+1 elec, mais s'ils vous plait messieurs évitons de tomber dans la caricature
Je crois bien plus au discourt positif et créateur qu'au discourt négatif et dévalorisant...
Notre vieille Europe à besoin de l'esprit jeune et dynamique qui souffle au Etats-Unis, pour ce qu'il pourrait apporter de bon...
Je n'ignore pas (ayant été élevé par un "pessimiste crasse") qu'il faut rester vigilant et "scientifique" mais , j'ai la chance de fréquenter des gens sur éconologie qui croient encore qu'un avenir propre est possible SI ON VEUT BIEN SE DONNER LES MOYENS DE LE METTRE EN PLACE ! Ce n'est d'ailleurs pas forcément de gens connus ou réputés, que viendront ces changements
Les discourt de mon (très vieux et sage père) ne lui ont jamais permis de réaliser quoique ce soit, se promener dans la nature avec lui est une épreuve - puisque comme certain pessimiste éconologiste-il ne voit que se qui est moche, abimé, foutu...
Pour ma part, je regarde les choses avec émerveillement et espère toujours voir mieux surgir de quelque part !
Il se fait que, justement sur Econologie, je vois des choses bouger dans le bon sens...
Il serait regrettable, de donner une image d'Econologie qui ne soit qu'un ramassis de considérations pessimistes et négatives et cela même au sein d'un post qui parle de choses positives, ce qui vous l'admettrez est un comble
À suivre...
VE 2.0 Projets BetterPlace, Get Ready, ECOtality et Fortum
Je suis bien d'accord avec Lietseu, Quoi qu'il en soit, le projet Better Place fait bouger les choses dans le bon sens.
L'infrastructure est indispensable au déploiement de la traction électrique.
Ne pas oublier, qu'au début du siècle dernier, les premiers automobilistes évitaient de s'éloigner de leur domicile. Ils redoutaient la panne d'essence, la crevaison, la panne moteur...
Le salut et venu de Michelin qui a très vite compris que sans infrastructure, le développement de l'automobile serait ralenti.
Michelin finnança donc la signalisation routière et surtout commercialisa des GUIDES et des CARTES qui permettaient aux automobilistes de partir "à l'aventure" avec l'assurance de trouver en chemin des pompes à essence, des garagistes, des restaurants et des hotels.
En ajoutant des points d'intérêts touristiques, Michelin donnait une justification au voyage.
Pour l'anecdote, quand mon grand père acheta, en 1933, sa première voiture (une Citroën "Rosalie") Il décida de partir en "week end" à la plage (la mer était à une centaine de km). Cependant devant les inquiétudes qu'un tel périple pouvait occasionner, il invita le garagiste à les accompagner...
L'infrastructure est indispensable au déploiement de la traction électrique.
Ne pas oublier, qu'au début du siècle dernier, les premiers automobilistes évitaient de s'éloigner de leur domicile. Ils redoutaient la panne d'essence, la crevaison, la panne moteur...
Le salut et venu de Michelin qui a très vite compris que sans infrastructure, le développement de l'automobile serait ralenti.
Michelin finnança donc la signalisation routière et surtout commercialisa des GUIDES et des CARTES qui permettaient aux automobilistes de partir "à l'aventure" avec l'assurance de trouver en chemin des pompes à essence, des garagistes, des restaurants et des hotels.
En ajoutant des points d'intérêts touristiques, Michelin donnait une justification au voyage.
Pour l'anecdote, quand mon grand père acheta, en 1933, sa première voiture (une Citroën "Rosalie") Il décida de partir en "week end" à la plage (la mer était à une centaine de km). Cependant devant les inquiétudes qu'un tel périple pouvait occasionner, il invita le garagiste à les accompagner...
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De mes années de lycée et de la découverte de la philo, j'ai bien retenu la différence entre le doute sceptique et le doute méthodologique (ou méthodique).
C'était d'autant plus frappant pour nos (encore) jeunes esprits, qu'ils se destinaient à des études scientifiques.
Le même prof de philo, sachant que le formatage scientifique pouvait déraper facilement vers une fâcheuse tendance à la certitude, avait bien pris soin que l'on se souvienne de Montaigne et de ses Essais où entre autres choses il disait qu'il n'y a que les fols certains et résolus.
Depuis ce temps, être optimiste ou pessimiste n'a pas, à mes yeux, beaucoup de sens.
Ce qui compte vraiment, c'est qu'il y a des choses vraies et les autres pas ... Il y a des choses faisables et des autres pas ... etc ....
Hélas, trois fois hélas, on ne peut pas simplifier comme on l'aimerait et le suggère cette courte formule. L'objectif de "l'honnête homme" se limite donc à s'approcher de cet état de connaissance et de compréhension si ce n'est de sagesse.
L'accroissement exponentiel du volume d'informations disponibles rend cette attitude encore plus vitale mais aussi encore plus intenable dans la pratique.
Cela pousse vers des stratégies permettant d'optimiser le temps dont nous disposons pour séparer le bon grain de l'ivraie.
On doit donc souvent se contenter de considérer que telle chose est très probablement exacte et telle autre pas, telle action probablement faisable et telle autre très probablement vouée à l'échec.
Cette attitude, contrairement à ce que disent ceux qu'elle irrite, ne conduit pas à l'immobilisme.
En effet, cette habitude d'être dans l'évaluation permanente de la véracité ou la possibilité de faire, est précieuse lorsqu'on veut entreprendre des choses qui sortent de l'ordinaire. Une bonne mesure des risques permet de les prendre et de réussir. Entreprendre c'est bien, réussir c'est mieux, n'en déplaise au baron ....
Parmi les stratégies permettant de faire le tri, on peut "qualifier" les sources d'information et se demander toujours :
QUI dit cela ?
POURQUOI dit-il cela ?
Qui est le bénéficiaire ?
Il y a alors des choses qui se comprennent mieux.
Par exemple, pour faire dans le gros, une campagne "d'information" d'EDF à la télé, peut être considérée immédiatement comme une belle arnaque. Très peu de temps consommé et un risque infime de se tromper, c'est tout bon ...
Il y en a plein d'autres comme cela et je suis sûr que vous les connaissez .... mais ce n'est pas toujours aussi simple.
Par exemple, BETTER PLACE.
Quand on voit ce truc débouler, la première fois, avant de prendre la moindre calculette, on voit d'abord une tentative de remplacement des pompistes par des changeurs de batteries. Les dépendants quasis pendus à la station service que nous sommes ne peuvent que voir un changement de la corde et un remplacement du gibet. Et on imagine bien que tout cet échafaudage conceptuel n'est pas érigé par ses promoteurs pour le bien-être, voire le bénéfice, des pendus.
Quand on y regarde de plus près avec en tête l'idée qu'il faut d'urgence trouver les moyens de réduire notre consommation d'énergie, toutes sources et couleurs confondues, en écornant au minimum notre coefficient de bien-être, on voit tout de suite que ce n'est pas le propos ni l'objet de la manip.
La conclusion s'impose donc quels que soit les discours promotionnels : le système est sans intérêt, hormis les intérêts de ceux qui caressent l'espoir de remplacer TOTAL ou SHELL sur les bord de nos routes ....
Quand on regarde d'encore plus près, en particulier la com surfant sur la vague verte et bien sûr ZERO CO2, on doit bien sûr intégrer que les énergies vertes seront pour un certain nombre d'années, bien plus présentes dans les plaquettes de pub que dans le mix mondial de production d'électricité.
On déduit donc que pour un projet comme BETTER PLACE, l'absence d'impact significatif sur la réduction de consommation (du fait des véhicules proposés par les constructeurs annoncés comme partenaires) entraine une absence d'impact significatif sur la réduction de pollution.
En prenant cette fois un peu de recul, on peut créditer les promoteurs de BETTER PLACE d'autant d'imagination que ceux qui on collé les premiers moteurs à explosion sur les fiacres hypo-tractés ...
On en prend d'autres et on refait la même chose et voilà le super modèle économique qu'il nous faut .... S'il reste quelques investisseurs qui ont échappé à MADOFF, ils peuvent tenter leur chance.
Alors, BETTER PLACE est inutile, soit, mais dangereux ou pas dangereux ?
Pas d'acharnement, mais je prends la première option. En faisant croire à plein de gens qui ne demandent qu'à le croire qu'ils pourront continuer comme au bon vieux temps du pétrole (c'est l'essentiel du message véhiculé par la com), ont les détourne du véritable objectif de réduction de consommation d'énergie, on risque d'utiliser des ressources financière ailleurs que dans les actions permettant ces économies et on perd un temps précieux .....
C'était d'autant plus frappant pour nos (encore) jeunes esprits, qu'ils se destinaient à des études scientifiques.
Le même prof de philo, sachant que le formatage scientifique pouvait déraper facilement vers une fâcheuse tendance à la certitude, avait bien pris soin que l'on se souvienne de Montaigne et de ses Essais où entre autres choses il disait qu'il n'y a que les fols certains et résolus.
Depuis ce temps, être optimiste ou pessimiste n'a pas, à mes yeux, beaucoup de sens.
Ce qui compte vraiment, c'est qu'il y a des choses vraies et les autres pas ... Il y a des choses faisables et des autres pas ... etc ....
Hélas, trois fois hélas, on ne peut pas simplifier comme on l'aimerait et le suggère cette courte formule. L'objectif de "l'honnête homme" se limite donc à s'approcher de cet état de connaissance et de compréhension si ce n'est de sagesse.
L'accroissement exponentiel du volume d'informations disponibles rend cette attitude encore plus vitale mais aussi encore plus intenable dans la pratique.
Cela pousse vers des stratégies permettant d'optimiser le temps dont nous disposons pour séparer le bon grain de l'ivraie.
On doit donc souvent se contenter de considérer que telle chose est très probablement exacte et telle autre pas, telle action probablement faisable et telle autre très probablement vouée à l'échec.
Cette attitude, contrairement à ce que disent ceux qu'elle irrite, ne conduit pas à l'immobilisme.
En effet, cette habitude d'être dans l'évaluation permanente de la véracité ou la possibilité de faire, est précieuse lorsqu'on veut entreprendre des choses qui sortent de l'ordinaire. Une bonne mesure des risques permet de les prendre et de réussir. Entreprendre c'est bien, réussir c'est mieux, n'en déplaise au baron ....
Parmi les stratégies permettant de faire le tri, on peut "qualifier" les sources d'information et se demander toujours :
QUI dit cela ?
POURQUOI dit-il cela ?
Qui est le bénéficiaire ?
Il y a alors des choses qui se comprennent mieux.
Par exemple, pour faire dans le gros, une campagne "d'information" d'EDF à la télé, peut être considérée immédiatement comme une belle arnaque. Très peu de temps consommé et un risque infime de se tromper, c'est tout bon ...
Il y en a plein d'autres comme cela et je suis sûr que vous les connaissez .... mais ce n'est pas toujours aussi simple.
Par exemple, BETTER PLACE.
Quand on voit ce truc débouler, la première fois, avant de prendre la moindre calculette, on voit d'abord une tentative de remplacement des pompistes par des changeurs de batteries. Les dépendants quasis pendus à la station service que nous sommes ne peuvent que voir un changement de la corde et un remplacement du gibet. Et on imagine bien que tout cet échafaudage conceptuel n'est pas érigé par ses promoteurs pour le bien-être, voire le bénéfice, des pendus.
Quand on y regarde de plus près avec en tête l'idée qu'il faut d'urgence trouver les moyens de réduire notre consommation d'énergie, toutes sources et couleurs confondues, en écornant au minimum notre coefficient de bien-être, on voit tout de suite que ce n'est pas le propos ni l'objet de la manip.
La conclusion s'impose donc quels que soit les discours promotionnels : le système est sans intérêt, hormis les intérêts de ceux qui caressent l'espoir de remplacer TOTAL ou SHELL sur les bord de nos routes ....
Quand on regarde d'encore plus près, en particulier la com surfant sur la vague verte et bien sûr ZERO CO2, on doit bien sûr intégrer que les énergies vertes seront pour un certain nombre d'années, bien plus présentes dans les plaquettes de pub que dans le mix mondial de production d'électricité.
On déduit donc que pour un projet comme BETTER PLACE, l'absence d'impact significatif sur la réduction de consommation (du fait des véhicules proposés par les constructeurs annoncés comme partenaires) entraine une absence d'impact significatif sur la réduction de pollution.
En prenant cette fois un peu de recul, on peut créditer les promoteurs de BETTER PLACE d'autant d'imagination que ceux qui on collé les premiers moteurs à explosion sur les fiacres hypo-tractés ...
On en prend d'autres et on refait la même chose et voilà le super modèle économique qu'il nous faut .... S'il reste quelques investisseurs qui ont échappé à MADOFF, ils peuvent tenter leur chance.
Alors, BETTER PLACE est inutile, soit, mais dangereux ou pas dangereux ?
Pas d'acharnement, mais je prends la première option. En faisant croire à plein de gens qui ne demandent qu'à le croire qu'ils pourront continuer comme au bon vieux temps du pétrole (c'est l'essentiel du message véhiculé par la com), ont les détourne du véritable objectif de réduction de consommation d'énergie, on risque d'utiliser des ressources financière ailleurs que dans les actions permettant ces économies et on perd un temps précieux .....
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Pour ce qui est de l'avenir, il s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible (Antoine de Saint Exupéry)
Lietseu a écrit :Notre vieille Europe à besoin de l'esprit jeune et dynamique qui souffle au Etats-Unis, pour ce qu'il pourrait apporter de bon....
Oui, et même les plus admiratifs voire idolâtres savent, aujourd'hui, qu'il y a un gros tri à faire .... Faudrait pas pousser la cruauté jusqu'à donner quelques exemples ....
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Pour ce qui est de l'avenir, il s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible (Antoine de Saint Exupéry)
Elec a écrit :Je t'invite à faire fonctionner à fond ton doute sceptique et ton doute méthodologique concernant ce propos dogmatique: "le véritable objectif est la réduction de la consommation d'énergie"
Mon avis est que tu te fourvoies religieusement au niveau de la définition des objectifs. La réduction de la consommation n'est pas un objectif en soi.
Merci Elec, pour une fois tu es très clair et je suis si content de cet aveu qui éclaire l'ensemble de tes écrits que je passe sur ta Nième tentative de me faire passer pour un promoteur du retour aux cavernes.
Je ne partage pas ta vision du futur.
Tu es de ceux qui continuent à penser que les arbres peuvent monter jusqu'au ciel (au moment même où tous ceux qui l'on cru sont en train de se casser la gueule).
Je suis convaincu que si nous ne basculons pas très rapidement vers une recherche forcenée de l'efficacité énergétique, si nous n'arrêtons pas très vite de gaspiller les énormes quantités d'énergie que nous consommons pour rien, nous allons tout droit et très vite vers un mur très haut est très épais.
La recherche de l'efficacité énergétique, ce n'est pas de la décroissance. Il faut tout repenser, tout reconstruire, cela représente une activité économique intense pour les deux ou trois décennies qui viennent.
L'un de nous deux aura raison et l'autre tort, c'est le futur qui le dira.
Aujourd'hui, être responsable c'est évaluer le risque que représente chacune de ces deux options, si elle est choisie et qu'elle s'avère fausse.
Imaginons que ma vision soit erronée, le risque à prendre est de cumuler la sobriété énergétique et l'abondance énergétique. Même pas peur ! On peut même rajouter que l'abondance étant une notion relative (c'est avoir plus que le besoin), l'efficacité énergétique est le meilleur moyen d'y accéder.
Dans le cas contraire, je laisse à chacun le soin de concocter le scénario catastrophe.
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Pour ce qui est de l'avenir, il s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible (Antoine de Saint Exupéry)
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Salut,
Je vais vous réconcilier, Riaz Elec
Vous avez tous les deux raison. La situation est en effet relativement simple:
1. Il faut augmenter très lourdement la production d'énergie renouvelable, l'acheminer par lignes électriques (thèse de Elec)
2. Et pour autant, augmenter l'efficacité énergétique (thèse de RIAZ)
Diminuer les besoins, augmenter les ressources propres.
Pas vraiment compliqué, technologiquement accessible...
Inscrits dans les discours, mais jamais dans les priorités industrielles. Trop d'intérêts en jeu
Je vais vous réconcilier, Riaz Elec
Vous avez tous les deux raison. La situation est en effet relativement simple:
1. Il faut augmenter très lourdement la production d'énergie renouvelable, l'acheminer par lignes électriques (thèse de Elec)
2. Et pour autant, augmenter l'efficacité énergétique (thèse de RIAZ)
Diminuer les besoins, augmenter les ressources propres.
Pas vraiment compliqué, technologiquement accessible...
Inscrits dans les discours, mais jamais dans les priorités industrielles. Trop d'intérêts en jeu
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le temps du retrait est venu
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Remundo a écrit :Diminuer les besoins,
Ben Elec ne semble pas OK avec ca...pour notre "liberté" justement...Je ne peux que dire "pffff..." à ceci!
C'est bien beau de débattre sur la physique et la technologie et de sortir (vendre?) des concepts de voiture rechargé par des sources renouvelables mais le fait est qu'il n'y a rien qui tient la route (sans jeu de mot) sur le marché de la voiture électrique en 2008 sur le marché!
Quand je dis: tiens la route c'est par rapport aux véhicules thermiques pour le consommateur. C'est à dire en terme de prix rapport achat-entretien-utilisation/flexibilité.fiabilité.performances.autonomie.
Et ne me dites pas: ca viendra rapidement avant 2010 car ca serait mentir! Avant très longtemps la voiture électrique restera cantonnée en ville et trajets péri urbain, là où la voiture particulière ne devrait plus avoir sa place!!
L'EV1 de GM a été détruite (autrement, je pense, qu'à cause du méchant gros vilain lobby pétrolier), il y a des raisons (technologiques et économiques) à ceci qui ne sont PAS vraiment résolues actuellement...
Pkoi aucun concurent n'a repris le principe et concept si c'était si intéressant hein? C'était y a plus de 10 ans! Ne me dites pas que l'écologie et la demande d'une voiture électrique peu coûteuse n'existe pas!!
Je pense que les utilisateurs étaient contents de la EV1 car une grande partie du cout réel était caché et subventionné par GM lui même ! Autrement dit: ils ne payaient pas le coût réel et GM a décidé d'arreter les frais pour des raisons qui lui sont propres, exactement comme le marché de l'éolien ou le PV crêverait si ils n'étaient plus subventionné (surtout le PV!) par le nucléaire!
En attendant, perso, je tâte les "joies" de la propulsion électrique sur le mini scooter vélo de LeJuste...Et franchment: c'est pas encore au point!
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