Des traces de Neanderthal intactes depuis 176000 ans

[izentrop]

C'est dans la grotte de Bruniquel. On sait qu'il a cassé des morceaux de stalactites pour en faire des ronds. On ne sait pas pourquoi et on ne le saura peut-être jamais. Tout ça, plus de 130000 ans avant sa rencontre avec l'homme modernes que nous sommes.
Il a gravé un hashtag sur une pierre à Gibraltar ... Serait-il à l'origine de twiter ?
Plus carnivores que nous, plus rapides.
Certains enterraient leur mort.
Nous avons conservé 2% de son ADN, mais on ne sais pas encore si ces quelques gènes ont une utilité.

Réécouter sur France Inter https://www.franceinter.fr/emissions/la ... -juin-2016
https://www.dailymotion.com/video/x4ce4sl_neandertal-a-bruniquel_school

Quel rapport avec econologie ? ... Vous me direz

[izentrop]

Notre propension au communautarisme ne date pas d'hier.
Ça n'intéresse peut être pas les éconologues que nos ancêtres ont peut être contribué à la disparition d'une autre espèce humaine...

Maintenant on sait qu'il a disparu il y a 40 000 ans et c'est probablement parce qu'il n'avait pas notre mode pensée qu'il s'est éteint à notre profit.

“Notre tendance à vouloir impérativement faire des interconnexions sociales nous pousse à écraser tout ce qui est différent”

« On a tendance à expliquer la disparition de Néandertal par des scénarios catastrophes : maladies, changement climatique... Mais je pense qu'il ne faut pas réfléchir comme ça. Cette disparition n'est pas en lien avec un "événement", mais avec un processus qui fait intervenir la façon diamétralement opposée de Néandertal et de Sapiens de voir le monde. Néandertal allait très bien jusqu'à l'arrivée de Sapiens, précise Ludovic Slimak. Il est installé là depuis très longtemps, il est adapté à cet environnement, qu'il connait par cœur, et duquel il arrive à tirer toutes les ressources nécessaires. Pourtant, il s’éteint doucement à partir du moment où Sapiens arrive sur ses terres ». https://www.futura-sciences.com/science ... de-115969/

Pour mieux comprendre ce qui a abouti à cette réflexion :