Bonjour,
Je vous présente l'espace que nous louons pour le potager.
Il s'agit d'une parcelle de 200 m2 située dans un ensemble de jardins familiaux. Ces jardins ont été créés sur d'anciens marécages. Cette parcelle a été cultivé jusqu'en novembre 2017 avec : motoculteur / engrais / pesticides... fumier de cheval il y a 2 ou 3 ans. Les cultures étaient de la pomme de terre et des fèves (ensemble ou non je l'ignore) d'après les informations prises auprès des voisins. S'y trouve des arbres fruitiers : prunier, figuiers, poirier ainsi qu'une vigne et un cabanon, soit un espace cultivable pour les légumes d'environ 140 m2 je pense.
Avant notre arrivée notre voisin avait désherbé par deux fois au désherbant . Avait survécu : la prêle des champs, le liseron (des champs et des haies), et le mouron rouge.
Une première observation du sol nous indique qu'il est argilo-limoneux, acide, tassé, déstructuré et saturé en azote, sa capacité de rétention de l'eau est bonne.
Nos premières actions ont été : d'enlever les prêles, casser la croute superficielle, semer et planter.
Un espace a été semé d'un mélange de mellifères pour couvrir le sol et nourrir sa faune, un autre de cucurbitacées pour couvrir le sol, une partie est resté 'a nu' en attente de temps pour la cultiver, cela nous permet aussi de connaître les adventices qui poussent dans ce sol, le reste est pour l'instant cultivé mais en attente d'être couvert.
Aujourd'hui d'autres adventices pointent le bout de leurs feuilles : chénopode, graminées, astéracées...
J'ai vu des annonces de vente de foin sur un site internet connu et de proximité. Ce sont le plus souvent des foins pour les animaux fauchés en juin. Compte tenu de l'acidité du sol, de sa saturation en azote, est-ce qu'il vaut mieux mettre du foin ou de la paille ? et est-ce le bon moment pour mettre l'un ou l'autre ?
Graine de potager de paresseuses 37
Re: Graine de potager de paresseuses 37
Qu'est-ce qui te fait dire qu'il est saturé en azote ??? A priori, je ne le pense pas, même si une friche est toujours "riche" (la fertilité s'est reconstituée ou est en train de se reconstituer).
L'azote, normalement, est lessivé et "naturellement", sans action de l'homme, on tend vers un équilibre qui est plutôt un sol de potager qu'on va considérer comme "pauvre" ou "médiocrement pourvu" (au regard des "exigences" des légumes, si on veut une productivité "significative").
Les plantes nitrophiles, indicatrices d'une saturation en azote, sont les orties. Aussi l'aygopode, l’ail des ours, les gaillets, ...
Les cucurbitacées sont assez exigeantes et leur exubérance va te renseigner. Si elles dépassent tout, sont vert sombre, alors oui, il se peut que de l'azote se soit accumulé.
En sachant qu'une friche qu'on défriche est toujours assez riche les 2 ou 3 premières années, par minéralisation de tout ce qui s'y trouvait.
Les paramètres que vous donnez (argilo-limoneux, acide, ...) résultent-ils d'analyses du sol (dans votre parcelle ou de parcelles voisines) ??? Parce que tu ne cites pas d'autres "acidophiles" typiques en milieu humide que la prêle : fougères,...
Ma conviction, mais ce n'est pas une religion, est que le foin a tous les avantages de la paille, sans son principal défaut, la "faim d'azote". Elle nourrit bien mieux les organismes du sol... car plus équilibré. Son principal défaut : il peut être difficile d'en trouver / de l'acheminer. Et puis, il faut soutenir les ricanements des voisins, généralement peu convaincus (euphémisme) au départ ! Mais pas nécessairement bons agronomes. Parfois religieusement "adeptes" de "méthodes" !
L'azote, normalement, est lessivé et "naturellement", sans action de l'homme, on tend vers un équilibre qui est plutôt un sol de potager qu'on va considérer comme "pauvre" ou "médiocrement pourvu" (au regard des "exigences" des légumes, si on veut une productivité "significative").
Les plantes nitrophiles, indicatrices d'une saturation en azote, sont les orties. Aussi l'aygopode, l’ail des ours, les gaillets, ...
Les cucurbitacées sont assez exigeantes et leur exubérance va te renseigner. Si elles dépassent tout, sont vert sombre, alors oui, il se peut que de l'azote se soit accumulé.
En sachant qu'une friche qu'on défriche est toujours assez riche les 2 ou 3 premières années, par minéralisation de tout ce qui s'y trouvait.
Les paramètres que vous donnez (argilo-limoneux, acide, ...) résultent-ils d'analyses du sol (dans votre parcelle ou de parcelles voisines) ??? Parce que tu ne cites pas d'autres "acidophiles" typiques en milieu humide que la prêle : fougères,...
Ma conviction, mais ce n'est pas une religion, est que le foin a tous les avantages de la paille, sans son principal défaut, la "faim d'azote". Elle nourrit bien mieux les organismes du sol... car plus équilibré. Son principal défaut : il peut être difficile d'en trouver / de l'acheminer. Et puis, il faut soutenir les ricanements des voisins, généralement peu convaincus (euphémisme) au départ ! Mais pas nécessairement bons agronomes. Parfois religieusement "adeptes" de "méthodes" !
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Une erreur de ma part c'est argilo sableux et non limoneux, bien qu'il y ait du limon, côté proportion je l'ignore, tests simples effectués de modelage de la terre, et dépôt. C'est un ancien espace maraîcher et inondé par la Loire qui y apportait du limon convertit depuis plusieurs dizaines d'années en jardins familiaux.
Côté adventices nous voyons émerger actuellement en plus du liseron, de la prêle, des graminées et astéracées : du chénopode, de l'amaranthe, et du pourpier. Tous comestibles mais de mauvaises réputation chez nos voisins... et je dois reconnaître envahissantes même si pour l'instant nous apprécions la couverture et protection du sol que cela génère.
Des questions, débutante, beaucoup se posent...
Côté cucurbitacées (courgettes, potimarrons, buternut) : malgré la chaleur / sécheresse et le fait que nous ne les arrosions pas, elles s'épanouissent largement. Commence à apparaître de l'oïdium je pense (tâches blanchâtres, poreuses, rondes qui recouvrent peu à peu toute la feuille, la fait jaunir). Si je comprends correctement ceci est un champignon, qui a besoin de spores, d'une température minimale (largement atteinte je pense en ce moment...) et d'humidité ou d'eau pour se développer. Cela fait maintenant plusieurs jours que nous n'arrosons pas (d'après l'état des feuilles, le développement des plants, cela semble inutile) malgré la chaleur. Alors cette humidité / eau elle viendrait d'où ? du sol ? Quelles sont les conditions de développement de l'oïdium (si c'est lui), les mêmes à la température près que celle du mildiou ? Comment faire pour limiter la propagation de l'oïdium sans utiliser des fongicides divers ? Ayant semé tardivement, ces plantes sont en cours de floraison /formation des fruits. Est-ce que cela risque de compromettre les récoltes ?
Nous avons deux plants de courgettes longues non coureuses poussant côte à côte et remarquons : l'un fait plus de feuilles, plus grandes et plus de fleurs mâle en proportion sur le pied et que l'autre pied , l'autre fait plus de fleurs femelles et de courgettes ;) bien que d'aspect plus chétif (moins de feuilles). Ce sont des plans de la même variété, semées le même jour, avec mois d'un mètre de distance entre les plants. Est-ce un hasard ou quand plusieurs plants sont ainsi côte à côte les uns des autres ils se "spécialisent" ?
Une question (non des questions...) pour les fraisiers... Vous parlez de les paillez avec du BRF plutôt que du foin, une exception. Si j'ai suivi, le BRF est particulièrement riche en éléments nutritifs, provenant de bois vivant, coupé après la chute des feuilles puis broyé. Vous utilisez le BRF car les fraisiers sont des descendants des fraises des bois et cela leur apporte une nourriture plus proche de leurs conditions de vie initiales que le foin. En forêt pour moi, ce sont les feuilles et les branches mortes qui atteignent le sol, je suppose (sans être allée vérifier), qu'il y a peu de bois vivant qui atteint le sol. Dès lors, pourquoi mettre du BRF plutôt que des brindilles, branches et feuilles mortes ? Même si je comprends que le BRF est plus riche en éléments nutritifs, il me semble d'une certaine façon plus éloigné du milieu d'origine. Du coup ce choix est-il dû au fait que dans un potager la faune / flore du sol est différente et plus apte et efficace à mettre à disposition rapidement les éléments nutritifs venant de BRF que de brindilles / feuilles mortes moins riche ? Une nécessité de nourrir davantage le sol, ses habitants et donc les plantes plus rapidement ? Une question de quantité à apporter (je suppose que pour apporter autant que du BRF il faudrait plus de matériaux, voire même qu'il est impossible d'apporter autant avec ces matériaux) ? Un choix dû à une facilité d'approvisionnement (taille et réutilisation des coupes des arbres fruitiers) ?
Côté adventices nous voyons émerger actuellement en plus du liseron, de la prêle, des graminées et astéracées : du chénopode, de l'amaranthe, et du pourpier. Tous comestibles mais de mauvaises réputation chez nos voisins... et je dois reconnaître envahissantes même si pour l'instant nous apprécions la couverture et protection du sol que cela génère.
Des questions, débutante, beaucoup se posent...
Côté cucurbitacées (courgettes, potimarrons, buternut) : malgré la chaleur / sécheresse et le fait que nous ne les arrosions pas, elles s'épanouissent largement. Commence à apparaître de l'oïdium je pense (tâches blanchâtres, poreuses, rondes qui recouvrent peu à peu toute la feuille, la fait jaunir). Si je comprends correctement ceci est un champignon, qui a besoin de spores, d'une température minimale (largement atteinte je pense en ce moment...) et d'humidité ou d'eau pour se développer. Cela fait maintenant plusieurs jours que nous n'arrosons pas (d'après l'état des feuilles, le développement des plants, cela semble inutile) malgré la chaleur. Alors cette humidité / eau elle viendrait d'où ? du sol ? Quelles sont les conditions de développement de l'oïdium (si c'est lui), les mêmes à la température près que celle du mildiou ? Comment faire pour limiter la propagation de l'oïdium sans utiliser des fongicides divers ? Ayant semé tardivement, ces plantes sont en cours de floraison /formation des fruits. Est-ce que cela risque de compromettre les récoltes ?
Nous avons deux plants de courgettes longues non coureuses poussant côte à côte et remarquons : l'un fait plus de feuilles, plus grandes et plus de fleurs mâle en proportion sur le pied et que l'autre pied , l'autre fait plus de fleurs femelles et de courgettes ;) bien que d'aspect plus chétif (moins de feuilles). Ce sont des plans de la même variété, semées le même jour, avec mois d'un mètre de distance entre les plants. Est-ce un hasard ou quand plusieurs plants sont ainsi côte à côte les uns des autres ils se "spécialisent" ?
Une question (non des questions...) pour les fraisiers... Vous parlez de les paillez avec du BRF plutôt que du foin, une exception. Si j'ai suivi, le BRF est particulièrement riche en éléments nutritifs, provenant de bois vivant, coupé après la chute des feuilles puis broyé. Vous utilisez le BRF car les fraisiers sont des descendants des fraises des bois et cela leur apporte une nourriture plus proche de leurs conditions de vie initiales que le foin. En forêt pour moi, ce sont les feuilles et les branches mortes qui atteignent le sol, je suppose (sans être allée vérifier), qu'il y a peu de bois vivant qui atteint le sol. Dès lors, pourquoi mettre du BRF plutôt que des brindilles, branches et feuilles mortes ? Même si je comprends que le BRF est plus riche en éléments nutritifs, il me semble d'une certaine façon plus éloigné du milieu d'origine. Du coup ce choix est-il dû au fait que dans un potager la faune / flore du sol est différente et plus apte et efficace à mettre à disposition rapidement les éléments nutritifs venant de BRF que de brindilles / feuilles mortes moins riche ? Une nécessité de nourrir davantage le sol, ses habitants et donc les plantes plus rapidement ? Une question de quantité à apporter (je suppose que pour apporter autant que du BRF il faudrait plus de matériaux, voire même qu'il est impossible d'apporter autant avec ces matériaux) ? Un choix dû à une facilité d'approvisionnement (taille et réutilisation des coupes des arbres fruitiers) ?
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Juste pour information : j'ai une parcelle au même endroit et c'est la deuxième année que je la recouvre majoritairement de foin.
Le PH de la terre nue est 7.0. Sous le foin, il est descendu à 5.0.
Le PH de la terre nue est 7.0. Sous le foin, il est descendu à 5.0.
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Bonjour Mosw,
A Tours et autour il y a de nombreux lieux de jardins familiaux. Acceptes-tu de préciser où se trouve le tien ? Le nôtre est du côté de La Riche.
J'en profites aussi pour d'autres questions Où trouves-tu suffisamment de foin et comment le fais-tu parvenir jusque dans les jardins ? Comment as-tu évaluer le pH (analyses précises en labo ? )
A Tours et autour il y a de nombreux lieux de jardins familiaux. Acceptes-tu de préciser où se trouve le tien ? Le nôtre est du côté de La Riche.
J'en profites aussi pour d'autres questions Où trouves-tu suffisamment de foin et comment le fais-tu parvenir jusque dans les jardins ? Comment as-tu évaluer le pH (analyses précises en labo ? )
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
mosw a écrit :Juste pour information : j'ai une parcelle au même endroit et c'est la deuxième année que je la recouvre majoritairement de foin.
Le PH de la terre nue est 7.0. Sous le foin, il est descendu à 5.0.
Étonnant.
A creuser.
As-tu bien pris le sol, et pas la couche supérieure de matières organiques en décomposition ?
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
mca37 a écrit :
Côté adventices nous voyons émerger actuellement en plus du liseron, de la prêle, des graminées et astéracées : du chénopode, de l'amaranthe, et du pourpier. Tous comestibles mais de mauvaises réputation chez nos voisins... et je dois reconnaître envahissantes même si pour l'instant nous apprécions la couverture et protection du sol que cela génère.
Des questions, débutante, beaucoup se posent...
Côté cucurbitacées (courgettes, potimarrons, buternut) : malgré la chaleur / sécheresse et le fait que nous ne les arrosions pas, elles s'épanouissent largement. Commence à apparaître de l'oïdium je pense (tâches blanchâtres, poreuses, rondes qui recouvrent peu à peu toute la feuille, la fait jaunir). Si je comprends correctement ceci est un champignon, qui a besoin de spores, d'une température minimale (largement atteinte je pense en ce moment...) et d'humidité ou d'eau pour se développer. Cela fait maintenant plusieurs jours que nous n'arrosons pas (d'après l'état des feuilles, le développement des plants, cela semble inutile) malgré la chaleur. Alors cette humidité / eau elle viendrait d'où ? du sol ? Quelles sont les conditions de développement de l'oïdium (si c'est lui), les mêmes à la température près que celle du mildiou ? Comment faire pour limiter la propagation de l'oïdium sans utiliser des fongicides divers ? Ayant semé tardivement, ces plantes sont en cours de floraison /formation des fruits. Est-ce que cela risque de compromettre les récoltes ?
Nous avons deux plants de courgettes longues non coureuses poussant côte à côte et remarquons : l'un fait plus de feuilles, plus grandes et plus de fleurs mâle en proportion sur le pied et que l'autre pied , l'autre fait plus de fleurs femelles et de courgettes ;) bien que d'aspect plus chétif (moins de feuilles). Ce sont des plans de la même variété, semées le même jour, avec mois d'un mètre de distance entre les plants. Est-ce un hasard ou quand plusieurs plants sont ainsi côte à côte les uns des autres ils se "spécialisent" ?
Une question (non des questions...) pour les fraisiers... Vous parlez de les paillez avec du BRF plutôt que du foin, une exception. Si j'ai suivi, le BRF est particulièrement riche en éléments nutritifs, provenant de bois vivant, coupé après la chute des feuilles puis broyé. Vous utilisez le BRF car les fraisiers sont des descendants des fraises des bois et cela leur apporte une nourriture plus proche de leurs conditions de vie initiales que le foin. En forêt pour moi, ce sont les feuilles et les branches mortes qui atteignent le sol, je suppose (sans être allée vérifier), qu'il y a peu de bois vivant qui atteint le sol. Dès lors, pourquoi mettre du BRF plutôt que des brindilles, branches et feuilles mortes ? Même si je comprends que le BRF est plus riche en éléments nutritifs, il me semble d'une certaine façon plus éloigné du milieu d'origine. Du coup ce choix est-il dû au fait que dans un potager la faune / flore du sol est différente et plus apte et efficace à mettre à disposition rapidement les éléments nutritifs venant de BRF que de brindilles / feuilles mortes moins riche ? Une nécessité de nourrir davantage le sol, ses habitants et donc les plantes plus rapidement ? Une question de quantité à apporter (je suppose que pour apporter autant que du BRF il faudrait plus de matériaux, voire même qu'il est impossible d'apporter autant avec ces matériaux) ? Un choix dû à une facilité d'approvisionnement (taille et réutilisation des coupes des arbres fruitiers) ?
Me relancer prochainement.
Je fais quelques messages ce soir assis parterre avec un clavier non français...
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Merci Didier d'avoir pris le temps de lire et répondre malgré les conditions.
Côté cucurbitacées elles continuent de s'épanouir malgré l'oïdium (?), sans traitements ni apport d'eau. Les courgettes continuent de fournir (enfin pour les longues car le pied de rondes... après 4 belles courgettes, semble vouloir faire une pause...). Les potimarrons formés prennent peu à peu leur couleur orange ou verte selon leur variété, et nous continuons de rediriger vers l'intérieur du jardin les tiges de ces coureuses pour éviter d'envahir les voisins ;) La production semble indifférente à la présence des champignons sur les feuilles et voire les tiges qui continuent de s'allonger. Ce qui répond à une partie de mes questions sur ce sujet. Comme quoi parfois il suffit d'attendre et observer...
Je vous remettrai les questions après les rencontres de la permaculture.
Côté cucurbitacées elles continuent de s'épanouir malgré l'oïdium (?), sans traitements ni apport d'eau. Les courgettes continuent de fournir (enfin pour les longues car le pied de rondes... après 4 belles courgettes, semble vouloir faire une pause...). Les potimarrons formés prennent peu à peu leur couleur orange ou verte selon leur variété, et nous continuons de rediriger vers l'intérieur du jardin les tiges de ces coureuses pour éviter d'envahir les voisins ;) La production semble indifférente à la présence des champignons sur les feuilles et voire les tiges qui continuent de s'allonger. Ce qui répond à une partie de mes questions sur ce sujet. Comme quoi parfois il suffit d'attendre et observer...
Je vous remettrai les questions après les rencontres de la permaculture.
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Concernant les potimarrons, une remarque chez moi dans le 44, mes pieds courent librement. Quand il arrivent dans l herbe haute ils ne produisent pas de fruit. Un pied est arrivé au niveau des ronces et à escaladé à 50cm 2 gros fruits se sont formé. Environ 2kg chacun.
Est ce à dire qu' il faudrait du gazon pour qu' ils produisent sur les 3m que courrent dans l herbe?
Est ce à dire qu' il faudrait du gazon pour qu' ils produisent sur les 3m que courrent dans l herbe?
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Re: Graine de potager de paresseuses 37
Tiens, une bonne observation.
La première chose que j'essaierai, c'est de les faire grimper : 3 piquets en "tente indienne" ; un grillage costaud tel ceux qu'on met dans les dalles béton ????
Peut-être que la grimpette modifie les flux d'hormones et que cela "débloque" la floraison / fructification. Juste une idée...
La première chose que j'essaierai, c'est de les faire grimper : 3 piquets en "tente indienne" ; un grillage costaud tel ceux qu'on met dans les dalles béton ????
Peut-être que la grimpette modifie les flux d'hormones et que cela "débloque" la floraison / fructification. Juste une idée...
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