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« Les constellations familiales »
Par Odette Janssens : psychologue et thérapeute à la Pierre d’Angle

En partenariat avec Vie féminine Centre Ardenne et la Bibliothèque publique

« Certaines personnes courent après le bonheur sans remarquer que le bonheur court après eux mais il ne les atteint pas tellement ils courent. » (Bert Hellinger)

Hellinger est le fondateur de cette méthode systémique particulière qui s’appuie sur les constellations familiales.

Chacun porte en lui l’histoire de ses ancêtres. La mémoire inconsciente d’événements traumatiques (deuil, suicide, faillite, alcoolisme, …) peut se transmettre de génération en génération. Par loyauté, même inconsciente, un des descendants peut adopter des comportements qui ne lui appartiennent pas, voire répéter cet événement comme s’il était incapable de s’y soustraire.

De même, il arrive qu’un enfant endosse la souffrance, la tristesse, la colère d’un parent et entrave ainsi ses possibilités d’aller de l’avant sereinement.

Certains événements personnels éprouvants (séparation, fausse-couche, abus sexuels, …) peuvent rester inscrits en nous, perturbant notre équilibre personnel et familial et éventuellement rejaillir sur les générations suivantes.

Le travail de « constellation » permet de mettre en lumière les dysfonctionnements de notre système familial d’origine ou actuel.

La conférence aura pour but d’expliquer en quoi consiste cette approche systémique transgénérationnelle.

difficile à classer dans la médecine (génétique ou psychologie...)

les constellations familiale

In biology, and specifically genetics, epigenetics is the study of heritable changes in gene expression or cellular phenotype caused by mechanisms other than changes in the underlying DNA sequence – hence the name epi- (Greek: επί- over, above, outer) -genetics. It refers to functionally relevant modifications to the genome that do not involve a change in the nucleotide sequence. Examples of such changes are DNA methylation and histone modification, both of which serve to regulate gene expression without altering the underlying DNA sequence.

These changes may remain through cell divisions for the remainder of the cell's life and may also last for multiple generations. However, there is no change in the underlying DNA sequence of the organism;[1] instead, non-genetic factors cause the organism's genes to behave (or "express themselves") differently.[2]

One example of epigenetic changes in eukaryotic biology is the process of cellular differentiation. During morphogenesis, totipotent stem cells become the various pluripotent cell lines of the embryo, which in turn become fully differentiated cells. In other words, a single fertilized egg cell – the zygote – changes into the many cell types including neurons, muscle cells, epithelium, endothelium of blood vessels, etc. as it continues to divide. It does so by activating some genes while inhibiting others.[3]

In 2011, it was demonstrated that the methylation of mRNA has a critical role in human energy homeostasis. Obesity associated FTO gene is shown to be able to demethylate N6-methyladenosine in RNA. This opened the related field of RNA epigenetics


The molecular basis of epigenetics is complex. It involves modifications of the activation of certain genes, but not the basic structure of DNA. Additionally, the chromatin proteins associated with DNA may be activated or silenced. This accounts for why the differentiated cells in a multi-cellular organism express only the genes that are necessary for their own activity. Epigenetic changes are preserved when cells divide. Most epigenetic changes only occur within the course of one individual organism's lifetime, but, if a mutation in the DNA has been caused in sperm or egg cell that results in fertilization, then some epigenetic changes are inherited from one generation to the next.[11] This raises the question of whether or not epigenetic changes in an organism can alter the basic structure of its DNA (see Evolution, below), a form of Lamarckism.

Specific epigenetic processes include paramutation, bookmarking, imprinting, gene silencing, X chromosome inactivation, position effect, reprogramming, transvection, maternal effects, the progress of carcinogenesis, many effects of teratogens, regulation of histone modifications and heterochromatin, and technical limitations affecting parthenogenesis and cloning.

Epigenetic research uses a wide range of molecular biologic techniques to further our understanding of epigenetic phenomena, including chromatin immunoprecipitation (together with its large-scale variants ChIP-on-chip and ChIP-Seq), fluorescent in situ hybridization, methylation-sensitive restriction enzymes, DNA adenine methyltransferase identification (DamID) and bisulfite sequencing. Furthermore, the use of bioinformatic methods is playing an increasing role (computational epigenetics).

dedeleco a écrit :montre une incompréhension de l'épigénétique scientifique étudiée en laboratoires de biologie de par le monde !!!

dedeleco a écrit :Rien à voir de direct avec la psychologie, mais tout avec la génétique et son fonctionnement dans nos cellulaires d'êtres multicellulaires.

La conférence citée n'a rien à voir et sent les élécubrations psy ou religieuses variées, sans preuves vérifiables, et à éviter !!!

Christophe a écrit :

Christophe a écrit :L'épigénétique, mémoire génétique ou cellulaire: réalité? - dedeleco Voir le dernier message

Le sujet de la mémoire génétique, mémoire cellulaire ou encore épigénétique a déjà été abordé sur ces forums par exemple dans les sujets suivants:

Je voulais depuis longtemps ouvrir un sujet dédié à cette nouvelle branche de la science qui est difficile à classer dans la médecine (génétique ou psychologie...) et qui reste encore bien mystérieuse !

dedeleco a écrit :

difficile à classer dans la médecine (génétique ou psychologie...)

montre une incompréhension de l'épigénétique scientifique étudiée en laboratoires de biologie de par le monde !!!

Rien à voir de direct avec la psychologie, mais tout avec la génétique et son fonctionnement dans nos cellulaires d'êtres multicellulaires [...]

un des descendants peut adopter des comportements qui ne lui appartiennent pas, voire répéter cet événement comme s’il était incapable de s’y soustraire.

une fois de plus la "science" arrive toujours avec un métro de retard sur la réalité avec ses "preuves"

Rien de psy, que auto contrôle du fonctionnement des gênes par eux mêmes, très hyper complexe, et qui constitue notre réalité de vivant à découvrir encore