Faut-il repenser le milieu associatif et de quelle façon ?
Publié : 17/04/13, 12:43
J'ouvre ce nouveau débat en espérant ne pas dériver dans un échange polémique.
La raison de cette question et que je constate chaque jour que le milieu et le tissu associatif se développe considérablement au niveau local, régional, national et international, que les actions proposés sont en général pleine de générosité et motivées par une réelle volonté d'aider mais qu'au final cette abondance devient inadaptée et culpabilisante pour le citoyen de base que je suis et qui ne peut plus suivre.
Comme sûrement beaucoup d'entre-vous, je m'intéresse à de nombreux sujets, je soutiens beaucoup de causes et je m'investis dans diverses actions locales, nationales et internationales, et il m'arrive d'être bénévole ponctuellement pour certaines actions associatives.
De plus, je suis actuellement salarié à temps partiel dans une association du secteur médico-social. Je connais donc aussi les rouages vus de l'intérieur et je constate que pour de nombreuses associations, c'est une course perpétuelle pour la recherches de fonds (dons, subventions, recettes diverses, ...).
Bref, entre les associations culturelles, écologiques, agricoles, animales, humanitaires, sociales, économiques, d'intérêts de quartiers, sportives, de défense de telle ou telle cause, etc (et j'en passe...), et qui font pour la plupart un travail utile et intéressant, il est difficile de choisir et de s'investir.
Pourtant toutes ont besoin des citoyens pour survivre et continuer leur travail.
En ce début d'année, j'ai reçu un mail ou un courrier de rappel des nombreuses associations auxquelles j'ai adhérées ou que j'ai soutenues d'une façon ou d'une autre ces dernières années.
Au total, pour de nouveau les soutenir, cela se résume à verser une cotisation qui va de 10 € à 50 €, voire plus, et le budget annuel nécessaire atteint maintenant plusieurs centaines voire milliers d'euros !
J'en arrive à la conclusion qu'il y a maintenant un hiatus qui me semble déprécier le milieu associatif :
- d'un côté (les associations), les demandes d'aide et de soutien sont grandissantes et se multiplient,
- de l'autre (la populations) les possibilités se réduisent du fait de cette multiplicité et des moyens de chacun qui diminuent.
Cette abondance d'associations et d'appels à l'aide traduit surement un changement de notre société, mais que faire et vers quoi va-t-on ?
Avez-vous des idées et des remarques sur le sujet ?
La raison de cette question et que je constate chaque jour que le milieu et le tissu associatif se développe considérablement au niveau local, régional, national et international, que les actions proposés sont en général pleine de générosité et motivées par une réelle volonté d'aider mais qu'au final cette abondance devient inadaptée et culpabilisante pour le citoyen de base que je suis et qui ne peut plus suivre.
Comme sûrement beaucoup d'entre-vous, je m'intéresse à de nombreux sujets, je soutiens beaucoup de causes et je m'investis dans diverses actions locales, nationales et internationales, et il m'arrive d'être bénévole ponctuellement pour certaines actions associatives.
De plus, je suis actuellement salarié à temps partiel dans une association du secteur médico-social. Je connais donc aussi les rouages vus de l'intérieur et je constate que pour de nombreuses associations, c'est une course perpétuelle pour la recherches de fonds (dons, subventions, recettes diverses, ...).
Bref, entre les associations culturelles, écologiques, agricoles, animales, humanitaires, sociales, économiques, d'intérêts de quartiers, sportives, de défense de telle ou telle cause, etc (et j'en passe...), et qui font pour la plupart un travail utile et intéressant, il est difficile de choisir et de s'investir.
Pourtant toutes ont besoin des citoyens pour survivre et continuer leur travail.
En ce début d'année, j'ai reçu un mail ou un courrier de rappel des nombreuses associations auxquelles j'ai adhérées ou que j'ai soutenues d'une façon ou d'une autre ces dernières années.
Au total, pour de nouveau les soutenir, cela se résume à verser une cotisation qui va de 10 € à 50 €, voire plus, et le budget annuel nécessaire atteint maintenant plusieurs centaines voire milliers d'euros !
J'en arrive à la conclusion qu'il y a maintenant un hiatus qui me semble déprécier le milieu associatif :
- d'un côté (les associations), les demandes d'aide et de soutien sont grandissantes et se multiplient,
- de l'autre (la populations) les possibilités se réduisent du fait de cette multiplicité et des moyens de chacun qui diminuent.
Cette abondance d'associations et d'appels à l'aide traduit surement un changement de notre société, mais que faire et vers quoi va-t-on ?
Avez-vous des idées et des remarques sur le sujet ?