Tout le monde se prépare à l’épidémie de Grippe A. Viendra-t-elle ou pas? Aucune idée mais ce n’est pas la question de cette reflexion…
Ce qui intéresse l’éconologie, c’est le développement et la mise en place, grâce à cette « probable crise », du travail à distance ou télétravail: collèges, lycées, universitées et certaines grandes entreprises ont mis, ou mettent actuellement en place, des outils de travail ou d’études à distance!
Ces outils, pourtant connus depuis les années 80, ne sont que rarement exploités. Et pourtant ils présentent de gros avantages éconologiquement parlant. On peut s’interroger sur la nécessité des cadres et professions intellectuelles de devoir aller systématiquement travailler au bureau.
Il y a fort à parier que, grâce aux outils de télécommunication modernes (surtout ceux développés depuis les années 2000), 40 à 50% des tâches, donc du temps de travail, sont « délocalisables » à domicile…
Ceci avec les conséquences positives sur l’environnement qu’on devine. Et notamment sur 2 points énergievores pour notre société: les besoins en chauffage et climatisation et les transports…
Alors est-ce que cette crise sera-t-elle un déclit social vis à vis du mal aimé qu’est le télétravail? Possible…mais pas sur!
En tout cas les employés qui pratiqueront le « télétravail de force » risquent de vouloir continuer la méthode après la crise.
On ne peut que s’en réjouir!
Pour en savoir plus:
– Télécharger un rapport d’ingénieur réalisé en 2000 sur le télétravail
– La Grippe A H1N1 développera-t-elle le télétravail?