Putain de crabe - discussion sur le cancer !
Publié : 03/10/07, 07:34
Ca n'arrive qu'aux autres....Et bien non. Il est partout à l'affût de proies potentiellement contaminables. Ancien fumeur, mécanicien auto, employé du bâtiment, l'amiante le grand responsable dit-on en haut lieu. Mais qui est donc ce haut lieu ? On croit ou pas en quelque chose de plus haut encore que ces instances que l'on connaît.
Mon frangin à fumé certes, mais pas ou presque pas de sortie enivrante. A l'époque il a aussi travaillé dans la mécanique et les freins et autres embrayages contenaient aussi de l'amiante que l'on soufflait avec à la clé les poussières ambiantes.
Il faisait du sport, tennis, natation, gonflette oui aussi, vu l'arsenal dans le garage. C'est lui aussi qui s'occupait de notre mère jusqu'au jour où le diag tombe : Le crabe ! Putain et quand on pense au branleur de Crozemarie qui vivait grassement sur les dons de la société, on a envie d'aller lui rendre une petite visite de courtoisie. Ceci dit ce n'est pas dit que les sommes détournée auraient ainsi permis de sauver mon frangin pas plus que les autres décédés depuis mais comme il me faut engueuler un type autant que ce soit cette tafiolle. A ce sujet :
Comment Crozemarie a dépouillé l’association
Moins du tiers des sommes récoltées par l’association étaient, jusqu’en 1996, reversées à la recherche. En cinq ans, de 200 à 300 millions de francs de l'époque ont été détournés.
" Donnez pour la recherche contre le cancer, rejoignez l’ARC ", disait en gros plan Jacques Crozemarie, l’oeil planté dans celui du téléspectateur. C’était il y a une dizaine d’années. À cette époque, l’ancien patron de l’Association de recherche sur le cancer (ARC), qu’il avait fondée en 1962, inspirait la confiance, incarnait le dévouement. Il multipliait les campagnes de communication. Son visage était familier. Les gens donnaient. Par millions.
Alors je suis en pétard, mais vraiment en boule contre ce fléau que personne n'arrive à mettre en cage....
Merde ! J’avais envie de râler car j'ai les boules. J'ai la haine d'autant plus que le délais se raccourcissent de jour en jour car si la recherche ne progresse pas, le crabe lui fait un bras d'honneur aux défenses immunitaires des gens et en ce cas présent s'emparre du corps de mon frangin.
Mon frangin à fumé certes, mais pas ou presque pas de sortie enivrante. A l'époque il a aussi travaillé dans la mécanique et les freins et autres embrayages contenaient aussi de l'amiante que l'on soufflait avec à la clé les poussières ambiantes.
Il faisait du sport, tennis, natation, gonflette oui aussi, vu l'arsenal dans le garage. C'est lui aussi qui s'occupait de notre mère jusqu'au jour où le diag tombe : Le crabe ! Putain et quand on pense au branleur de Crozemarie qui vivait grassement sur les dons de la société, on a envie d'aller lui rendre une petite visite de courtoisie. Ceci dit ce n'est pas dit que les sommes détournée auraient ainsi permis de sauver mon frangin pas plus que les autres décédés depuis mais comme il me faut engueuler un type autant que ce soit cette tafiolle. A ce sujet :
Comment Crozemarie a dépouillé l’association
Moins du tiers des sommes récoltées par l’association étaient, jusqu’en 1996, reversées à la recherche. En cinq ans, de 200 à 300 millions de francs de l'époque ont été détournés.
" Donnez pour la recherche contre le cancer, rejoignez l’ARC ", disait en gros plan Jacques Crozemarie, l’oeil planté dans celui du téléspectateur. C’était il y a une dizaine d’années. À cette époque, l’ancien patron de l’Association de recherche sur le cancer (ARC), qu’il avait fondée en 1962, inspirait la confiance, incarnait le dévouement. Il multipliait les campagnes de communication. Son visage était familier. Les gens donnaient. Par millions.
Alors je suis en pétard, mais vraiment en boule contre ce fléau que personne n'arrive à mettre en cage....
Merde ! J’avais envie de râler car j'ai les boules. J'ai la haine d'autant plus que le délais se raccourcissent de jour en jour car si la recherche ne progresse pas, le crabe lui fait un bras d'honneur aux défenses immunitaires des gens et en ce cas présent s'emparre du corps de mon frangin.