RV-P a écrit :— Et il y en avait 10 fois plus lors d'une période GLACIAIRE, MB (émission "Le secret des nuages" du dimanche 7 juillet sur ARTE !) !!!
— Si tu veux écouter les "sirènes" du GIEC et des politiques, tu ferais mieux de te "boucher les oreilles" !
— D'après toi, en pleine période de "réchauffement climatique", le climat pourri et froid de l'Europe cet hiver et ce printemps, ça t'inspire quoi ?!?...
Juste deux ou trois éléments de réflexion :
1) Taux de CO²
a) des taux de CO² et des "périodes glaciaires", etc, on peut leur faire dire ce qu'on veut.
Mais il ne faudrait pa confondre des "glaciations" (quelques milliers / dizaines de milliers d'années) et ce que nous observons à l'échelon d'une génération !
b) Il ne faut pas non plus ignorer d'autres causes ayant changé le climat à différentes époques : éruptions volcaniques, météorites, qui ont pu "obscurcir" le ciel pendant quelques années...
c) Il ne faut surtout pas oublier qu'à l'échelle géologique, les continents dérivent...
Donc oui, c'est sans aucun doute plus compliqué que les équations du GIEC...
De là à cracher sur ces "modèles", très imparfaits, je laisse aux imbéciles le soin de franchir le pas.
Pour moi, resté paysan dans l'âme, "cela ne peut pas être bon, que de remettre dans l'atmosphère en l'espace du'ne génération, le CO² correspondant au stcokage de millions d'années de biomasse - pétrole, gaz, charbon : le carbonifère, cela a été à la louche 60 millions d'années..
2) ARTE
Quand on con nait un sujet, il est rare que les émissions d'ARTE, qui veulent "secouer" le cocotier (et poruquoi pas ?) soit réellement justes, ou nuancées, ou équilibrées. Elles sont souvent à charge (encore une fois, poruquoi pas ?), quelquefois sensationnaliste (il faut quand même faire de l'audience)...
Donc citer ARTE, pour moi, bof !
3) Le troisième point est intéressant !
Alors qu'il faisait "froid" chez nous, il faisait exceptionnellement chaud en laponie, en Sibérie..
Il est évident que "réchauffement climatique" est à l'échelle planétaire, donc au niveau de "températures moyennes" qui ne veulent pas dire grand chose ne ressenti.
Et ce réchauffement climatique s'accompagne, dans les zones "tempérées" (chez nous, où s'affrontent les masse d'air polaires froides et les masses d'air tropicales chaudes), d'une plus grande agitation. Et qui dit agitation, dit tantôt c'est l'un qui "gagne plus" (canicule), tantôt l'autre (printemps exceptionnellement froid - en fait, exceptionnellement peu ensoleillé).
Donc ce "froid", pour moi, est bien la conséquence locale - à notre petite échelle de franchouillards - du réchauffement climatique à l'échelle globale !
Mais je peux me tromper. N'étant pas du GIEC.