Scandale Dépakine et grossesse! Encore un de plus!
Publié : 24/08/16, 19:40
de nombreux enfants touchés par la prise de depakine par leur mère enceinte et l'inertie des autorités sanitaires.
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Pour l'instant il ne semble pas que des études aient été faites sur la rémanence possible des produits absorbés.si tu avait un enfant sujet a epilepsie tu serait bien content de lui donner de la depakine ... le point important c'est d'arreter la depakine assez longtemps avant d'avoir des enfant
et si l'epilepsie continue il faut renoncer aux enfants pour etre soulagé par la depakine
j'ai connu une amie qui avait un enfant epileptique : c'est un gros probleme ... quel autre medicament existe il ?
janic a écrit : Aucun médicament utilisé, juste de l’observation et un peu de bons sens, malheureusement hors des sentiers battus.
OMS a écrit :"Qu'est-ce que l'éducation thérapeutique ?
L’éducation thérapeutique a pour but d’aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique.
Elle fait partie intégrante et de façon permanente de la prise en charge du patient. Elle comprend les activités organisées, y compris un soutien psychosocial, conçues pour rendre les patients conscients et informés de leur maladie, des soins, de l’organisation et des procédures hospitalières, et des comportements liés à la santé et à la maladie.
Cette démarche a pour finalité de permettre aux patients (ainsi qu'à leur famille) de mieux comprendre leur maladie et leurs traitements, à collaborer avec les soignants et à assumer leurs responsabilités dans leur propre prise en charge afin de les aider à maintenir et améliorer leur qualité de vie. »
« À tous,
Je me présente : kinési, ayant par la maladie (S.E.P.) dû laisser mon cabinet, car dans l’incapacité de le tenir à l’époque.
En effet, en 1987, j’ai présenté une somme de symptômes (asthénie, anorexie, perte pondérale, troubles de l’équilibre, de la vue…).
Dès lors, examens sur examens, sans pouvoir établir un diagnostic précis. Il faut dire que certains médecins, vu la gravité de celui-ci, le donnent difficilement, y compris les amis.
Puis, en 1989, j’ai fait une crise d’épilepsie (grand mal) qui m’a valu l’entrée en urgence à l’Hôpital cantonal de GENEVE. Suite à celle-ci, et après résonance magnétique nucléaire, prouvant une zone démyélinisée dans le cerveau, expliquant secondairement l’épilepsie, on a conclu à une S.E.P. Depuis, je suis bien évidemment pensionné avec une carte d’A.H.H. à 80%.
Verdict lourd, mais à mon avis, il est bon de le connaître, de l’accepter, pour mieux combattre la maladie, quelle qu’elle soit. Bien sûr, j’ai commencé par la médecine lourde : cortisone. Je fus bien entouré par un monde médical classique.
Heureusement, j’ai eu la chance d’étudier pendant plusieurs années des médecines énergétiques (acupuncture…), et donc d’être guidé vers des solutions parallèles. D’autant plus que, pour le moment, la médecine cherche, mais n’a pas trouvé encore de traitement valable dans plusieurs domaines, et notamment la S.E.P.
Alors, pourquoi ne pas voir ailleurs, car il y a souvent des résultats, et de plus aucun médicament iatrogène. Personnellement, je dois mon renouveau à un ensemble de facteurs liés les uns aux autres :
– sur le plan physique : je suis un adepte endurci depuis Juillet 1989 de la Méthode KOUSMINE.Bien entendu, je suis suivi médicalement par un disciple de Mme KOUSMINE. Hygiène alimentaire et vie stricte. La suivre à 100%.
Je vais voir (surtout aux changements de saisons) par moi-même un médecin acupuncteur homéopathe. Depuis, constantes améliorations, ce qui me fait douter parfois d’être malade !! J’étais …
– sur le plan psychique : j’avais, avant la maladie, beaucoup de stress (vie de couple difficile – divorcé depuis – relation avec associé du cabinet désagréable, etc…) Les stress sont-ils d’ailleurs en partie responsables de la maladie ? On peut le supposer.
Depuis, je vis donc seul, travaille petitement à domicile, toujours en kinésithérapie. C’est pourquoi l’entourage est très important. Il peut être inconsciemment destructif ; ce qui a été pour moi le cas, et dans ce dernier, il vaut mieux, selon le vieil adage, être seul que mal accompagné. Maintenant, j’ai une véritable qualité d’environnement, de bons amis avec qui je partage des moments agréables, ceux-ci contribuant à ma renaissance.
[…]
Pour trouver la voie de la guérison, cela est difficile à admettre, mais je le ressens ainsi, il ne faut jamais désespérer, car la maladie est une rude épreuve pour vous faire progresser, à partir du moment où nous ne la prenons pas à rebrousse-poil.
Quels chemins j’ai parcourus depuis 1989 !! Physiquement, certes, mais surtout psychiquement. La vie s’avère autre ; l’échelle des valeurs fondamentales complètement changée : amour grandissant et chute de la vie matérielle, la présence de cette dernière étant, somme toute, obligatoire sur terre.
[…]
Puisse cette lettre aider le plus grand nombre, si telle est sa destinée. »
Richard P.
Source: http://www.kousmine.fr/temoignages/