyte Jesse Pinkman, a été lui aussi distingué, catégorie meilleur second rôle.
Un doublé mérité étant donné l’alchimie entre les deux comédiens, qui fait dire à Gilligan au Hollywood Reporter : «Je n’ai rien contre l’idée de tuer un de nos personnages, mais franchement, j’aime trop ce casting, et quand on y découvre de l’or, on n’abandonne pas sa mine !» Préparez-vous pour vingt pépites d’épisodes, Arte enchaînant jusqu’au 11 décembre les saisons 1 et 2 de ce show addictif.
http://www.liberation.fr/medias/0101229 ... -la-maisonUn autre:
Breaking Bad, the best
Contant les pérégrinations d'un prof de chimie cancéreux devenu fabricant de drogue, "Breaking Bad" est simplement l'une des meilleures séries actuelles.
http://leviffocus.rnews.be/fr/loisirs/t ... 453546.htm
Voila j'attends vos premières impressions ce soir ou demain...