« L’envolée des cours est peut-être une chance. Elle rappelle que les hydrocarbures ne sont pas inépuisables, qu’il faudra que le monde apprenne à se passer de pétrole à une échéance pas si lointaine, vers le milieu du siècle environ, et que, d’ici là, il devra s’habituer à un pétrole cher. Dans cette perspective, le clientélisme à courte vue du gouvernement paraît non seulement dérisoire, mais aussi contre-productif. »
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