Utiliser son cerveau -- la dyspraxie
Publié : 10/01/14, 13:44
Bonjour à tous, j'ai un enfant en troisième année primaire, il a d'importante difficultés scolaire et vient d'être diagnostiqué " dyspraxique". Parmi vous y a t-il des personnes qui maîtrise un peu le sujet?
Existe- t-il des exercices pour entraîner le cerveau à mieux utilisé son potentiel.
* Définition : Les dyspraxies sont des anomalies de la planification et de l’organisation des gestes (le
geste étant une succession de mouvements en vue d’une action précise). Chez le sujet dyspraxique, le geste ne
s’automatise pas, il nécessite toujours un contrôle volontaire extrêmement coûteux sur le plan
attentionnel ce qui génère une fatigue anormale. En conséquence, les gestes sont lents et maladroits.
* Les signes évocateurs1
:
L’enfant est le plus souvent intelligent, vif, curieux, il investit particulièrement le domaine verbal.
Toutefois, « il ne regarde pas bien », semble rêveur, parfois perdu, s’oriente mal. Il est « anormalement »
maladroit. Il préfère les activités orales et auditives. Il évite les jeux de construction, les puzzles. Il surinvestit
son monde intérieur (rêverie, imaginaire) et la parole. Il ne trouve pas sa place dans les jeux de groupe et la
cours de récréation.
On observe :
- Retard, difficultés d’acquisition et maladresse concernant la motricité globale ; la motricité fine et la
gestualité (relier, entourer, barrer des éléments…); les habiletés de la vie quotidienne (s’habiller, couper la
viande…) ; le repérage et la gestion des objets dans l’espace.
- Difficultés à suivre les lignes en lecture, à passer d’une ligne à l’autre ; sauts de syllabes, de mots. La copie
est plus difficile à effectuer pour ces enfants que la dictée.
- Retard d’acquisition des notions spatiales de base (labyrinthes, tableau à double entrée, plans…)
Existe- t-il des exercices pour entraîner le cerveau à mieux utilisé son potentiel.
* Définition : Les dyspraxies sont des anomalies de la planification et de l’organisation des gestes (le
geste étant une succession de mouvements en vue d’une action précise). Chez le sujet dyspraxique, le geste ne
s’automatise pas, il nécessite toujours un contrôle volontaire extrêmement coûteux sur le plan
attentionnel ce qui génère une fatigue anormale. En conséquence, les gestes sont lents et maladroits.
* Les signes évocateurs1
:
L’enfant est le plus souvent intelligent, vif, curieux, il investit particulièrement le domaine verbal.
Toutefois, « il ne regarde pas bien », semble rêveur, parfois perdu, s’oriente mal. Il est « anormalement »
maladroit. Il préfère les activités orales et auditives. Il évite les jeux de construction, les puzzles. Il surinvestit
son monde intérieur (rêverie, imaginaire) et la parole. Il ne trouve pas sa place dans les jeux de groupe et la
cours de récréation.
On observe :
- Retard, difficultés d’acquisition et maladresse concernant la motricité globale ; la motricité fine et la
gestualité (relier, entourer, barrer des éléments…); les habiletés de la vie quotidienne (s’habiller, couper la
viande…) ; le repérage et la gestion des objets dans l’espace.
- Difficultés à suivre les lignes en lecture, à passer d’une ligne à l’autre ; sauts de syllabes, de mots. La copie
est plus difficile à effectuer pour ces enfants que la dictée.
- Retard d’acquisition des notions spatiales de base (labyrinthes, tableau à double entrée, plans…)