Salut Geronimo
OUI, près de la réalité, il l'est en effet.
D'abord je trouvais dommage qu'il n'y ait de suite positive à un tel fil, donc UP!
Effectivement, il n'est pas exclu de penser, ni en physique, ni en chimie en terme "d'ondes", puisque des chercheurs planchent là-dessus depuis pas mal de temps. Evidemment que ça touchera également la biologie, par la force des choses, mais gardons-nous toutefois d'aller trop loin dans ce domaine. Parce que les dérives idéologiques voire ésotériques guettent et elles sont rarement de bon conseil pour garder les concepts
«dans les clous de la compréhension» (ou à contrario l'excès inverse, si on ne veut pas verser dans le scientisme à tout prix), j'entends une compréhension à notre portée mais qui resterait néamoins dans les limites de l'entendement en toute chose — ceci pour n'exclure personne mais
sans vouloir exploser le «modèle standard» tout en ne proposant strictement rien d'autre à la place — selon la posture excessive éventuellement adoptée par certains: emportés un peu vite par leur enthousiasme, si tu vois ce que je veux dire...
Ainsi les deux visions de ce qu'est la matière se chevauchent, sans s'éliminer, ni l'une, ni l'autre (de mon point de vue et vu de l'explication de notre chimiste.)
Ainsi, me dit-il, il faut se représenter que ces ondes sont de l'énergie (ou quelque chose en rapport à ça). Et que — si on veut faire dans la métaphore — l'onde dans une réaction physique/chimique, c'est «
le coup de pied au cul» qui fait que la réaction devient possible (et surtout qu'elle se déclenche). Et ce chaque fois que les circonstances s'y prettent (je donnais l'exemple de la rouille dans un autre fil, mais bien sûr pour donner l'exemple des réactions atomiques, c'est lorsque le seuil de criticité est atteint et passe dans la réaction en chaîne qui peut prendre de multiples formes, mais sans retour en arrière...).
Donc voilà, ton post est amplement justifié, c'est nullement une idée incongrue. Chaque jour il y a de nouvelles percées dans le domaine, mais je le répète, plutôt que de s'affronter, ces deux paradigmes se chevauchent.
En tout cas je vois cette approche de façon très positive.
NB: quant aux mathématiques, ils ne sont qu'une forme de représentation du monde qui nous entoure, il y a d'ailleurs plusieurs approches, rien d'incompatible non-plus. Par ailleurs la physique quantique «marche». Donc je peux comprendre la réaction de Plasmanu.