Forums des énergies : société, écologie et technologies propres

Jean-Paul Betbeze
Qui suis-je ?

Autant l’avouer, mon expertise est la finance, la banque, la conjoncture, les marchés, tout ce qui bouge tout le temps dans tous les sens, et surtout aujourd’hui. Il vaut donc mieux être calme pour comprendre, sans en rajouter, et l’expérience peut aider.

Pour y arriver (plus ou moins), j’ai d’abord suivi des études de gestion (HEC 72) et d’économie (Doctorat d’état, Agrégation des Facultés de Sciences économiques, Professeur à l’Université Paris Panthéon-Assas), puis ai dirigé les études économiques du Crédit Lyonnais et celles du Crédit Agricole. Enfin, j’ai créé une société de conseil (avec Joselyne, mon épouse), étant notamment le Conseiller économique de Deloitte. Au total : 15 ans de Faculté, 23 ans et demi de banque et de finance, 5 ans de conseil, et ce n’est pas fini !

En même temps, j’ai écrit de nombreux articles, participé à diverses émissions de radio et télévision, été membre pendant huit ans du Conseil d’Analyse Economique auprès du Premier ministre et écrit plus de vingt ouvrages et rapports.

Bref, je m’intéresse toujours à notre étrange monde, de plus en plus même. Il peut devenir fou, dangereux, et a donc davantage besoin d’analyses techniques, pesées, et (peut-être) éclairées. C’est ainsi que j’ai l’intention de continuer à être utile.

Christophe a écrit :L’ancien monde a la peau dure...où plutôt les cons de l’ancien monde...

phil59 a écrit :

Christophe a écrit :L’ancien monde a la peau dure...où plutôt les cons de l’ancien monde...

Je pense que c'est un bon résumé !

Christophe a écrit :Comme vous le savez Bordeaux, Strasbourg...et bien d’autres grandes métropoles Françaises sont passées du coté vert de la Force.

sen-no-sen a écrit :

Christophe a écrit :Comme vous le savez Bordeaux, Strasbourg...et bien d’autres grandes métropoles Françaises sont passées du coté vert de la Force.

Je ne serais pas aussi affirmatif.
La montée des "verts" dans les grandes villes de la métropole est essentiellement un conséquence de ce que l'on peut appeler la "boboïsation" des centre villes.
L'augmentation faramineuse des prix au m2 à rapidement chassé les classes moyenne au profit d'une petite bourgeoisie très encline à défendre sa qualité de vie.
Paradoxalement ce sont ceux la même qui par leurs styles de vie dégradent le plus les écosystèmes qui sont enclins à voter écolos...

sen-no-sen a écrit :Près de 58% de taux d'abstention tout de même! Au vu du nombre de votant et aux différents clivages,la tendance me parait assez clair.
Voter localement écolos est un moyen de mettre en œuvre une politique de la ville axés sur le bien être.Cela n'est toutefois pas incompatible avec une politique de fonds propre à garantir les dividendes...