Un monde sans argent ?
Publié : 03/03/21, 08:18
Pour le monde d’après, un monde sans argent ?
La video se termine sur le projet https://www.mocica.org que je n'ai pas encore regardé
A l’écouter, je me sens moins seul.
N’hésitez pas a donner votre avis, voici le mien
:
J'en ai eu l'intuition il y a 25 ans déjà, juste pour dire que les choses ne bougent pas vite
J'envisageais la 'civilisation du don' où chacun apporte selon ce qu'il peut et ce qu'il a envie.
Une unité centrale mettant en relation les offrants et les demandeurs. (internet balbutiait, le bon coin n'existait pas)
Les biens demandant des machines et des équipes, rentrant dans ce concept de bénévolat généralisé.
Ce qui a déclenché cette 'vision' fut un livre d’économie, je voulais comprendre la monnaie.
Lorsque j'ai lu "celui qui donne, perd" j'ai compris toute l'inanité et la duperie du monde dans lequel nous vivons, j'ai compris que tout était foutu.
Même le mot et l'acte de don sont dénaturés de leur sens originel.
Oui oui j'ai très bien compris les propos de l'auteur mais fondamentalement, celui qui donne ne perd pas, sinon ce n'est pas du don.
Et puis baser une société sur ce concept de "celui qui donne, perd", est entretenir la peur de ne pas avoir, est entretenir l’absence de confiance en la vie et en son prochain. Pour sécuriser tout ça,bien sur, il faut l'argent, la boucle est bouclée.
Un monde sans argent, un monde de confiance parait utopique mais c'est toutefois a considérer en regard du massacre actuel.
La video se termine sur le projet https://www.mocica.org que je n'ai pas encore regardé
A l’écouter, je me sens moins seul.
N’hésitez pas a donner votre avis, voici le mien
![Wink :wink:](https://www.econologie.com/forums/images/smilies/icon_wink.gif)
J'en ai eu l'intuition il y a 25 ans déjà, juste pour dire que les choses ne bougent pas vite
J'envisageais la 'civilisation du don' où chacun apporte selon ce qu'il peut et ce qu'il a envie.
Une unité centrale mettant en relation les offrants et les demandeurs. (internet balbutiait, le bon coin n'existait pas)
Les biens demandant des machines et des équipes, rentrant dans ce concept de bénévolat généralisé.
Ce qui a déclenché cette 'vision' fut un livre d’économie, je voulais comprendre la monnaie.
Lorsque j'ai lu "celui qui donne, perd" j'ai compris toute l'inanité et la duperie du monde dans lequel nous vivons, j'ai compris que tout était foutu.
Même le mot et l'acte de don sont dénaturés de leur sens originel.
Oui oui j'ai très bien compris les propos de l'auteur mais fondamentalement, celui qui donne ne perd pas, sinon ce n'est pas du don.
Et puis baser une société sur ce concept de "celui qui donne, perd", est entretenir la peur de ne pas avoir, est entretenir l’absence de confiance en la vie et en son prochain. Pour sécuriser tout ça,bien sur, il faut l'argent, la boucle est bouclée.
Un monde sans argent, un monde de confiance parait utopique mais c'est toutefois a considérer en regard du massacre actuel.