Mercedes 300TD expérimentation pantone
Publié : 13/09/05, 15:20
Bonjour
Je suis en train de construire un dopage à l'eau pour un 300 turbo diesel de 1992 (6 cylindres 143 CV).
Premier montage et erreurs !
J'avais commencé par un réacteur en acier (tige de 14 mm dans un tube de 15/21 mm longueur 20 cm environ) en dérivation du tube d'échappement et sous la voiture pour ne pas totalement modifier ma tubulure d'échappement et faute de place.
J'avais envisagé une pulvérisation par injecteur (pour moteur essence) alimenté par une pompe (Bosch pour essence) modifiée en inox.
Le circuit de commande était basé soit :
sur un NE555 multivibrateur astable donc générateur de créneaux commandé par la commande d'accélérateur,
soit par un capteur piézo-électrique détectant les temps d'ouverture d'un injecteur de gasoil...
Pour l'arrivée des gaz « pantonisés » j'avais réalisé un simple tube cuivre (12/14) venant dans l'admission face au turbo avec une légère restriction sur la gaine en caoutchouc.
Difficultés :
difficile de trouver une pompe à essence non immergée, démontable et pas trop cher,
le circuit piézo-électrique n'est pas facile à réaliser pour des raisons mécaniques et de filtrage des vibrations mais on semble bien détecter l'ouverture d'un injecteur par la déformation du tuyau acier.
Erreurs (fatales !):
le montage en dérivation et un peu loin, ne donne pas assez de chaleur malgré une bonne isolation avec de la laine de roche,
et surtout grosse erreur il n'y a quasiment pas de dépression pour aspirer quelque chose, même en rétrécissant un peu plus la gaine en entrée de turbo...
Et l’acier pour le tube etc ça rouille évidemment !
Donc j'ai repensé mon montage et je suis en train de construire une boîte rectangulaire traversée directement par les gaz d'échappement en sortie du turbo et contenant 3 réacteurs de 15 cm de longueur et tige de 10 cm le tout en inox 304L, sauf l’intérieur de la tige en acier normal. La sortie courte des gaz du turbo est gainée en tube inox également. Il y a une légère restriction de la section pour l’échappement jusqu’à la sortie de la boîte à réacteurs.
Pour l’aspiration j’ai déjà essayer un papillon des gaz à rappel automatique par un ressort assez faible, dans l’admission en amont du turbo, là l’aspiration est forte dès le ralenti mais il ne faut pas trop sinon le moteur s’étouffe.
L'alimentation en eau pulvérisée est prévue par un carburateur de tondeuse qui est déjà modifié (avec de la résine) pour réduire le diamètre.
Le réchauffage de l’eau est prévu soit par un enroulement de tube cuivre autour de l’échappement (comme mon premier montage) soit par le circuit de refroidissement plus stable en température.
Le réchauffage de l’air sera fait par l’ancien réacteur (en aval) dépourvu de sa tige (donc du tube de 15/21).
La construction de la sortie d’échappement et de la boîte en inox est actuellement mon gros travail car la place est mesurée. Il faut donc prévoir des courbures etc pour l’implantation… !
Et je ne suis pas soudeur, formeur , chaudronnier, mécanicien, etc. donc je me forme en même temps !
Bon je ne suis pas encore prêt à monter l’ensemble et à rendre visite à Christophe…
Mais je ne désespère pas, et un grand merci à tous pour vos témoignages et à André pour ses conseils avisés.
A plus.
Michel
Je suis en train de construire un dopage à l'eau pour un 300 turbo diesel de 1992 (6 cylindres 143 CV).
Premier montage et erreurs !
J'avais commencé par un réacteur en acier (tige de 14 mm dans un tube de 15/21 mm longueur 20 cm environ) en dérivation du tube d'échappement et sous la voiture pour ne pas totalement modifier ma tubulure d'échappement et faute de place.
J'avais envisagé une pulvérisation par injecteur (pour moteur essence) alimenté par une pompe (Bosch pour essence) modifiée en inox.
Le circuit de commande était basé soit :
sur un NE555 multivibrateur astable donc générateur de créneaux commandé par la commande d'accélérateur,
soit par un capteur piézo-électrique détectant les temps d'ouverture d'un injecteur de gasoil...
Pour l'arrivée des gaz « pantonisés » j'avais réalisé un simple tube cuivre (12/14) venant dans l'admission face au turbo avec une légère restriction sur la gaine en caoutchouc.
Difficultés :
difficile de trouver une pompe à essence non immergée, démontable et pas trop cher,
le circuit piézo-électrique n'est pas facile à réaliser pour des raisons mécaniques et de filtrage des vibrations mais on semble bien détecter l'ouverture d'un injecteur par la déformation du tuyau acier.
Erreurs (fatales !):
le montage en dérivation et un peu loin, ne donne pas assez de chaleur malgré une bonne isolation avec de la laine de roche,
et surtout grosse erreur il n'y a quasiment pas de dépression pour aspirer quelque chose, même en rétrécissant un peu plus la gaine en entrée de turbo...
Et l’acier pour le tube etc ça rouille évidemment !
Donc j'ai repensé mon montage et je suis en train de construire une boîte rectangulaire traversée directement par les gaz d'échappement en sortie du turbo et contenant 3 réacteurs de 15 cm de longueur et tige de 10 cm le tout en inox 304L, sauf l’intérieur de la tige en acier normal. La sortie courte des gaz du turbo est gainée en tube inox également. Il y a une légère restriction de la section pour l’échappement jusqu’à la sortie de la boîte à réacteurs.
Pour l’aspiration j’ai déjà essayer un papillon des gaz à rappel automatique par un ressort assez faible, dans l’admission en amont du turbo, là l’aspiration est forte dès le ralenti mais il ne faut pas trop sinon le moteur s’étouffe.
L'alimentation en eau pulvérisée est prévue par un carburateur de tondeuse qui est déjà modifié (avec de la résine) pour réduire le diamètre.
Le réchauffage de l’eau est prévu soit par un enroulement de tube cuivre autour de l’échappement (comme mon premier montage) soit par le circuit de refroidissement plus stable en température.
Le réchauffage de l’air sera fait par l’ancien réacteur (en aval) dépourvu de sa tige (donc du tube de 15/21).
La construction de la sortie d’échappement et de la boîte en inox est actuellement mon gros travail car la place est mesurée. Il faut donc prévoir des courbures etc pour l’implantation… !
Et je ne suis pas soudeur, formeur , chaudronnier, mécanicien, etc. donc je me forme en même temps !
Bon je ne suis pas encore prêt à monter l’ensemble et à rendre visite à Christophe…
Mais je ne désespère pas, et un grand merci à tous pour vos témoignages et à André pour ses conseils avisés.
A plus.
Michel
André a écrit :Alimentation avec carburateur a eau et mini bulleur sec , si il y a accumulation d'eau cela devient bulleur, mais en fonction normal c'est un carburateur avec rechauffe bulleur sec.
Le principal desavantages de ce systéme c'est les nombreux coudes ,mais la priorité c'etait la chaleur a la sortie du turbo pour que cela soit fonctionel a faible régime.