Forums des énergies : société, écologie et technologies propres

Bonjour bonjour

Suite a un débat avec un ami, je me suis demandé s'il existait des études ( une seule suffirait deja :p ) qui auraient comparé la différence de besoin énergétique entre de la viande de boeuf argentine et de la viande de boeuf provenant d'un élevage intensif chez nous?

Car je me rappelle d'une étude qui avait démontré que du mouton de Nouvelle-Zelande, élevé en extérieur, meme avec le cout du voyage, revenait a moins de rejets co2 qu'un mouton d'élevage intensif allemand ( qd on y incluait les pesticides pour sa nourriture, son transport, etc etc )

Pensez-vous qu'il pourrait en etre de meme pour le beouf?
De toute facon, quitte a manger de la viande rouge ( chose qu'il faut deja éviter) qui a du gout, il y a le boeuf Irlandais qui vient de bien moins loin ^^

Merci bien,
Dreamer

dreamer bonjour
A défaut d'avoir un comparatif entre boeuf argentin et boeuf d'élévage industriel, voici un site sur l'impact de l'élevage sur l'environnement. http://www.viande.info/

Merci c'est deja un bon debut

Liens internes (entre autres) évoquant le sujet de la viande / écologie :

3 sujets:
https://www.econologie.com/forums/manger-de- ... t4331.html
https://www.econologie.com/forums/a-propos-d ... t5971.html
https://www.econologie.com/forums/viande-mon ... t7955.html

2 fichiers:
https://www.econologie.com/consommation- ... -4332.html
https://www.econologie.com/consommation- ... -4333.html

Bonjour,
Ce qui me surprend à chaque fois, c’est le manque de liens qui se fait entre végétarisme et écologie, les uns comme les autres sont généralement (mais pas tous, 9 réponses à l’enquête interne sur le film proposé) obsédés par leur partie et lui attribue une importance plus grande qu’à l’autre. Comme si l’écologie consistait à réduire ou éviter la pollution industrielle, mais à être peu enclins à être attentifs à la pollution interne autant qu’à l’éthique ; et de l’autre des VG qui ne voient que la massacre de millions d’animaux inutilement, mais peu sensibles à la pollution industrielle de ces mêmes animaux qu’ils défendent comme s’il existait une barrière infranchissable entre chaque.
Certes on ne peut pas être sur tous les fronts en même temps, mais la survie de l’humanité n’est pas seulement liée au réchauffement climatique ou aux risques nucléaires, mais bien plus quotidiennement liée aux centaines de milliers de morts chaque année en France parce que, et alors que, l’amour de la « bonne chère » (généralement la bidoche) tue plus que les catastrophes de Tchernobyl et Fukushima réunies.