Les légumes verts sont-ils verts ?
Les légumes verts sont-ils verts ?
On insiste souvent sur l'inefficacité énergétique de la viande : nourrir une vache avec du maïs est moins efficace que nourrir directement un humain avec ce même maïs. Mais les légumes verts et les fruits ne semblent pas géniaux non plus, parce qu'il en faut énormément pour faire un repas. Ainsi, la laitue contient à peine 130 kcal/kg, le concombre 150, la tomate 180, etc. nettement moins que des pâtes ou du riz (1000 kcal/kg), un steak (2000) ou du pain (2800). (Données : "Nutrition" par Sizer et Whitney.)
Selon "How bad are bananas?", 1 kg de tomates génère 9 kg de CO2, 1 kg de riz 4 kg de CO2 équivalent (y compris méthane), le bœuf est à 18kg/kg, et il y a 1,25 kg par kg de pain. Donc les tomates génèrent 60 kg de CO2 par 1000 kcal, le bœuf 10 kg, le riz 4 kg et le pain 0.5 kg.
Selon "How bad are bananas?", 1 kg de tomates génère 9 kg de CO2, 1 kg de riz 4 kg de CO2 équivalent (y compris méthane), le bœuf est à 18kg/kg, et il y a 1,25 kg par kg de pain. Donc les tomates génèrent 60 kg de CO2 par 1000 kcal, le bœuf 10 kg, le riz 4 kg et le pain 0.5 kg.
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Soyons clairs: la nourriture ne peut se résumer à des calories, ceci est d'autant plus vrai que l'excès calorique des aliments industriels constitue un vrai problème.
Quant à l'empreinte carbone de la production des divers aliments, elle varie du tout au tout selon le mode de culture.
Il y a un monde entre une agriculture industrielle qui détruit la matière organique des sols en lui substituant des intrants pétroliers et des pratiques agricoles inspirées de la permaculture grâce auxquelles de la matière organique est stockée dans les sols...
Quant à l'empreinte carbone de la production des divers aliments, elle varie du tout au tout selon le mode de culture.
Il y a un monde entre une agriculture industrielle qui détruit la matière organique des sols en lui substituant des intrants pétroliers et des pratiques agricoles inspirées de la permaculture grâce auxquelles de la matière organique est stockée dans les sols...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
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le besoin en calorie depend de ce que l'on fait
pour certain la faible quantité de calorie est une qualité ... quand on doit faire un travail physique et supporter le froid il faut assez de calorie pour faire marcher la machine !
on n'est pas des herbivore : il n'est pas stupide de laisser broutter les vache et manger les produit laitier ou la viande
il y a des problème dans tous les aliments ... donc il est prudent de diversifier au maximum pour ne pas concentrer un seul problème
pour certain la faible quantité de calorie est une qualité ... quand on doit faire un travail physique et supporter le froid il faut assez de calorie pour faire marcher la machine !
on n'est pas des herbivore : il n'est pas stupide de laisser broutter les vache et manger les produit laitier ou la viande
il y a des problème dans tous les aliments ... donc il est prudent de diversifier au maximum pour ne pas concentrer un seul problème
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On ne peut pas raisonner uniquement en terme de calories, sinon il suffirait de "biberonner" à la vodka!
L'élevage n'est pas une hérésie en soi lorsqu'il permet d'exploiter des zones d'alpages ou à vocation herbagère, mais nous n'en sommes plus là avec le modèle des "feedlots" américains et de ses multiples avatars.
Une réduction importante de la consommation d'aliments d'origine animale aurait des effets positifs à la fois en terme de santé publique et d'environnement.
Sans parler du gain moral inappréciable qu'il y aurait à diminuer l'instrumentalisation des animaux...
Au XVI e siècle, Henry VI, (qui était un peu l'équivalent du Chirac de l'époque ), aurait déclaré: "Je veux que chaque famille puisse mettre la poule au pot le dimanche".
Heureusement que ça n'était que des paroles en l'air, sinon il s'en serait suivi de fâcheuses disettes!
L'élevage n'est pas une hérésie en soi lorsqu'il permet d'exploiter des zones d'alpages ou à vocation herbagère, mais nous n'en sommes plus là avec le modèle des "feedlots" américains et de ses multiples avatars.
Une réduction importante de la consommation d'aliments d'origine animale aurait des effets positifs à la fois en terme de santé publique et d'environnement.
Sans parler du gain moral inappréciable qu'il y aurait à diminuer l'instrumentalisation des animaux...
Au XVI e siècle, Henry VI, (qui était un peu l'équivalent du Chirac de l'époque ), aurait déclaré: "Je veux que chaque famille puisse mettre la poule au pot le dimanche".
Heureusement que ça n'était que des paroles en l'air, sinon il s'en serait suivi de fâcheuses disettes!
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
L'élevage est d'autant moins une hérésie s'il s'agit de ruminants, seuls capables de valoriser la cellulose, grâce à la flore bactérienne de leur panse... Voilà comment de la paille devient des valeureuses protéines (et quelques "mauvaises graisses" aussi)
C'est donc un excellent collecteur / convertisseur d'herbes - dont les herbes sèches et pailleuses - dont le plus austère des humains (un Himba, un Masaï, un Touareg...) aurait du mal à se nourrir...
Ce sont les excès qui posent des problèmes. Excès dans nos habitudes alimentaires. Excés des "systèmes de production"...
Et si je puis me permettre, malheureusement, il n'y a quasiment plus que des excès !
[Par ex emple, mes pieds de tomate, cultivés en plein champs, sans travail du sol, sans engrais, sans traitement n'ont certainement pas le bilan évoqué plus haut - qui eput sans doute ête exact pour de stomates produites sous serre, irriguées "sous perfusion", fertilisées, traitées, transportées depuis de lointaines contrées...]. Mais je n'en mange pas à Noël, ni à Pâques !!! Je vais commencer ma "cure" sous peu, m'en gaver, puis en avoir ras-le-bol, faire des bocaux de sauce...]
C'est donc un excellent collecteur / convertisseur d'herbes - dont les herbes sèches et pailleuses - dont le plus austère des humains (un Himba, un Masaï, un Touareg...) aurait du mal à se nourrir...
Ce sont les excès qui posent des problèmes. Excès dans nos habitudes alimentaires. Excés des "systèmes de production"...
Et si je puis me permettre, malheureusement, il n'y a quasiment plus que des excès !
[Par ex emple, mes pieds de tomate, cultivés en plein champs, sans travail du sol, sans engrais, sans traitement n'ont certainement pas le bilan évoqué plus haut - qui eput sans doute ête exact pour de stomates produites sous serre, irriguées "sous perfusion", fertilisées, traitées, transportées depuis de lointaines contrées...]. Mais je n'en mange pas à Noël, ni à Pâques !!! Je vais commencer ma "cure" sous peu, m'en gaver, puis en avoir ras-le-bol, faire des bocaux de sauce...]
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- chatelot16
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l'instrumentalisation des animaux d'elevage n'est pas forcement la pire
et les hommes ? il sont souvent moins bien traité que des animaux
même si il est triste de savoir que toutes les vaches d'un elevage finiront a l'abatoir , au moins elle sont bien traité pour faire de la bonne viandes ... mieux traité que les hommes dont on parle dans l'autre sujet
https://www.econologie.com/forums/systeme-an ... 13354.html
je parle d'elevage que je connais près de chez moi ... bien sur qu'il en existe d'autres qui font de la peine
mais il faut quand même voir ou sont les priorité : on voit dans le monde plus d'homme mal traité que d'animaux ... et souvent quand les animaux sont maltraité c'est pour cause de la même misere que subissent les homme
et les hommes ? il sont souvent moins bien traité que des animaux
même si il est triste de savoir que toutes les vaches d'un elevage finiront a l'abatoir , au moins elle sont bien traité pour faire de la bonne viandes ... mieux traité que les hommes dont on parle dans l'autre sujet
https://www.econologie.com/forums/systeme-an ... 13354.html
je parle d'elevage que je connais près de chez moi ... bien sur qu'il en existe d'autres qui font de la peine
mais il faut quand même voir ou sont les priorité : on voit dans le monde plus d'homme mal traité que d'animaux ... et souvent quand les animaux sont maltraité c'est pour cause de la même misere que subissent les homme
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Et, si je puis me permettre, malheureusement, il n'y a quasiment plus que des excès !
Tu peux te permettre, tu peux!
L'excès n'est en effet pas un "accident" imputable à de mauvaises pratiques ou à l'avidité de quelques-uns, qu'il suffirait de réformer par quelque simple réglementation, non, il est consubstantiel à l'économie qui ne peut subsister sans croissance; or, à quoi peut mener la croissance, sinon à l'excès?
Cependant, l'excès, qui possède une connotation morale trompeuse, n'est pas la cause, mais bien la conséquence des actes d'agents, inconscients du système qui les manipule...
Robert Kurz, récemment disparu, écrivait dans son "Livre noir du capitalisme", sous-titré "Chant d'adieu à l'économie de marché.":
La situation actuelle prend des allures de conte de fée déjanté, où l’absurde paraît normal tandis que ce qui allait de soi devient totalement incompréhensible : comme frappée d’un mauvais sort, la conscience sociale a complètement refoulé ce qui crève les yeux et va vraiment sans dire. En dépit du fait, d’une évidence tout à fait criante, qu’une mise en œuvre ne serait-ce qu’un peu plus raisonnable des ressources communes est désormais absolument inconciliable avec la forme capitaliste, on continue à ne débattre que de “concepts” et d’approches qui présupposent justement cette forme. »
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Chatelot, tu écris:
Comme tu le notes très justement à la fin de ton message, la cause de l'instrumentalisation des animaux ainsi que celle des hommes ont même origine, c'est pourquoi agir sur l'une revient nécessairement à agir sur l'autre (si l'on peut dire!).
Gandhi affirmait que l'on reconnait la grandeur d'une civilisation à la façon dont y sont traités les animaux... No comment!
l'instrumentalisation des animaux d'élevage n'est pas forcement la pire.
et les hommes ? il sont souvent moins bien traité que des animaux.
Comme tu le notes très justement à la fin de ton message, la cause de l'instrumentalisation des animaux ainsi que celle des hommes ont même origine, c'est pourquoi agir sur l'une revient nécessairement à agir sur l'autre (si l'on peut dire!).
Gandhi affirmait que l'on reconnait la grandeur d'une civilisation à la façon dont y sont traités les animaux... No comment!
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bonjour
en vrac
Soyons clairs: la nourriture ne peut se résumer à des calories, ceci est d'autant plus vrai que l'excès calorique des aliments industriels constitue un vrai problème.
La notion de calorie, si largement utilisée, est mal employée. Un réservoir d’essence (contenant des millions de calories potentielles est froid, de même qu’une bonbonne de gaz, du charbon ou du bois.
Ensuite, comme pour les carburants cités ci-dessus chaque constituant alimentaire à une potentialité calorique différente. c’est ce que l’on appelle la quantité (ou valeur) calorique d’un produit qui n'est finalement qu'un déchet de combustion. Mais, comme tous les carburants ce qui compte, c’est le rendement final : par exemple 30% pour un moteur thermique. Sur le plan organique c’est la même chose en plus complexe. En effet, l’absorption d’un aliment ne se traduit pas par une assimilation totale (sinon nous n’irions plus à la selle) mais partielle selon sa composition d’abord, sa mastication et son mélange salivaire (et non un coup de rouge pour faire passer) sa forme crue ou cuite, sa charge en produits à forts déchets d’assimilation et donc une personne pourra absorber la moitié d’une autre dont les mécanismes : absorption, mastication, bol stomacal (équilibre acido basique éventuellement), assimilation intestinale et durée du transit seront en meilleur état souvent lié à l’âge aussi (indépendamment de tous les produits pharmaceutiques absorbés à partir d’un certain âge par les « vieux » et des moins vieux d’ailleurs )
on n'est pas des herbivore : il n'est pas stupide de laisser broutter les vache et manger les produit laitier ou la viande.
C’est exact, nous ne sommes pas des herbivores, mais pas des carnivores, biologiquement et anatomiquement parlant, non plus. Considérer le broutage comme une stupidité parce que nous ne serions pas herbivores, ne l’est pas plus que de consommer d’autres produits physiologiquement aussi inadaptés que le sont les produits laitiers ou la viande. C’est confondre des habitudes alimentaires culturelles et la constitution biologique et anatomique (que l’on met pourtant en avant concernant ces herbivores). Mais les humains ne sont pas à une contradiction près !
Au XVI e siècle, Henry VI, (qui était un peu l'équivalent du Chirac de l'époque ), aurait déclaré: "Je veux que chaque famille puisse mettre la poule au pot le dimanche".
A replacer dans son contexte ! Henri IV était, avant son accès au trône, un noble terrien connaissant les mœurs de son temps qui consistait à puiser allègrement dans les élevages et champs pour s’accorder une abondance de victuailles, pendant que le peuple était dans la disette. La situation étant plus difficile encore dans les cité. Son vœux pieux, en l’occurrence, exprimait plutôt un souhait (laisser aux paysans et moins favorisés, la possibilité de faire comme leurs seigneurs et maitres) un communisme avant l’heure ! Rien de diététique là dedans bien entendu !
Ce sont les excès qui posent des problèmes. Excès dans nos habitudes alimentaires. Excés des "systèmes de production"...
Evidemment les excès peuvent devenir nuisibles. mais qui défini ce qu’est un excès, quand un produit n’est de toute façon pas adapté?Les campagnes contre l’excès de boissons alcooliques ne se référencent pas au poison lui-même, mais à sa diminution seulement préservant ainsi toute une profession et des consommateurs électeurs). Ainsi aucune campagne n’a tenu le même langage pour la cigarette par exemple : « une cigarette ça va, trois bonjour les dégâts » parce que les intérêts en jeu étaient beaucoup moindres (en plus l’Etat lui même était le plus gros dealer du produit) ce qui le mettait en porte à faux, vis-à-vis de la SS.
même si il est triste de savoir que toutes les vaches d'un elevage finiront a l'abatoir , au moins elle sont bien traité pour faire de la bonne viandes ...
Quel étrange langage ! Dire qu’un condamné à mort bien traité, c’est mieux qu’un autre condamné à mort moins bien traité. Je suppose que les condamnés à mort ne seraient pas du même avis puisque plus qu’un traitement de faveur ou pas, c’est sa vie, à laquelle chacun tient, qui est le plus important. (mais on ne demande évidemment pas leur avis aux animaux abattus, ni aux taureaux massacrés dans les arènes comme au temps des jeux du cirque romains.)
Et là je sais que je vais choquer certains avec un point Goldwin, mais si l’on avait donné le choix aux emprisonnés dans les camps de la mort entre un traitement de faveur et la mort ou un moins bon traitement et la vie, leur choix n’aurait pas fait photo.
Gandhi affirmait que l'on reconnait la grandeur d'une civilisation à la façon dont y sont traités les animaux... No comment! et afin de mettre en harmonie ses paroles et ses actes il est devenu végétarien. Puissent les hommes comprendre que l'on ne peut rejeter la notion de violence tout en la justifiant par ailleurs.
en vrac
Soyons clairs: la nourriture ne peut se résumer à des calories, ceci est d'autant plus vrai que l'excès calorique des aliments industriels constitue un vrai problème.
La notion de calorie, si largement utilisée, est mal employée. Un réservoir d’essence (contenant des millions de calories potentielles est froid, de même qu’une bonbonne de gaz, du charbon ou du bois.
Ensuite, comme pour les carburants cités ci-dessus chaque constituant alimentaire à une potentialité calorique différente. c’est ce que l’on appelle la quantité (ou valeur) calorique d’un produit qui n'est finalement qu'un déchet de combustion. Mais, comme tous les carburants ce qui compte, c’est le rendement final : par exemple 30% pour un moteur thermique. Sur le plan organique c’est la même chose en plus complexe. En effet, l’absorption d’un aliment ne se traduit pas par une assimilation totale (sinon nous n’irions plus à la selle) mais partielle selon sa composition d’abord, sa mastication et son mélange salivaire (et non un coup de rouge pour faire passer) sa forme crue ou cuite, sa charge en produits à forts déchets d’assimilation et donc une personne pourra absorber la moitié d’une autre dont les mécanismes : absorption, mastication, bol stomacal (équilibre acido basique éventuellement), assimilation intestinale et durée du transit seront en meilleur état souvent lié à l’âge aussi (indépendamment de tous les produits pharmaceutiques absorbés à partir d’un certain âge par les « vieux » et des moins vieux d’ailleurs )
on n'est pas des herbivore : il n'est pas stupide de laisser broutter les vache et manger les produit laitier ou la viande.
C’est exact, nous ne sommes pas des herbivores, mais pas des carnivores, biologiquement et anatomiquement parlant, non plus. Considérer le broutage comme une stupidité parce que nous ne serions pas herbivores, ne l’est pas plus que de consommer d’autres produits physiologiquement aussi inadaptés que le sont les produits laitiers ou la viande. C’est confondre des habitudes alimentaires culturelles et la constitution biologique et anatomique (que l’on met pourtant en avant concernant ces herbivores). Mais les humains ne sont pas à une contradiction près !
Au XVI e siècle, Henry VI, (qui était un peu l'équivalent du Chirac de l'époque ), aurait déclaré: "Je veux que chaque famille puisse mettre la poule au pot le dimanche".
A replacer dans son contexte ! Henri IV était, avant son accès au trône, un noble terrien connaissant les mœurs de son temps qui consistait à puiser allègrement dans les élevages et champs pour s’accorder une abondance de victuailles, pendant que le peuple était dans la disette. La situation étant plus difficile encore dans les cité. Son vœux pieux, en l’occurrence, exprimait plutôt un souhait (laisser aux paysans et moins favorisés, la possibilité de faire comme leurs seigneurs et maitres) un communisme avant l’heure ! Rien de diététique là dedans bien entendu !
Ce sont les excès qui posent des problèmes. Excès dans nos habitudes alimentaires. Excés des "systèmes de production"...
Evidemment les excès peuvent devenir nuisibles. mais qui défini ce qu’est un excès, quand un produit n’est de toute façon pas adapté?Les campagnes contre l’excès de boissons alcooliques ne se référencent pas au poison lui-même, mais à sa diminution seulement préservant ainsi toute une profession et des consommateurs électeurs). Ainsi aucune campagne n’a tenu le même langage pour la cigarette par exemple : « une cigarette ça va, trois bonjour les dégâts » parce que les intérêts en jeu étaient beaucoup moindres (en plus l’Etat lui même était le plus gros dealer du produit) ce qui le mettait en porte à faux, vis-à-vis de la SS.
même si il est triste de savoir que toutes les vaches d'un elevage finiront a l'abatoir , au moins elle sont bien traité pour faire de la bonne viandes ...
Quel étrange langage ! Dire qu’un condamné à mort bien traité, c’est mieux qu’un autre condamné à mort moins bien traité. Je suppose que les condamnés à mort ne seraient pas du même avis puisque plus qu’un traitement de faveur ou pas, c’est sa vie, à laquelle chacun tient, qui est le plus important. (mais on ne demande évidemment pas leur avis aux animaux abattus, ni aux taureaux massacrés dans les arènes comme au temps des jeux du cirque romains.)
Et là je sais que je vais choquer certains avec un point Goldwin, mais si l’on avait donné le choix aux emprisonnés dans les camps de la mort entre un traitement de faveur et la mort ou un moins bon traitement et la vie, leur choix n’aurait pas fait photo.
Gandhi affirmait que l'on reconnait la grandeur d'une civilisation à la façon dont y sont traités les animaux... No comment! et afin de mettre en harmonie ses paroles et ses actes il est devenu végétarien. Puissent les hommes comprendre que l'on ne peut rejeter la notion de violence tout en la justifiant par ailleurs.
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- sen-no-sen
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janic a écrit :Et là je sais que je vais choquer certains avec un point Goldwin,(...)
C'est point Godwin!
MB a écrit:
Mais les légumes verts et les fruits ne semblent pas géniaux non plus, parce qu'il en faut énormément pour faire un repas. Ainsi, la laitue contient à peine 130 kcal/kg, le concombre 150, la tomate 180, etc. nettement moins que des pâtes ou du riz (1000 kcal/kg), un steak (2000) ou du pain (2800). (Données : "Nutrition" par Sizer et Whitney.)
Pour effectuer un bilan valable il faut comparer la surface agraire nécessaire pour avoir une quantité de calorie équivalente...il faut par exemple 5.000m² (1/2 ha) de terre cultivable pour produire 70 kg de boeuf pour la même surface cela donne 10.000 kg de pommes de terre!
15.000 litres d'eau pour faire 1 kg de viande de boeuf et 800 litres d'eau pour 1 kg de blé...
Pour donner un ordre de grandeur un Boeuf permet de donner 200 repas contre 15 000 repas avec les céréales qu'il a du manger!
L'avantage va clairement au végétaux!
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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