L'analyse est peu cohérente et confuse.
Il prétend, comme beaucoup, que la dette est la cause du problème, alors qu'elle constitue un remède provisoire permettant de surseoir à l'effondrement systémique.
Il évoque le danger que courent ceux qui dépendent du secteur public, mais la situation sera la même pour les autres: un voisin, vaguement conscient de la chose, arguait que, travaillant dans le bâtiment, les particuliers feraient toujours refaire leur toiture en cas de nécessité; je lui ai répondu que si les gens n'ont plus la capacité de payement, ils ne le feraient certainement pas... à moins qu'il n'accepte de travailler gratuitement!
Il prétend que n'existent que des solutions individuelle (dont il énonce la teneur), mais c'est une grave illusion: nous dépendons les uns des autres et une solution ne pourra qu'être collective: on imagine la convoitise suscitée par quelques biens réels... qui ne seraient d'ailleurs que de peu d'utilité à leurs propriétaires, vu l'impossibilité des échanges...
Enfin,
C. Sannat a trouvé un bon moyen de vendre du vent, ce qui tendrait (?) à prouver qu'il croit encore un peu à la valeur abstraite...