Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Merci,
L'intérêt serait de ne pas se casser la figure, 700W c'est presque un cheval, avec un rapport court ça va pousser fort!
Et aussi l'autonomie.
En mettant simplement un contrôleur de 250W ça pourrait faire l'affaire?
L'intérêt serait de ne pas se casser la figure, 700W c'est presque un cheval, avec un rapport court ça va pousser fort!
Et aussi l'autonomie.
En mettant simplement un contrôleur de 250W ça pourrait faire l'affaire?
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
C'était bien le sens de mon interrogation. Puisque la puissance légale correspond à une valeur somme toute pertinente, il serait bon de la respecter, non par formalisme, mais de façon raisonnable.
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
partant de l'adage populaire: "qui peut le plus peut le moins", je trouve préférable de mettre un controleur 800W quitte a le brider si on trouve que ça pousse trop fort plutot que de mettre un controleur 250W et etre obligé d'en racheter un plus puissant parce que les rendements sont pas bon ou je ne sais quelle raison parmi les dizaines possibles qui font que ça peut marcher différement de ce qu'on imaginait. c'est ça un proto.
murphy a dit: "if something can go wrong, it will !"
murphy a dit: "if something can go wrong, it will !"
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Oui c'est logique, mais comment ça se bride un contrôleur? Avec une résistance en série sur la gâchette?
Le mieux serait de commencer bridé, et d'augmenter ensuite si besoin.
Mais si le proto fonctionne bien, et qu'il est reproduit par d'autres, il me semble important qu'il ne dépasse pas la puissance autorisée, pour ne pas s'attirer des ennuis en cas d'accident...
Plus haut, Grelinette tu demandais si on pouvait utiliser un simple rhéostat à l'ancienne, mais outre le fait que ça gaspillerait de l'énergie (tant qu'on n'est pas à fond), il y a un gros risque de griller le moteur si l'effort est trop important, surtout au départ.
Le mieux serait de commencer bridé, et d'augmenter ensuite si besoin.
Mais si le proto fonctionne bien, et qu'il est reproduit par d'autres, il me semble important qu'il ne dépasse pas la puissance autorisée, pour ne pas s'attirer des ennuis en cas d'accident...
Plus haut, Grelinette tu demandais si on pouvait utiliser un simple rhéostat à l'ancienne, mais outre le fait que ça gaspillerait de l'énergie (tant qu'on n'est pas à fond), il y a un gros risque de griller le moteur si l'effort est trop important, surtout au départ.
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- grelinette
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Bonsoir à tous,
Je réactualise ce sujet pour vous faire un petit retour d’expérience sur l’auto-construction de la Remorque-Vélo et de son utilisation régulière sur plusieurs mois. (Elle n’est pas encore équipée de motorisation auxiliaire… mais j’y travaille !…)
Voilà donc la Remorque-Vélo telle qu’elle est actuellement avec les quelques modifications que j'ai apportées :
Le châssis avec le plateau suspendu :
Le plateau est maintenu en suspension avec des petits ressorts de traction qui s’accrochent en haut sur un boulon dont j'ai tordu l'extrémité en crochet.
Avec les petits ressorts de traction qui servent d’amortisseurs (récupérés à la déchetterie sur un transat de jardin), le plateau prenait du balan sur les chemins et routes cabossés. Pour supprimer ce balan, j’ai fixé sous le plateau des petits vérins de porte de meuble commandés sur le net à environ 4 € l’unité.
Il existe plusieurs longueurs pour ces vérins ce qui permet d’avoir plus ou moins de débattement, et plusieurs duretés (50, 60, 80, 100, etc). Pour l’instant j’utilise des vérins de 16 cm de dureté 60N.
Ces vérins sont pratiques et faciles à poser, mais ils ne sont pas prévus pour cette utilisation sûrement plus intensive que l’ouverture d'un meuble… je verrai combien de temps ils tiennent.
Les roues de vélo (20 pouces) sont fixées sur des fourches faites avec de grosses équerres en bois, mais pour les solidifier en cas d’accrochage d’un obstacle (arbre, piquet, poteaux, trottoir, etc), j’ai ajouté 2 lattes de sommier qui servent également de « par-choc » latéraux. (A noter que ces barres latérales m'ont aussi permis d'ajuster le parallélisme des roues)
L’habitable pour le transport d’enfants, avec banquette amovible :
L’habitacle est amovible car il se clipse sur 8 colliers en « lyre » 32 mm et peut être remplacer par un caisson ou autre chose. Ces colliers permettent un blocage solide avec un petit bout de plastique (fournis avec les colliers mais qui s’usent vite), ou un simple élastique ou un fil de fer pour plus de solidité.
Comme déjà expliqué, l’habitacle est fait de tubes alu (vieux manches de balais piscine récupérés à la déchetterie) emboîtés dans raccords PVC (achetés), collés puis rivetés. Ceci dit, je pense que des tubes PVC 32 mm, plus faciles à trouver et économiques à l’achat, suffiraient pour la solidité de l’ensemble.
La banquette amovible (2 places enfants) :
Elle se clipse aussi sur 2 tubes latéraux avec 4 colliers Lyre ; elle est donc amovible et peut glisser vers l’avant ou l’arrière de la remorque pour parfaire l’équilibre.
L’assise de la banquette se relève pour donner accès à un petit coffre pratique, et le dossier est maintenu avec 2 morceaux de latte de sommier fixés avec des boulons sur un morceau de bois en biseau pour obtenir un angle. Pour la matelassure, j’ai utilisé 2 petites planches de contre-plaqué enveloppées avec 2 morceaux de mousse et une toile de sky agrafée sur la planche.
L’habitacle est enveloppé dans une toile épaisse récupérée d’une tonnelle de jardin qui est maintenue avec des attaches velcro simplement collées d'un côté sur les tubes, de l'autre sur la toile.
J’ai découpé la toile aux dimensions de l’habitacle puis tout a été fixé avec de la colle néoprène classique, y compris les velcros sur les tubes alu. Pour l’instant tout tient bien... même en déplacement !
Le timon et l’attache au vélo :
Le timon est fait avec 2 équerres en bois assemblées et renforcées avec un fer plat de 1 m (section 25mm x 5mm) chauffé et tordu à la main de la forme du timon, puis boulonné sur les équerres formant le timon.
L’attache côté timon est faite avec un silent-bloc de voiture récupéré dans une casse-auto, et boulonné au timon. La vis inférieure du silent-bloc est fixée au timon avec un boulon auto-bloquant, celle du dessus passe dans un fer plat percé, fixé au porte bagage du vélo.
Un écrou papillon permet de fixé rapidement la remorque, et j’ai percé transversalement la vis du dessus pour passé un petit anneau qui empêche de dévissage de l’écrou papillon : c’est indispensable car l’écrou n’est pas serré à fond pour permettre le mouvement et se dévisserait un peu à chaque virage.
Pour finir, j’ai boulonné un petit câble de sécurité au timon qui vient s’accrocher au vélo avec un mousqueton, en cas de décrochage de la remorque.
Côté remorque, le timon est fixé au plateau par 1 gros boulon central et 2 boulons plus petits venant plaquer le timon au plateau avec une petite plaque métallique percée de chaque côté. Chaque boulon est équipé d’un écrou facile à dévisser pour démonter/remonter rapidement le timon et faciliter le rangement.
Pour ajouter de la sécurité ( et du fun ), nous avons fixé 2 petit drapeaux à l’arrière de la remorque fait avec 2 tubes pvc blancs de 16 mm emboîtés dans les 2 montants verticaux (laissés accessibles avec des bouchons dévissables).
Les drapeaux sont surmontés d’hélices qui tournent quand on avance : visibilité garantie !
Il reste à faire des fenêtres dans ma toile que je vais découper et fermer avec un film plastique épais. Il restera à décorer la remorque selon son humeur et ses compétences artistiques (mes enfants se chargeront de cette dernière tâche !).
Voici enfin quelques améliorations que je pense utiles à étudier :
1.) Timon : quand la remorque est lourde (chargée d’environ 50 kg), le démarrage est un peu « flottant » : il faut donner un bon coup de pédale pour la mettre en mouvement… puis ça va tout seul. On retrouve cet inconvénient quand on tourne très court à faible vitesse. Je pense qu’un timon avec vérin (extensible et compressible pour amortir le freinage et le démarrage) améliorera cet inconvénient et donnera plus d’aisance au démarrage et au freinage en absorbant les « flottements.». mais si vous avez d'autres idées...
(Je pense que ce détail est intéressant et novateur : je vais faire un prototype de timon compressible + extensible avec un petit vérin de meuble, et je vous dirai ce qu'il en est).
2.) Freins sur remorque et frein de parking : pour l’instant en phase de test, je fais très attention et j’anticipe les freinages, mais je pense que des freins sur la remorque seraient bien utiles, soit automatiques comme les freins inertiels des remorques de voiture auto-freinées, soit couplés sur l’un des freins du vélo (à priori sur le frein arrière).
3.) Frein de parking : il s’avère nécessaire quand on s’arrête dans une pente et qu’on laisse le vélo et sa remorque sans personne pour les retenir. (C'est le cas quand je vais jeter mes poubelles car les conteners sont dans une pente !). Peut-être qu’un simple système qui vient écraser les pneus, comme sur certaines poussettes pour enfants serait simple et rapide à faire. (idem : si vous avez des idées...)
4.) Gardes-boue : Je n'ai pas encore testé la remorque sous la pluie, mais dès que j'ai un moment et une idée d'un matériau de récup adapté, je pose les pare-boues. Je pense utiliser 2 fines plaques contre-plaqué légèrement courbées et collées.
5.) Béquille de remorque pour la garder horizontale à l'arrêt : c'est surtout utile quand on prépare le vélo et la remorque, surement pratique mais pas vraiment indispensable. A étudier.
Globalement sur la plupart des trajets, la masse à tracter (2 jeunes enfants, soit environ 50 kg) ne pose pas de problème avec un VAE standard de 250 W (et je ne suis pas un cycliste forcené !).
En revanche, quand la montée est importante (pente de 15% et +), une motorisation devient nécessaire. De même, il faut pouvoir utiliser la remorque avec un vélo classique sans moteur... dans ce cas, une motorisation de la remorque est indispensable !
Je vous prépare donc un petit topo sur mes idées pour la prochaine étape du projet : la motorisation auxiliaire...
à suivre donc.
Je réactualise ce sujet pour vous faire un petit retour d’expérience sur l’auto-construction de la Remorque-Vélo et de son utilisation régulière sur plusieurs mois. (Elle n’est pas encore équipée de motorisation auxiliaire… mais j’y travaille !…)
Voilà donc la Remorque-Vélo telle qu’elle est actuellement avec les quelques modifications que j'ai apportées :
Le châssis avec le plateau suspendu :
Le plateau est maintenu en suspension avec des petits ressorts de traction qui s’accrochent en haut sur un boulon dont j'ai tordu l'extrémité en crochet.
Avec les petits ressorts de traction qui servent d’amortisseurs (récupérés à la déchetterie sur un transat de jardin), le plateau prenait du balan sur les chemins et routes cabossés. Pour supprimer ce balan, j’ai fixé sous le plateau des petits vérins de porte de meuble commandés sur le net à environ 4 € l’unité.
Il existe plusieurs longueurs pour ces vérins ce qui permet d’avoir plus ou moins de débattement, et plusieurs duretés (50, 60, 80, 100, etc). Pour l’instant j’utilise des vérins de 16 cm de dureté 60N.
Ces vérins sont pratiques et faciles à poser, mais ils ne sont pas prévus pour cette utilisation sûrement plus intensive que l’ouverture d'un meuble… je verrai combien de temps ils tiennent.
Les roues de vélo (20 pouces) sont fixées sur des fourches faites avec de grosses équerres en bois, mais pour les solidifier en cas d’accrochage d’un obstacle (arbre, piquet, poteaux, trottoir, etc), j’ai ajouté 2 lattes de sommier qui servent également de « par-choc » latéraux. (A noter que ces barres latérales m'ont aussi permis d'ajuster le parallélisme des roues)
L’habitable pour le transport d’enfants, avec banquette amovible :
L’habitacle est amovible car il se clipse sur 8 colliers en « lyre » 32 mm et peut être remplacer par un caisson ou autre chose. Ces colliers permettent un blocage solide avec un petit bout de plastique (fournis avec les colliers mais qui s’usent vite), ou un simple élastique ou un fil de fer pour plus de solidité.
Comme déjà expliqué, l’habitacle est fait de tubes alu (vieux manches de balais piscine récupérés à la déchetterie) emboîtés dans raccords PVC (achetés), collés puis rivetés. Ceci dit, je pense que des tubes PVC 32 mm, plus faciles à trouver et économiques à l’achat, suffiraient pour la solidité de l’ensemble.
La banquette amovible (2 places enfants) :
Elle se clipse aussi sur 2 tubes latéraux avec 4 colliers Lyre ; elle est donc amovible et peut glisser vers l’avant ou l’arrière de la remorque pour parfaire l’équilibre.
L’assise de la banquette se relève pour donner accès à un petit coffre pratique, et le dossier est maintenu avec 2 morceaux de latte de sommier fixés avec des boulons sur un morceau de bois en biseau pour obtenir un angle. Pour la matelassure, j’ai utilisé 2 petites planches de contre-plaqué enveloppées avec 2 morceaux de mousse et une toile de sky agrafée sur la planche.
L’habitacle est enveloppé dans une toile épaisse récupérée d’une tonnelle de jardin qui est maintenue avec des attaches velcro simplement collées d'un côté sur les tubes, de l'autre sur la toile.
J’ai découpé la toile aux dimensions de l’habitacle puis tout a été fixé avec de la colle néoprène classique, y compris les velcros sur les tubes alu. Pour l’instant tout tient bien... même en déplacement !
Le timon et l’attache au vélo :
Le timon est fait avec 2 équerres en bois assemblées et renforcées avec un fer plat de 1 m (section 25mm x 5mm) chauffé et tordu à la main de la forme du timon, puis boulonné sur les équerres formant le timon.
L’attache côté timon est faite avec un silent-bloc de voiture récupéré dans une casse-auto, et boulonné au timon. La vis inférieure du silent-bloc est fixée au timon avec un boulon auto-bloquant, celle du dessus passe dans un fer plat percé, fixé au porte bagage du vélo.
Un écrou papillon permet de fixé rapidement la remorque, et j’ai percé transversalement la vis du dessus pour passé un petit anneau qui empêche de dévissage de l’écrou papillon : c’est indispensable car l’écrou n’est pas serré à fond pour permettre le mouvement et se dévisserait un peu à chaque virage.
Pour finir, j’ai boulonné un petit câble de sécurité au timon qui vient s’accrocher au vélo avec un mousqueton, en cas de décrochage de la remorque.
Côté remorque, le timon est fixé au plateau par 1 gros boulon central et 2 boulons plus petits venant plaquer le timon au plateau avec une petite plaque métallique percée de chaque côté. Chaque boulon est équipé d’un écrou facile à dévisser pour démonter/remonter rapidement le timon et faciliter le rangement.
Pour ajouter de la sécurité ( et du fun ), nous avons fixé 2 petit drapeaux à l’arrière de la remorque fait avec 2 tubes pvc blancs de 16 mm emboîtés dans les 2 montants verticaux (laissés accessibles avec des bouchons dévissables).
Les drapeaux sont surmontés d’hélices qui tournent quand on avance : visibilité garantie !
Il reste à faire des fenêtres dans ma toile que je vais découper et fermer avec un film plastique épais. Il restera à décorer la remorque selon son humeur et ses compétences artistiques (mes enfants se chargeront de cette dernière tâche !).
Voici enfin quelques améliorations que je pense utiles à étudier :
1.) Timon : quand la remorque est lourde (chargée d’environ 50 kg), le démarrage est un peu « flottant » : il faut donner un bon coup de pédale pour la mettre en mouvement… puis ça va tout seul. On retrouve cet inconvénient quand on tourne très court à faible vitesse. Je pense qu’un timon avec vérin (extensible et compressible pour amortir le freinage et le démarrage) améliorera cet inconvénient et donnera plus d’aisance au démarrage et au freinage en absorbant les « flottements.». mais si vous avez d'autres idées...
(Je pense que ce détail est intéressant et novateur : je vais faire un prototype de timon compressible + extensible avec un petit vérin de meuble, et je vous dirai ce qu'il en est).
2.) Freins sur remorque et frein de parking : pour l’instant en phase de test, je fais très attention et j’anticipe les freinages, mais je pense que des freins sur la remorque seraient bien utiles, soit automatiques comme les freins inertiels des remorques de voiture auto-freinées, soit couplés sur l’un des freins du vélo (à priori sur le frein arrière).
3.) Frein de parking : il s’avère nécessaire quand on s’arrête dans une pente et qu’on laisse le vélo et sa remorque sans personne pour les retenir. (C'est le cas quand je vais jeter mes poubelles car les conteners sont dans une pente !). Peut-être qu’un simple système qui vient écraser les pneus, comme sur certaines poussettes pour enfants serait simple et rapide à faire. (idem : si vous avez des idées...)
4.) Gardes-boue : Je n'ai pas encore testé la remorque sous la pluie, mais dès que j'ai un moment et une idée d'un matériau de récup adapté, je pose les pare-boues. Je pense utiliser 2 fines plaques contre-plaqué légèrement courbées et collées.
5.) Béquille de remorque pour la garder horizontale à l'arrêt : c'est surtout utile quand on prépare le vélo et la remorque, surement pratique mais pas vraiment indispensable. A étudier.
Globalement sur la plupart des trajets, la masse à tracter (2 jeunes enfants, soit environ 50 kg) ne pose pas de problème avec un VAE standard de 250 W (et je ne suis pas un cycliste forcené !).
En revanche, quand la montée est importante (pente de 15% et +), une motorisation devient nécessaire. De même, il faut pouvoir utiliser la remorque avec un vélo classique sans moteur... dans ce cas, une motorisation de la remorque est indispensable !
Je vous prépare donc un petit topo sur mes idées pour la prochaine étape du projet : la motorisation auxiliaire...
à suivre donc.
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Superbe travail en tout cas!
N'aurait il pas été judicieux d'abaisser le plancher de la remorque afin d'avoir un centre de gravité plus bas?
N'aurait il pas été judicieux d'abaisser le plancher de la remorque afin d'avoir un centre de gravité plus bas?
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- grelinette
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
phil53 a écrit :Superbe travail en tout cas!
N'aurait il pas été judicieux d'abaisser le plancher de la remorque afin d'avoir un centre de gravité plus bas?
Merci !
Pour la hauteur, je voulais que le plancher de la remorque soit assez haut par sécurité (circulation en ville), et avoir une garde au sol plus grande que les remorques-vélo classiques pour pouvoir aller se promener sur sentiers de terre.
Par ailleurs, compte tenu de la largeur de la remorque, la stabilité est très bonne (...mais je ne l'ai pas encore testée en situation extrême !).
Je ferai un dossier complet plus tard pour détailler toutes les étapes de la fabrication, avec toutes les côtes.
Voici déjà le croquis vue de face avec les dimensions.
Ceci dit, la hauteur du plateau dépend aussi de la longueur des ressorts de traction utilisés : plus les ressorts des suspensions sont longs, plus le plateau est bas, mais moins il y a de débattement pour les suspensions.
Il y a aussi la possibilité de mettre des roues de vélo plus petites (20 pouces actuellement, au lieu des 24 pouces au départ du projet). On peut d'ailleurs aussi mettre des roues plus grandes pour plus de confort.
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Travail intéressant!
Pour le frein de parking, une solution simple serait un excentrique au bout d'un levier (le tout en bois) qui viendrait écraser le pneu, comme tu l'as envisagé...
Pour le frein de parking, une solution simple serait un excentrique au bout d'un levier (le tout en bois) qui viendrait écraser le pneu, comme tu l'as envisagé...
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- grelinette
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Merci Ahmed,
Je m'attaque maintenant à la motorisation de la remorque !...
La partie châssis me semble opérationnelle, même s'il y a quelques améliorations à apportées... et à chaque sortie j'ai des demandes de renseignements d'intéressés qui veulent se fabriquer leur propre remorque !
(Je vais d'ailleurs mettre une banderole sur la remorque avec le lien vers ce sujet sur éconologie ! )
Pour rappel, j'étais parti sur la solution de moteurs-roues de VAE mais les prix sont trop élevés.
Je réfléchis donc à une solution encore plus économique basée sur celle suggérée par Dirkpitt.
(A moins de trouver du matériel VAE d'occasion ; il doit commencer à y en avoir maintenant : roue avec moteur, contrôleur, batterie, ...)
Pour revenir à la sa solution de Dirkpitt, elle consiste à poser 2 petits moteurs déportés et montés en série pour régler la contrainte du différentiel. Ils entraineront chacune des roues avec une chaine, les roues et l'axe moteur étant équipés de pignon, les roues ont un pignon "roue-libre" permettant de laisser tourner les roues normalement sans résistance même si les moteurs ne tournent pas (comme sur un vélo), et nous avons vu qu'il était possible d'inverser le pignon roue-libre de la roue droite pour que la chaine soit côté remorque.
Cette solution est celle qui avait été imaginée au départ du projet de la calèche-hybride, et dont voici les premiers croquis du train-avant de la calèche ; l’essieu de la remorque vélo ressemblera donc à ça, en plus simple :
A noter, que le système de tension de chaîne est simple (moteur fixé sur une charnière, croquis de droite) et peut être adapté à la remorque-vélo.
Ceci dit, en restant sur cette solution de moteur déporté (hors de la roue), je pense qu'il est possible et assez simple de n'avoir qu'un seul moteur central... mais il faut alors régler la contrainte du différentiel dans les virages : la roue externe tournant plus vite que la roue interne.
1°) Soit les pignons roue-libre de chaque roue peuvent jouer le rôle de différentiel et absorber la différence de vitesse de rotation ?
(Il me semble avoir vu des petits véhicules électriques qui fonctionnent comme ça)
2°) Soit il faut trouver un petit système différentiel provenant d’un matériel du marché.
Quelqu'un aurait-il une piste pour dénicher un petit différentiel ?...
Certaines petites tondeuses auto-tractées en seraient équipées, on en trouve aussi dans des modèles-réduits, peut-être dans certains outils courants ?...
Sinon, la marque mécano (jouets pour enfants) en propose, mais ils sont trop petits ou en plastique !
Je m'attaque maintenant à la motorisation de la remorque !...
La partie châssis me semble opérationnelle, même s'il y a quelques améliorations à apportées... et à chaque sortie j'ai des demandes de renseignements d'intéressés qui veulent se fabriquer leur propre remorque !
(Je vais d'ailleurs mettre une banderole sur la remorque avec le lien vers ce sujet sur éconologie ! )
Pour rappel, j'étais parti sur la solution de moteurs-roues de VAE mais les prix sont trop élevés.
Je réfléchis donc à une solution encore plus économique basée sur celle suggérée par Dirkpitt.
(A moins de trouver du matériel VAE d'occasion ; il doit commencer à y en avoir maintenant : roue avec moteur, contrôleur, batterie, ...)
Pour revenir à la sa solution de Dirkpitt, elle consiste à poser 2 petits moteurs déportés et montés en série pour régler la contrainte du différentiel. Ils entraineront chacune des roues avec une chaine, les roues et l'axe moteur étant équipés de pignon, les roues ont un pignon "roue-libre" permettant de laisser tourner les roues normalement sans résistance même si les moteurs ne tournent pas (comme sur un vélo), et nous avons vu qu'il était possible d'inverser le pignon roue-libre de la roue droite pour que la chaine soit côté remorque.
Cette solution est celle qui avait été imaginée au départ du projet de la calèche-hybride, et dont voici les premiers croquis du train-avant de la calèche ; l’essieu de la remorque vélo ressemblera donc à ça, en plus simple :
A noter, que le système de tension de chaîne est simple (moteur fixé sur une charnière, croquis de droite) et peut être adapté à la remorque-vélo.
Ceci dit, en restant sur cette solution de moteur déporté (hors de la roue), je pense qu'il est possible et assez simple de n'avoir qu'un seul moteur central... mais il faut alors régler la contrainte du différentiel dans les virages : la roue externe tournant plus vite que la roue interne.
1°) Soit les pignons roue-libre de chaque roue peuvent jouer le rôle de différentiel et absorber la différence de vitesse de rotation ?
(Il me semble avoir vu des petits véhicules électriques qui fonctionnent comme ça)
2°) Soit il faut trouver un petit système différentiel provenant d’un matériel du marché.
Quelqu'un aurait-il une piste pour dénicher un petit différentiel ?...
Certaines petites tondeuses auto-tractées en seraient équipées, on en trouve aussi dans des modèles-réduits, peut-être dans certains outils courants ?...
Sinon, la marque mécano (jouets pour enfants) en propose, mais ils sont trop petits ou en plastique !
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Re: Conception d’une Remorque Vélo avec assistance électrique (crowfunding « virtuel »)
Je pense que les pignons à roue libre suffisent amplement à régler ce problème; autant essayer d'abord la solution la plus simple...
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