Une belle collection intéressante de phénomènes physiques assez différents, et très différent des explications pour Pantone.
J'essaye d'avoir des repères clairs.
Une décharge électrique puissante (3KW) concentrée (l'astuce est dans cette auto compression liée à la géométrie de la torche ) crée des températures très élevées avec plasma qui décomposent l'eau en H et O, qui en se recombinant immédiatement donnent la très haute température dans un volume très concentré.
Cela marche commercialement, et tout est dans la géométrie de la buse du pistolet, pas décrite, mais à bien comprendre, surtout avec un très petit volume de décharge électrique puissante avec eau ou autre liquide au départ subissant la décharge électrique .
Tout est dans l'astuce de compression de tuyère genre Venturi :
Une fois que le flambeau est rempli avec le fluide correcte, l'appareil est connecté, et la tension est mis à la cathode (le bouton ON est enfoncé), puis attribuer à l'utilisateur de créer de l'arc en appuyant sur le bouton de démarrage. Comme le bouton de démarrage est libérée, a produit un arc électrique entre la cathode et la tuyère. Réchauffe l'énergie de l'arc buse qui chauffe à son tour l'évaporateur, ce qui entraîne le liquide est transformée en vapeur. La vapeur sort de la tuyère sous pression interne (0,4-1,2 bar). La vapeur s'échappait comprime l'arc électrique. La compression augmente la température de l'arc à l'arc. L'arc de vapeur comprimée électrique chauffe la température d'ionisation.
Le plasma n'est pas celui de l'air ambiant, mais, c'est l'astuce, celui du liquide évaporé, donc eau + alcool si nécessaire, sans quasiment pas d'air, ce qui règle les propriétés redox ou axydantes du plasma concentré.
On peut y mettre tout liquide désiré, eau, alcool, fioul, etc ..
L'astuce cruciale est de
concentrer au max la décharge dans le gaz évaporé, pour avoir la T max, sans limite si on concentre les 3KW dans quelques mm, ou quasi infini dans des microns !!!
La limite, ce sont les instabilités du plasma, qui comme pour ITER, bloquent la possibilité de faire la fusion nucléaire de H .
La lecture du brevet sur la tuyère devrait indiquer un peu les bases de l'astuce de compression.
Le MIT est différent puisqu'il passe le gaz combustible hydrocarbure à plus de 75% de H, dans ce plasma électrique pour le décomposer en partie en le gazéifiant et améliorer sa combustion. Mais c'est bizarre, car alors gazeux ce fioul, ne passe plus par l'injection d'un diesel ordinaire, bon que pour les moteurs à gaz.