La santé, le grand oublie de la construction et de la rénovation notamment durables
Publié : 12/02/18, 13:00
Comment expliquer de telles lacunes ?
En fait, vu le surcoût entrainé par les nouvelles obligations en matière de normes de construction qui tendent vers une dépense énergétique de moins en moins importante, presque tout l’intérêt de celui qui veut rénover ou construire est concentré sur les économies d’énergie et ses contraintes légales, sans oublier la mode du 'tout connecté', mais paradoxalement pas (assez) sur les incidences négatives potentielles du choix des matériaux et des équipements sur la santé !
Cette optique très limitée est aussi ce qu'adoptent la plupart des professionnels, guidés par leur souci de concrétiser le plus aisément des contrats face à une concurrence de plus en plus forte.
Les nuisances consécutives à de tels choix pour la santé sont pourtant de plus en plus mises en exergue par des scientifiques et des professionnels de la santé, mais ici encore, les grands médias (au service de certains intérêts économiques et financiers) et à leur remorque, les revues spécialisées et les organismes de défense des consommateurs n’en font que très rarement état, sauf lors de scandales sanitaires qu’on ne peut alors pas occulter…
Pourtant, bon nombre des nuisances rapportées plus bas sont le lit de futurs scandales sanitaires !
Un seul exemple : les ampoules LED dégagent trop de lumière bleue et une trop grand luminescence, ce qui est nocif, non seulement pour la nature (perturbations des rythmes biologiques des êtres vivants), mais aussi pour les yeux (toxicité pour la rétine et ce qui pourrait à terme "favoriser la dégénérescence maculaire liée à l'âge"). De plus, la plupart des LED ne dégagent pas un flux régulier mais scintillent (papillotement). ce qui génère plus de fatigue que les autres modes d'éclairage.
C'est ce qui explique, par exemple, qu'on supporte d’ailleurs moins bien qu’avant la lumière des phares de voitures, (ampoules LED pour tous les nouveaux véhicules), même s’il faut constater que le LED illumine plus rapidement les feux stop que ne le font les ampoules classiques (rare domaine où il faudrait donc les utiliser) : cela éviterait donc des accidents car leur enclenchement est ainsi plus rapide.
Cf. L’avis N° 9341 et les recommandations du Conseil supérieur de la santé – Belgique).
De plus, l'exposition à l'éclairage LED entraine un "mécanisme qui pourrait favoriser la dégénérescence maculaire liée à l'âge".
Et enfin "Les cellules rétiniennes meurent en endommageant leurs voisines". (Source INSERM)
Autres domaines que l’éclairage
:
- Gestion de l’eau
- Matériaux dont l'isolation er leur mise en œuvre
- Champs électromagnétiques
- Aspects géobiologiques
- Appareillages et circuits électriques ainsi que toutes les masses métalliques
Détails de ce qui précède dans ce dosser
En fait, vu le surcoût entrainé par les nouvelles obligations en matière de normes de construction qui tendent vers une dépense énergétique de moins en moins importante, presque tout l’intérêt de celui qui veut rénover ou construire est concentré sur les économies d’énergie et ses contraintes légales, sans oublier la mode du 'tout connecté', mais paradoxalement pas (assez) sur les incidences négatives potentielles du choix des matériaux et des équipements sur la santé !
Cette optique très limitée est aussi ce qu'adoptent la plupart des professionnels, guidés par leur souci de concrétiser le plus aisément des contrats face à une concurrence de plus en plus forte.
Les nuisances consécutives à de tels choix pour la santé sont pourtant de plus en plus mises en exergue par des scientifiques et des professionnels de la santé, mais ici encore, les grands médias (au service de certains intérêts économiques et financiers) et à leur remorque, les revues spécialisées et les organismes de défense des consommateurs n’en font que très rarement état, sauf lors de scandales sanitaires qu’on ne peut alors pas occulter…
Pourtant, bon nombre des nuisances rapportées plus bas sont le lit de futurs scandales sanitaires !
Un seul exemple : les ampoules LED dégagent trop de lumière bleue et une trop grand luminescence, ce qui est nocif, non seulement pour la nature (perturbations des rythmes biologiques des êtres vivants), mais aussi pour les yeux (toxicité pour la rétine et ce qui pourrait à terme "favoriser la dégénérescence maculaire liée à l'âge"). De plus, la plupart des LED ne dégagent pas un flux régulier mais scintillent (papillotement). ce qui génère plus de fatigue que les autres modes d'éclairage.
C'est ce qui explique, par exemple, qu'on supporte d’ailleurs moins bien qu’avant la lumière des phares de voitures, (ampoules LED pour tous les nouveaux véhicules), même s’il faut constater que le LED illumine plus rapidement les feux stop que ne le font les ampoules classiques (rare domaine où il faudrait donc les utiliser) : cela éviterait donc des accidents car leur enclenchement est ainsi plus rapide.
Cf. L’avis N° 9341 et les recommandations du Conseil supérieur de la santé – Belgique).
De plus, l'exposition à l'éclairage LED entraine un "mécanisme qui pourrait favoriser la dégénérescence maculaire liée à l'âge".
Et enfin "Les cellules rétiniennes meurent en endommageant leurs voisines". (Source INSERM)
Autres domaines que l’éclairage
:
- Gestion de l’eau
- Matériaux dont l'isolation er leur mise en œuvre
- Champs électromagnétiques
- Aspects géobiologiques
- Appareillages et circuits électriques ainsi que toutes les masses métalliques
Détails de ce qui précède dans ce dosser